Portrait De Vauquer

l’impression d’être riche, ce qui donne des idées à Mme Vauquer qui avait de vagues espérances de se marier à lui. On peut donc suivre l’appauvrissement progressif de Goriot ; le personnage tombe petit à petit dans un état de déchéance et de décadence. Quand elle apprend que Goriot n’a pas de fortune, son attitude change de tout au tout. Le narrateur nous révèle son change d’attitude envers le père Goriot avec des phrases comme « La veuve Vauquer voulut être payée d’avance ; à quoi consentit monsieur

Nous sommes ici dans les premières pages du roman . La pension Vauquer et les pensionnaires viennent être évoqués. La description a été faite selon le critère de la fortune , description ordonné selon la hiérarchie sociale. L'analyse se focalise ensuite sur certains personnages : Mr Poiret , Mme Taillefer ou encore Vautrin . Celui ci a droit a un véritable portrait : D'abord un portrait physique puis un portrait psychologique , portrait qui mène à l'évocation des mœurs . En quoi cette description est-elle

Balzac, Le Père Goriot, extrait chap 1 PORTRAIT DE VAUTRIN I/ INTRODUCT° Présentat° de l'auteur -bourgeois => études supérieures (droit) -attrait littérature => fréquentat° milieux=> journaliste (=publicat° de ses romans dns journaux en feuilletons) -affaires (=imprimerie) = échec = dettes Présentat° de l'oeuvre titre d'E à toutes ses oeuvres : La Comédie Humaine => rend hommage à Dante "La Divine Comédie" (=filiat°) objectif : montrer q. la société est un théâtre dns lequel chacun se masq. et

l’Espèce Humaine. La méthode balzacienne La méthode balzacienne se résume en de multiples descriptions minutieuses, souvent exclusivement réalistes , dans un cadre qui peut être tout aussi bien luxueux ou sordide (la maison Vauquer / le bal des comtesses). Le portrait du personnage est aussi très important, Balzac consacre des descriptions détaillées d’un point de vue extérieur, au niveau des vêtements, du visage, du comportement… et accorde aussi une signification au nom du personnage. Il rajoute

coulisse, un meuble luisant comme du soleil, avec son acajou nouvellement plaqué »[1] : on se perd, comme elles, dans la contemplation de la panoplie de choses que la littérature du XIXe siècle met sous nos yeux, on passe des meubles de la pension Vauquer aux rayons de lingerie fine du Bonheur des dames , du foisonnant atelier de Coriolis dans Manette Salomon à la collection du Cousin Pons, soudain arrêtés dans notre flânerie (callejeo) par tel objet qui se détache de l'ensemble et retient l'attention

Latin Angoulême Houmeau/Bas Angoulême Mais aussi les petits détails: Par exemple, la présence de vitres à guillotines dans La maison du chat qui Pelotte (il aurait pu se contenter de parler de vitres tout court), la façon de dire "tilleul" de Mme Vauquer... De plus il parle de choses qu'il connaît, comme du milieu de l'imprimerie (il a été imprimeur), il en parle avec précision (donner des exemples). De plus, observation des choses secrètes: "Il ne fallait pas un médiocre coup d'œil pour aller chercher

I. RÉSUMÉ DU ROMAN Le récit débute à la fin de l’année 1819, dans la Maison-Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geneviève, près du Panthéon, à Paris. Il s’agit d’une pension où vivent madame Vauquer, l’hôtesse et ses pensionnaires, mademoiselle Michonneau, une vieille fille, et Poiret, un ancien employé qui la suit partout. Il y a aussi Victorine Taillefer, une jeune fille déshéritée par son

Castex, s’oppose au terme « portrait » qui comprend aussi le côté « caractère » comme il se dégage d’une personne vue de très près. Le « type », d’après P.Georges Castex, est un personnage légèrement esquissé. Le « type » englobe conséquemment une diversité d’observations possibles et renvoie à toute une société dans sa complexité. On peut ici aller plus loin en supposant que la société se compose d’un certain nombre de « types » qu’elle représente en effet. Le « portrait » est une image profonde et

Gobseck (1830), La femme de trente ans (1831), Le Cononel Chabert, Le Curé de Tours (1832) inaugurent la catégorie « roman de mœurs » de son œuvre. Dans cette même voie, il approfondit encore le réalisme de ses peintres et dessine de puissants portraits de types humains. Avec Eugénie Grandet (1833) et Le Père Goriot (1834-1835). Il offre deux chefsd’œuvre consécutifs, plus tard élevés au rang de classiques. Il reprend en décembre 1835 la revue « La chronique de Paris » dont la publication est

l’espace : Ces indices situe l’histoire dans le décor parisien : « pension bourgeoise établie rue Neuve-St-Geneviève…St Marceau » + allusion aux« rue de montmarte » et « rue montrouge ». Il s’agit bien de paris et des périphéries de paris. La pension Vauquer se situe entre le quartier latin et le faubourg marceau. Un lien de pauvreté où l’on rencontre la misère et la souffrance, il y a aussi la présence de l’indifférence et de la cruauté, on peut dire que la laideur et la misère des lieux fait écho sur