Portrait De Arnolphe

moraliste de la fable. Ce dernier apparaît en effet à la scène 1 de l’acte I où il met en garde Arnolphe contre la rigidité de ses préceptes. Il annonce la morale de l’histoire : on rira du rieur, et le moqueur des cocus sera fait cocu. Il réapparaît au dénouement pour conclure ; la pièce se déroule entre ces deux avertissements. Le nom d’Arnolphe fait, pour les spectateurs de l’époque qui savent que saint Arnolphe est le saint des maris trompés, immédiatement signe du côté de la farce. Aucune intrigue

de même. Acte I - Arnolphe, qui vient de changer son nom en celui, plus aristocratique, de « M. de La Souche », est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été maintenue dans l'ignorance. Arnolphe rencontre ensuite Horace

l'ambiguïté du rôle du personnage principal : Arnolphe. Outre les reproches faits à Molière par ses pairs à propos de la cohérence du personnage, de l'unité de lieu, qui viennent enrichir une connaissance de la comédie et de ses principes, le débat très ancien sur l'interprétation de L'Ecole des Femmes peut favoriser une véritable discussion au sein de la classe. Les élèves seront-ils sensibles au jeu pathétique, voire tragique que l'on donna à Arnolphe dès le XIXème siècle ? Feront-ils d'Arnolphe

narratif. Pour réaliser ce premier devoir, vous devez connaître les acquis de la séquence 1 sur les genres narratifs brefs (le récit : conte, nouvelle réaliste, nouvelle fantastique), savoir utiliser les schémas narratif et actantiel, savoir faire le portrait d’un personnage et avoir bien lu les fiches Méthode n°1, 2 et 3 (Expliquer un texte narratif ; Méthode de l’écriture d’invention). Ce texte complète votre connaissance du genre de la nouvelle étudié dans la séquence. Alphonse Allais est l’auteur

marque à la fois le lien et l’opposition des 2. • Portrait Savetier : caractérisé par son activité, sa plénitude, son bien-être (il chante : « il chantait jusqu’au soir » imparfait d’habitude, « plus content qu’aucun des sept Sages » v4 -> comparatif de supériorité -> statut de philosophe heureux) La Majuscule au métier -> Dimension Allégorique Occurrence « merveille » vers 2 et 3 souligne talent du Savetier. • Portrait Financier : caractérisé par champ lexical argent : « vendre »

amoureux. b) Le schéma actantiel  Texto p.64 : exercices p.69 : théorie Les phases de l’action : exercice L’école des femmes (Molière) 1. - Arnolphe : tuteur (s’occupe d’une personne (Agnès)) - Agnès : est une petite paysanne. - Chrysalde : est l’ami d’Arnolphe. Cela se passe dans une place de ville à l’extérieur.  Arnolphe s’est fait le tuteur d’une petite paysanne que sa mère lui a abandonnée alors qu’elle avait 4 ans. L’enfant a été élevé dans un couvant à l’écart

1862 1877 1885 Naturalisme Réalisme Romantisme 8 CNED SECONDE – FRANÇAIS SÉQUENCE 1 Chapitre 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Activité n°1 – Histoire des arts (vidéo) Activité n°2 – Portrait d’Edmond Duranty Portrait d’Edmond Duranty, par Edgar Degas, 1879. ©akg-images. Le tableau d’Edgar Degas, reproduit ci-dessus, représente l’un des fondateurs du mouvement réaliste, Édmond Duranty. Formulez, en quelques lignes, l’image que le peintre a souhaité

tel comportement.L'un des principaux aspects de l'approche de Molière concernant l'objectivation des femmes dans « L'école des femmes » est le portrait d'Agnès, le personnage féminin central. Agnès est traitée comme une possession, une marchandise qui doit être possédée et contrôlée par les hommes. Elle est élevée dans l'isolement et l'ignorance par Arnolphe, qui a l'intention de la façonner en épouse parfaite et soumise.Molière souligne l'objectivation d'Agnès en mettant en évidence son manque d'autonomie

feront de même. Acte I - Arnolphe, qui vient de changer son nom en celui, plus aristocratique, de « M. de La Souche », est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été maintenue dans l'ignorance. Arnolphe rencontre ensuite Horace

indiens : le regard est à la fois amusé et tendre, respectueux mais objectif, distancié mais sans froideur ; sévère sur certains sujets difficiles comme la violence et le cannibalisme, mais sans cesse tempéré par les comparaisons avec l'Europe. Le portrait de Villegagnon est, à cet égard, exemplaire : l'homme est jugé durement pour sa trahison, son autocratie, sa violence et son injustice. Il est aussi ridiculisé et caricatural, peint comme un despote grotesque. En somme, JDL est beaucoup plus sévère