Portrait De Gavroche Les Misérables

Victor Hugo, Les châtiments, Souvenir de la nuit du quatre L'enfant avait reçu deux balles dans la tête. Le logis était propre, humble, paisible, honnête;  On voyait un rameau bénit sur un portrait. Une vieille grand-mère était là qui pleurait. Nous le déshabillions en silence. Sa bouche,  Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son œil farouche ;  Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous

| | |Les Caractères (1688) | | |  Nous proposons ci-dessous quelques fragments des portraits qui émaillent les Caractères. Cette typologie, par laquelle La Bruyère entend | | |stigmatiser des travers inconciliables avec l'honnêteté, nous servira à proposer des travaux d'analyse destinés à retrouver, "en creux",

1678 2- BALZAC, Le Père Goriot, 1835 En quoi ce passage illustre-t-il les contradictions du personnage de Rastignac ? lignes 1-22 : En quoi ce monologue est-il révélateur du caractère du personnage ? 3- HUGO, Les Misérables, 1862 lignes 1 à 21 : Comment Hugo approfondit-il le portrait du "gamin ébauché plus haut" ? 4- CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932 En quoi peut on considérer dans cet extrait Bardamu comme un antihéros ? Quelle image du héros Louis Ferdinand Céline nous donne-t-il dans

qu’ils occupent, identifiable à leurs actions, à leurs choix, et à leurs sentiments, permet de comprendre les idées, les idéologies et les valeurs dont ils sont porteurs. Les relations entre les personnages et la société sont révélées à travers des portraits, des actions, des paroles, des réflexions : on peut alors remarquer à quel point les personnages sont les témoins et les reflets d’une époque. Il existe beaucoup d’affirmations qui disent que le roman est le reflet de la société, mais qu’en est-il

liberté : elle n’a jamais exister ; elle incarne une idée abstraite c’est ce qu’on appelle une allégorie Un enfant d’une dizaine d’années porte deux pistolets prit illégalement sur un cadavre. Ce personnage rappelé beaucoup Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables. Delacroix veut souligner le fait que toutes les générations ont été mobilisées. L’enfant du tableau est également le symbole donc Paris. Dans les rues de la capitale, ils sont des milliers comme lui, souvent sans famille, vivant

spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée - équipés avec des armes récupérés sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - celui de gauche : main crispée sur pavé, ongles sales, regard dilaté l'ouvrier [3] l'homme au béret - tablier et pantalon de manufacturier/ouvrier - sorte de cocarde en plume bleu blanc rouge l'artisan[4] l'homme au

observation : Note : I) ces trois textes datant de 1862, 1869, 1871, parle de la révolte du peuple plus précisément de l’insurrection de juin 1832 contre la monarchie de juillet « Les Misérables », La Révolution de 1848 qui aboutit à la chute de Louis-Philippe « L’Education Sentimentale » et le coup d’état du 2 décembre 1851 par Louis Napoléon Bonaparte « La Fortune des Rougon ». Nous dirons après avoir étudié les trois textes quelles visions

pièce ->HONTE. La faute des autres !!! Les autres sont coupables, moi je suis le pauvre car les autres ne m’ont pas encouragé à dire la vérité. Il écrit le texte comme s’il est la victime, le pauvre qui souffre… 6) Victor Hugo – Les Misérables « La mort de Gavroche » BIOGRAPHIE: 1802-1885; Poète français du mouvement romantique, avait 2 frères, Père était Général (Militaire qui est mort tôt), Victor est allé au lycée privé et a commencé à écrire a 10 ans car il était passionné de la littérature

informatif). C – La multiplicité des personnages : Certains romanciers ne mettent pas en scène un personnage unique mais plusieurs, dont ils donnent à voir l’évolution et les relations. C’est le cas de V. Hugo dans Les misérables, où on suit tour à tout Jean Valjean, Cosette, Gavroche… De même, dans La Condition humaine, Malraux met en scène un groupe de révolutionnaires chinois et aucun personnage n’est privilégié par le romancier : aucun n’apparaît comme « le héros ». D – Lire pour la beauté du style

adorée. Hélas ! cette horde égarée Mutilait l'airain renversé ; Et cependant, des morts souillant le saint asile, Leur sacrilège main demandait à l'argile L'empreinte de son front glacé ! Voulaient-ils donc jouir d'un portrait plus fidèle Du héros dont leur haine a payé les bienfaits ? Voulaient-ils, réprouvant leur fureur criminelle, Le rendre à nos yeux satisfaits ? Non ; mais c'était trop peu de briser son image ; Ils venaient encor, dans leur