Portrait De Vauquer

vrai incipit du récit ? Après un début d’histoire s’apparentant plus à une préface, on semble là arriver au véritable incipit car les descriptions y sont plus habituelles. On a là une longue mise en scène du lieu qui annonce la description de Mme Vauquer et des autres pensionnaires. Cette description est une sorte de perfection d’une des scènes de la vie privée que Balzac décrit ; on est dans leur intimité : là où ils vivent, mangent, vont s’aimer. Cette description illustre aussi la théorie Balzacienne

comparaisons dans le portrait peu flatteur de Mme Vauquer. Précision : les deux citations seront, d’une part, intégrées syntaxiquement et, d’autre part, non placées côte à côte. Encore une fois, n’oubliez pas les références. 4 pts Rép. : En disant que le nez de Mme Vauquer ressemble à « un bec de perroquet» (l.55-56) , Balzac donne un portrait peu flatteur de

pages du roman, Balzac nous fait le portrait de l'énigmatique Vautrin, juste après avoir décrit la pension où loge Vautrin et les autres clients. Mais une question subsiste dans cette description quelque peu douteuse faite par Balzac : Comment ce portrait mêle-t-il grandeurs et louanges, avant de faire sentir au lecteur une description et un caractère de ce personnage si énigmatique ? On montrera comment Vautrin est présenté de manière élogieuse et combien son portrait représente ses aptitudes peu communes

: 1. La paternité. C’est le portrait pathétique d’un père qui aime passionnément ses deux filles, pour qui il consent tous les sacrifices. Or celles-ci le négligent, ne se souviennent de lui que pour venir lui demander de l’argent. Il mourra en espérant les voir une dernière fois, souffrant une véritable torture morale. On a souvent parlé de Christ ou de martyr de la paternité à son propos. 2. Peinture de la société. A travers les personnages de la pension Vauquer, Balzac observe et dépeint la

Pour, Jeudi 6 mai 2010 DISSERTATION : Dans un roman ou une nouvelle, pensez-vous que le recours à la description et au portrait soit nécessaire ? La description a pris plusieurs formes avant de devenir ce qu’on appelle aujourd’hui la description réaliste, elle s’est imposée petit à petit au court du XVIIIe siècle, on peut alors dire que la description littéraire a connu son âge d'or dans le roman réaliste de Flaubert à Zola. Mais est-elle vraiment indispensable dans les textes narratifs ?

de rideau. L'intérieur de la pension Vauquer p24 l.124 à p26 à l.179 questions: Une description réaliste : 1) l'emploi du présent à la place de l'imparfait rend le passage plus direct comme si le lecteur découvrait les lieux lors d'une visite. 2) On relève « aujourd'hui » deux fois et « depuis quarante ans ». Sachant qu'on est en 1819 le lecteur peut se repérer facilement et adhérer a l'histoire. Remarque: Balzac s'inspire d'une demoiselle Vauquer morte en 1809 à la pension Simon dans une

Le Père Goriot (1835), Honoré de Balzac Introduction: Ce portrait se trouve dans la première partie du roman Le père Goriot, de Honoré de Balzac. Il prend place dans la présentation très complète faite par le narrateur des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une véritable galerie de portraits des habitants où figurent la propriétaire Mme Vauquer, la vieille demoiselle Michonneau avec Poiret, et Victorine, Mme Couture sa gouvernante puis celle du

Sujet : Algrida-Julien Greimas dans Du sens, II, 1983, écrit que la description « se double d’une fonction narrative seconde » et que « c’est un micro-récit ». En quoi le portrait de Madame Vauquer dans Le Père Goriot et les autres textes descriptifs étudiés confirment-ils cette affirmation ? A en juger son importance, que ce soit en termes de longueur ou de fréquence, il semble que la description soit un passage incontournable de la narration romanesque, au point qu’elle bâtit par exemple

change au cours du Roman. Au début, il parait avoir 42 ans alors qu’il a la soixantaine. C’est un homme riche et aisé qui est décrit « bourgeois, gros et gras et frais ». Mais peu à peu, il manque de sous, et monte d’étage en étage dans la maison Vauquer, ce qui signifie qu’il a de moins en moins de moyens pour payer sa pension. Il s’affaiblit et devient un homme fatigué et faible. Ce changement est accentué par le vocabulaire imagé qu’utilise Balzac : « son front de se plissa, sa mâchoire se dessina »

les gens qui vont lire l'article trouve les idées La pension bourgeoise I. L’organisation du portrait : ( parlez d'abord de la pension et faite un rapport entre la vieille et la pension ) 1. Citez dans l’ordre de leur apparition les éléments physiques décrits. 2.Retracez le parcours du regard posé sur Mme Vauquer. II. La description du personnage : ( vous pouvez parler du portrait physique et morale ) 1. Relevez les termes qui caractérisent chaque partie décrite. A quelle