Portrait D Arrias

une première qui se nomme « des hommes hypocrites… » et une seconde « …afin de servir leur(s) intérêt(s) personnel(s) ». Dans une seconde partie, nous parlerons « des Hommes ridicules et grotesques » et plus précisément dans un premier temps « des portraits caricaturaux » puis dans un second temps « des saynètes comiques. » Pour finir dans une troisième partie, nous verrons « Castigat ridendo mores » qui est la volonté d’instruire et de corriger. Accompagné de deux sous parties, la première « Un idéal :

sont convoques (IX,(VIII, 4), au theatre, celui de Racine (VIII, 42) 50), a la musique de Lully (VIII, 42). On trouve aussi, ici et la, des references a des parades militaires ou encore «un concert», «beau salut», «prestige de la Foire» (voir le portrait du «spectateur de profession», VII, 13) ou encore a des feux d’artifice. Partout, on assiste a « l’empressement pour les spectacles, [...] les eclats et les applaudissements aux theatres de Moliere et d’Arlequin, les repas, la chasse, les ballets

profondément remaniée pour répondre aux besoins d’un stage de formation sur l’écriture Séquence sur la lecture en œuvre intégrale d’Arria Marcella de Théophile Gautier La séquence proposée concerne l’étude de l’œuvre intégrale Arria Marcella pour une classe de quatrième. La brièveté de l’œuvre rend possible une étude relativement aisée et souple en fonction du niveau de la classe. L’édition utilisée pour cette étude est celle du Livre de poche, libretti n°13645 Tous les travaux

le mouvement littéraire. Objectifs : étudier le genre épidictique, définir les registres, revoir le genre du portrait. Perspective secondaire : analyser l’image, organiser une sortie au musée Jean Racine à La Ferté-Milon. Le genre épidictique ayant fait l’objet de nombreux textes au XVIIe siècle, il semblerait pertinent de relier cette étude aux représentations de Racine, bustes et portraits, que la classe pourra voir lors de la visite à La Ferté-Milon. Cette séquence pourra être intégrée dans une

un inventaire satirique des portraits de la Cour. Le portait d’Arrias est extrait du livre V où l’auteur montre que la maitrise du langage est essentielle pour paraître distingué socialement. Arrias est ici l’homme universel, celui qui fait semblant de tout connaître. Ainsi, nous assistons à sa chute dans le monde de la Cour. Comment La Bruyère compose t-il le portrait d’Arrias et en quoi ce texte est-il burlesque ? Nous proposons, pour commencer, d’analyser le portrait du personnage en lui-même,

DORANTE. J'ai tout perdu ! J'avais un portrait, et je ne l'ai plus. ARAMINTE. À quoi vous sert de l'avoir ? Vous savez peindre. DORANTE. Je ne pourrai de longtemps m'en dédommager ; d'ailleurs, celui-ci m'aurait été bien cher ! Il a été entre vos mains, Madame. ARAMINTE. Mais vous n'êtes pas raisonnable. DORANTE. Ah ! Madame, je vais être éloigné de vous ; vous serez assez vengée ; n’ajoutez rien à ma douleur. ARAMINTE. Vous donner mon portrait ! songez-vous que ce serait avouer que

LL1- Le portrait d’AcisIntroduction· Jean de la bruyère est un moraliste français du 17e siècle(1645-1696) ; L'œuvre de sa vie fut les caractères publiée en 1688 et inspiré de l’auteur grec théophraste , afin de corriger les mœurs de son temps . Ce moraliste s'inscrit dans le courant du classicisme.· Les caractères est une œuvre découpées pour notre étude en 5 livres comportant une multitude de fragments incluant des portraits satirique représentant des contre modèle pour la société classique · Le

Quiétisme. Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle est une œuvre sur laquelle il a travaillé dix-sept ans avant de la publier. Ce recueil comprend 420 remarques, sous forme de maximes, de réflexions et de portraits, et est présenté comme une simple continuation des Caractères du philosophe grec Théophraste, traduit au début de l'ouvrage. Il aurait commencé la rédaction de cet ouvrage dès 1670, et il est mort en 1696 après l'avoir revu

ce cinquième livre, l’art de vivre en société, avec principalement l’exemple de salons de conversations où les personnages sont exposés. La B. nous fait le portrait d’hommes mal éduqués ; ils sont malpolis mais aussi malhonnêtes. Il démontre que les hommes ne s’écoutent pas, comme avec Théodecte. Justement, mon premier portrait porte sur Théodecte . C’est un homme égocentrique puisque par exemple, « il n’est pas encore assis qu’il a [] désobligé toute l’assemblée »

lois et de ses coutumes : il récite4 des historiettes qui y sont arrivées ; il les trouve plaisantes, et il en rit le premier jusqu’à éclater. Quelqu’un se hasarde de le contredire, et lui prouve nettement qu’il dit des choses qui ne sont pas vraies. Arrias ne se trouble point, prend feu au contraire contre l’interrupteur. « Je n’avance, lui dit-il, je ne raconte rien que je ne sache d’original5 : je l’ai appris de Sethon6 , ambassadeur de France dans cette cour, revenu à Paris depuis quelques jours