Portrait De Gargantua

excessive qui a entraîné la dégénérescence de tous les arts. Il n'y a donc rien de surprenant à ce que les humanistes aient créé l'expression "âge des ténèbres" pour identifier le Moyen Âge. À titre d'exemple, voici l'extrait d'une lettre que le géant Gargantua écrit à son fils Pantagruel dans Les Horribles et épouvantables faits et prouesses du très renommé Pantagruel, un livre de François Rabelais (1494-1553) paru en 1532. Dans un tel contexte, l'opposition lumière/ténèbres s'impose d'elle-même d'autant

 Rabelais)   - conception  optimiste  de  l’homme  à  condition  de  recevoir  une  éducation  complète  (langues  anciennes,   sens  artistique,  science,  techniques,  nature  (cf  Gargantua  Pantagruel  de  Rabelais…)       2  La  contestation  des  vérités  de  l’époque   - Homme  mis  au  centre  de  la  réflexion    n’apparaît  plus  comme  accablé  par

qu’associé au Diable. En outre, les théologiens affirment que « Jésus n’a jamais ri » : rire est donc interdit pour les chrétiens, le rire est satanique, on l’associe à une perte de contrôle de soi que le Diable peut reprendre temps. Ainsi, les portraits du Moyen-âge montrent la plupart de temps des hommes qui ne sourient pas, comme nous pouvons l’observer sur la mosaïque ci-des­sous : Mosaïque de Ravenne pour l'Europe Orthodoxe De surcroît, la religion pense que le rire fait ressembler l’homme

nous renvoient au XVIIIe siècle. Relevez les anachronismes. 2) Le portrait d’Euphrosine par Cléanthis appartient-il à l’éloge ou au blâme ? Justifiez vos propos. 3) Dans les anecdotes qu’elle rapporte, Cléanthis varie les formes de discours. Vous relèverez les formes de discours direct, indirect et indirect libre en montrant comment il marque les variations de l’attitude d’Euphrosine. 4) Cléanthis fait le portrait de sa maîtresse en racontant différentes anecdotes vécues par celle-ci ;

qui nous renvoient au XVIIIe siècle. Relevez les anachronismes. 2) Le portrait d’Euphrosine par Cléanthis appartient-il à l’éloge ou au blâme ? Justifiez vos propos. 3) Dans les anecdotes qu’elle rapporte, Cléanthis varie les formes de discours. Vous relèverez les formes de discours direct, indirect et indirect libre en montrant comment il marque les variations de l’attitude d’Euphrosine. 4) Cléanthis fait le portrait de sa maîtresse en racontant différentes anecdotes vécues par celle-ci ;

les humanistes du 16ieme S enseignaient l’espoir a travers leurs écris. -Pantagruel est le premier livre de François Rabelais publié en 1532. Rabelais a mis tout son talent au service du rire et de l’ouverture d’esprit. Pantagruel, le fils de Gargantua est le héros, géant, de cette farce éclairée qui oppose le Moyen Âge obscurantiste et l’extension des savoirs de la Renaissance. Ainsi, les philosophes des lumières et les humanistes enseigne l’espérance grâce a leur foi en l’homme. L’écrivain

pendaison) : La Ballade des pendus La Ballade des Dames du temps jadis Esprit nouveau  esprit critique Clément Marot, traducteur (fait des règles d’écriture : épîtres et sonnets) François Rabelais, formé médecin, se moque du clergé Pantagruel Gargantua Renouveau poétique  Pléiade : veut enrichir le français, fait du néologisme Pétrarque, écrit poésie à la fois précieuse et passionnée Joachim du Bellay, Défense et illustration de la langue française (veut montrer que le français est aussi digne

soumis à ce dernier. De ce fait, l'auteur propose un récit à la fois instructif et divertissant. Il peut critiquer les mœurs de son temps : Lettres Persanes de Montesquieu (1721) ou encore la mentalité des hommes et leur éducation : chapitre 15 de Gargantua de Rabelais (1534). Le caractère plaisant du récit permet d'amuser le lecteur qui veut lire la suite : les contes de Perrault (XVIIe siècle), Candide de Voltaire (1759). Si l'intérêt de recourir à un regard extérieur pour argumenter est important

sculpture –, le peintre Jeanron et peut-être Raffet. Parallèlement, il complète son apprentissage de lithographe chez le Marseillais Z. Béliard, pour lequel il prépare les pierres et exécute anonymement quelques planches dans le goût du jour: des portraits de célébrités, principalement, d’un style encore impersonnel et emprunté, suffisamment habiles en tout cas pour lui valoir de collaborer, vers 1829-1830, à La Silhouette , l’un des premiers journaux de caricatures, où il côtoie Gavarni, Henri Monnier

Rose (1230-1235 / 1275-1280) (extraits, notamment la première partie de Guillaume de Lorris) Charles  d’Orléans  (1394-1465), Rondeaux (extraits) Villon, Le Grant Testament (vers 1460) (extraits) XVIe siècle *Rabelais, Pantagruel (1532) ou Gargantua (1535) Clément Marot, Adolescence Clémentine (1532). Louise Labé, poèmes (vers 1550) Du   Bellay,   ∆   Défense et illustration de la langue française (1549) et Regrets (1558) ou Antiquitez de Rome (1558) *Ronsard, Odes (1550) ou Sonnets pour