Porte des Ternes

cette marchande, se trouvait une boutique dont les boiseries d'un vert bouteille suaient l'humidité par toutes leurs fentes. L'enseigne, faite d'une planche étroite et longue, portait, en lettres noires, le mot: _Mercerie_, et sur une des vitres de la porte était écrit un nom de femme: _Thérèse Raquin_, en caractères rouges. A droite et à gauche s'enfonçaient des vitrines profondes, tapissées de papier bleu. ------------------------------------------------- Pendant le jour, le regard ne pouvait distinguer

| | |2 |00:18:56 |Même situation qu'au plan précédent mais vu de plus |Toujours la même musique |La caméra fais un gros plan sur les pieds du garçon, avec |Utulisation de couleurs ternes. Pour | | | |prés. |intrigante+son des appareils et |un travelling horizontal le long du corps du gamin. Jusqu'à|donner un effet vieux -> FlashBack | | |

épaules et la ligne de clous qui descend le long de ses bras et jusqu’à sa jambe droite. Le tableau est donc équilibré et ordonné puisque la construction présente des lignes relativement droites et perpendiculaires.Les couleurs de l’arrière-plan sont ternes mais mettent en valeur le personnage central / Le décor semble représenter la désertion et la solitude / Le personnage est peint avec des couleurs plus vives et plus chaudes, le blanc du corset et du drap renvoie un effet lumineux /Composition basée

conséquent représentée sombre. Son aspect est inquiétant, de plus elle semble profonde, Narcisse ne pourra y résister. Son destin tragique apparait inévitable, l’eau est inquiétante et attise la mort. L’arrière-fond de cette partie est vide, l’accent est porté sur la représentation du jeune homme. Contrairement à la seconde phase du tableau où les différents plans ne sont pas vides, de nombreux éléments s’y trouvent. Dans la deuxième partie de l’œuvre se tient une main tenant entre ses doigts un œuf, d’où

sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. C'est le seul qui fait face au spectateur et qui avance vers le premier plan. C’est aussi le seul qui possède la capacité de voir. Enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme. Ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre

étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d'entrée la figure d'un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer.(...) Mme de Rênal s'approcha, distraite un instant de l'amer chagrin que lui donnait l'arrivée du précepteur. Julien, tourné vers la porte, ne la voyait pas s'avancer. Il tressaillit quand une voix douce dit tout près de son

miteuses ficelées autour du crâne et canadienne portée à même la peau, avec échappées en forme de tranches de seins sur fond d’ombre. » Ou de moquer encore « l’exaltation intra-utérine qui s’emparait plus particulièrement du public féminin »… De la première à la dernière page « L’Ecume des jours », roman inclassable, transgenre dirait-on aujourd'hui, irradie d’une grâce enchantée, portée par le style onirique et l'imagination tragicomique de Vian : d'une porte qui claque "avec le bruit d’une main nue

matériels, c’est être bien avec soi-même. Pour être en mesure de goûter pleinement les innombrables « petits bonheurs » qui jalonnent notre existence, il est très important de chercher le bonheur là où il se trouve réellement. Le bonheur est à la portée de chacun et se compose de tous les petits plaisirs que la vie nous offre quotidiennement, à condition de ne pas laisser quelques insatisfactions assombrir notre existence, de ne pas sous-estimer ce que nous avons déjà. Apprendre à apprécier la vie

gauche et de droite sont principalement droites, celles du panneau centrales son courbés et enchevêtrées. Il semble le peintre veux faire passer par là l’idée du chaos et de la désolation du champ de bataille. Les couleurs utilisées sont principalement ternes : le gris et le noir pour les gravats, la mort et les cendres. On repère cependant des couleurs plus chaudes notamment le rouge et le marron pour le sang et la boue. Analyse panneau par panneau Le panneau de gauche, représente les soldats partant

du peuple doit-il s’effectuer à partir du lyrisme poétique ou de l’analyse réaliste des hommes politiques ? Qu’ajoute l’art au discours politique ? Nos contemporains sont toujours friands des joutes oratoires à la télévision, plus animées que les ternes programmes politiques pourtant si nécessaires. Là où la passion apparaît, le regain d’intérêt pour la chose publique est réveillé. Nos hommes publics cultivent toujours la formule assassine ou définitive. Ce n’est pas encore de l’art car il manque