Portrait De Foedora

tasses diaphanes venues de Chine, salières antiques, drageoirs féodaux. Un vaisseau d'ivoire voguait à pleines voiles sur le dos d'une immobile tortue. Une machine pneumatique éborgnait l'empereur Auguste, majestueusement impassible. Plusieurs portraits d'échevins français, de bourgmestres hollandais, insensibles alors comme pendant leur vie, s'élevaient au−dessus de ce chaos d'antiquités, en y lançant un regard pâle et froid. Tous les pays de la terre semblaient avoir apporté là quelques débris

excuses. L’honnêteté qu’il se trouve transparait dans son tempérament, aussi peut-on imaginer qu’Emma le croit honnête. - « Pauvre ange », par cette métaphore, Rodolphe se montre compatissant. Emma peut le croire réellement amoureux. Le véritable portrait de Rodolphe Rodolphe apparaît comme un homme lâche, fuyant ses responsabilités en jouant sur l’hypocrisie : - « J’ai voulu m’enfuir au plus vite », « si vous eussiez été une de ces femmes » (21)à lorsque Rodolphe parle d’amour et de leur

tasses orientales venues de Chine, salières antiques, drageoirs féodaux. Un vaisseau d'ivoire voguait à pleines voiles sur le dos d'une immobile tortue. Une machine pneumatique éborgnait l'empereur Auguste, majestueusement impassible. Plusieurs portraits d'échevins français, de bourgmestres hollandais, insensibles alors comme pendant leur vie, s'élevaient au-dessus de ce chaos d'antiquités, en y lançant un regard pâle et froid. Tous les pays de la terre semblaient avoir apporté là un débris de leurs

Garde à peine le petit îlot où est enterrée sa mère.. Décide de vivre à ses miyens (pauvre) et persuadé de son génie. Rastignac le rencontre, lui présente la société parisienne et lui expliquer que le travail ne lui mène à rien. Il va lui présenter Foedora, femme inaccessible magnifique jamais eu amant?. S’en fiche de lui puisqu’il ne possède rien. Il va mal vivre cet échec amoureux et va mener une vie de débauche.Souhaiter avec la peau de chagrin de devenir riche et le lendemain il hérite d’un onclePauline

à lui fait une amorce de l'intrigue par le biais des portraits de deux personnages antithétiques. (Premièrement, nous étudierons les portraits des deux personnages, l'un critique, l'autre élogieux, puis l'omniprésence du narrateur & même la présence de l'auteur, & enfin comment Balzac, dans le texte proposé nous présente une amorce de l'intrigue.) I- Deux portraits masculins opposés Le portrait de Canalis est l'un des portraits les plus complets de l'œuvre. Sa description physique

d’Homère, n’a plus aucun pouvoir sur mes sens pour peu qu’elle soit crottée. (142). Le héros est ainsi poussé à préférer à Pauline la femme qui recueille à Paris le plus d’hommages et passe pour ne céder à aucun de ses soupirants: la marmoréenne Foedora, que le texte assimile à une œuvre d’art ou à «un roman» (151), semble une créature céleste, qui correspond seule au besoin d’absolu de Raphaël. Celui-ci recherche donc en toutes choses la démesure et le paroxysme. Il affiche aussi — au début du récit

soupirants. L’esprit des Treize imprègne le roman, en particulier la scène de violence où l’on voit Montriveau, conseillé par Ronquerolle, menacer la duchesse de la marquer au front avec une croix de Lorraine rougie au feu. Dédié à Franz Liszt, ce portrait d’une coquette représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain, qui tiennent leur fortune de leurs terres et qui vivent dans le mythe d’une naissance supérieure, fut inspiré à Balzac par la Duchesse de Castries avec laquelle il eut une

destruction de l’objet magique dans la littérature fantastique - Théophile Gautier, « La Cafetière » (La Cafetière et autres contes fantastiques, 1831), extrait. - Edgar Allan Poe, « Le Portrait ovale » (Nouvelles histoires extraordinaires, traduction de Charles Baudelaire, 1857), extrait. - Oscar Wilde, Le Portrait de Dorian Gray (1890), extrait. Groupement de textes n°2 : le mal-être de la jeunesse romantique - Charles Baudelaire, « Danse macabre » (Les Fleurs du Mal, 1857). - Théophile Gautier

comédie humaine , Balzac entend « faire concurrence à l’état civil » en inventant un univers cohérant dans lequel réapparaissent certains personnages et dans lequel il prend la posture de recenser des « espèces sociales » et d’établir un portrait sociologique de la France à la fin du XIXème siècle. Le romancier n’a jamais caché son ambition documentaire de raconter la société de son temps, mais ses romans sont bien des œuvres de fiction, et non de simples traités sociologiques. Ses personnages

Une écriture discontinue. L’œuvre de La Bruyère est divisée en seize chapitres, eux-mêmes formés de nom- breuses « remarques » enrichies au fil des ans. Le principe d’organisation des Caractères est justement cette fragmentation  : la mosaïque de portraits et de maximes constitue dans son ensemble une peinture de la société du xviie siècle. Le choix de la forme brève permet le recours à différents procédés susceptibles de séduire le lecteur tout en servant la satire : les for- mules percutantes (l’attaque