Portrait De Leopoldine Pauca Meae

Les Contemplations. Le quatrième livre de ce dernier est intitulé Pauca Meae. C’est un livre dédié au deuil de sa fille tout en se révoltant contre la cruauté du destin et en exprimant sa nostalgie. Le poème que nous allons étudier en est extrait et se nomme « Elle avait pris ce pli … ». Nous allons tout d’abord montrer que ce texte a aussi une valeur autobiographique pour le poète, puis nous montrerons qu’Hugo dresse ici le portrait de sa fille, il nous décrit ainsi la relation privilégiée qu’il entretenait

la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine morte noyée dans la Seine. I) BIOGRAPHIE : Victor, Marie Hugo est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigebert Hugo (1773 1828), créé comte, selon la tradition familiale, par Joseph Bonaparte, roi d'Espagne et en garnison dans le Doubs

Autrefois (comprenant le livre 1 à 3) et Aujourd’hui (du livre 4 à 7). La séparation s’explique par la mort tragique de la fille du poète, Léopoldine, en 1843 dont il ne se remettra jamais complètement. · A Villequier est le 15ème poème du livre 4 Pauca Meae · le poète exprime sa douleur et évoque la soumission à Dieu qui impose à l’homme cette douleur. PROBLÉMATIQUE: Comment Hugo transforme-t-il son deuil personnel en un thème

exemple, comment le récit d'un pèlerinage émouvant devient, grâce au pouvoir de la poésie, un poème d'amour et d'immortalité. PRÉSENTATION DU TEXTE Dans les Contemplations, la mort de Léopoldine inspire à Hugo tantôt des réminiscences heureuses, tantôt de douloureux cris de désespoir. Le texte XIV de "Pauca meae ", très bref, et très simple, en apparence, n'est ni l'un ni l'autre. À la veille du quatrième anniversaire de l'accident, Hugo compose ces trois strophes d'une simplicité harmonieuse et

Les Contemplations. Le quatrième livre de ce dernier est intitulé Pauca Meae. C’est un livre dédié au deuil de sa fille tout en se révoltant contre la cruauté du destin et en exprimant sa nostalgie. Le poème que nous allons étudier en est extrait et se nomme « Elle avait pris ce pli … ». Nous allons tout d’abord montrer que ce texte a aussi une valeur autobiographique pour le poète, puis nous montrerons qu’Hugo dresse ici le portrait de sa fille, il nous décrit ainsi la relation privilégiée qu’il entretenait

son recueil, intitulé Les Contemplations, constitué de 158 poèmes rassemblés en 6 livres, y compris Demain, dès l’aube, pendant son exil en 1856. Un poème en même temps lyrique et pathétique, portant pour thème le pèlerinage à la tombe de sa fille Léopoldine, morte noyée avec son mari dans la Seine. Ce poème est une ode à l'amour et la souffrance. Est-ce que la souffrance est aimer ou l'amour souffrir? Dans un premier temps nous allons voir l’amour

et de la lumière ("baigné", "douces flammes", "souriant"). Au locatif "sous" s'oppose le locatif "derrière elle". Aux sonorités étouffées ("sombre", "ombre") s'oppose l'ouverture des voyelles ("derrière", "baigné", "flammes", "ange", "souriant", "portrait", "âmes"). Enfin, Hugo réutilise la métaphore filée : c'est la mort qui moissonne et c'est l'ange qui récolte. Conclusion      De le poème Mors, c'est naturellement tout d'abord la vision effroyable que nous retiendrons, l'utilisation particulièrement

d’Hugo (livre II) => voir la symbolique des titres donnés à ces deux livres. 2. Un tombeau poétique  Organisation du recueil liée à une tragédie personnelle : préface ; livre I à III puis V et VI séparés par le livre dédié à la tragédie « Pauca meae » => récit d’une vie avec pour point central la perte de sa fille : autres livres sont comme les satellites de ce point central.  « septembre 1843 » : simple ligne de pointillés pour symboliser le choc cataclysmique  « oh je fus comme fou

158 poèmes rédigés par Victor Hugo, entre 1846 et 1855. Le recueil a été publié lors de son exil politique à Guernesey. Il est construit comme un dyptique, puisqu’il est divisé en deux grandes parties, ayant été scindées en 1843 après la mort de Léopoldine, la fille aînée de Victor Hugo. Celle-ci s'est noyée dans la Seine avec son époux, lors d’une balade en barque. « Autrefois, Aujourd'hui. Un abîme les sépare, le tombeau.»Préface, les Contemplations est comme l’indique Victor Hugo dans la préface

Caractères 1. Un être suffisant 2. Dans une société policée 3. L’habilité du portraitiste La Bruyère nous donne son idée des convenances à respecter dans une société polissée. Il présente les règles de savoir vivre, de bonnes manières et dresse un portrait du type même du causeur pervertit par l’orgueil et la fatuité. Le dénouement donne raison à la discrétion et à l’authenticité contre le paraître. Arrias est pris à son propre piège qui est celui du langage. La force du texte vient de la mise en