Portrait Du Vieux

siècle à nos jours SEQUENCE : portraits proustiens Proust :Le portrait du Duc de Guermantes Marcel Proust PREPARATION AU COMMENTAIRE (: Cerner la SINGULARITE LITTERAIRE DU TEXTE) et à la lecture analytique Première approche : Il en va peut-être du portrait chez Proust comme de la description chez Flaubert : il donne moins à voir qu’à penser, voire qu’à méditer ... Ce portrait du Duc de Guermantes semble

Tous les auteurs du corpus nous proposent des portraits, des descriptions détaillés dans leurs œuvres. Nous allons voir, au travers des lignes qui suivent, dans quelle mesure chacun de ces portraits prend appui sur le réel et dans quelle mesure ils sont transposés. Dans Le Chef-d’œuvre inconnu, Balzac fait le portrait d’un « vieillard » très bien vêtu. Ce portrait est dans un premier temps très réel, en effet il s’agit d’un type de personne très banal avec une « bonne nature » très authentique

Le portrait du Colonel Chabert Proposition de commentaire composé Proposition d’introduction : [étape 1] Les portraits de Balzac, qui a su créer plus de deux mille personnages, sont très célèbres. Le portrait est, en effet, au cœur de l’entreprise romanesque balzacienne. Il donne à voir le personnage dans sa singularité, ses passions, et lui confère authenticité et vraisemblance. Le portrait du colonel Chabert, au début du roman, en est un bon exemple. Le colonel, personnage éponyme de l’œuvre

Séance 3, Lecture analytique n°1  Le vieux Saltimbanque, Baudelaire, petits poèmes en prose Premières impressions sur le texte : Escamoteur : illusionniste Saltimbanque : Personne qui fait des tours d’adresse, d’acrobatie en public Caduc : Corps affaibli Le texte est la description d’une fête foraine (Joie, Bonheur). Le poète regarde et observe la fête. On remarque plusieurs contrastes entre la foule et le Saltimbanque, notamment que tous les gens semblent gais contrairement au Saltimbanque

ne ressemblait pas plus au Chabert en vieux carrick, qu’un gros sou| | |ne ressemble à une pièce de quarante francs nouvellement frappée. À le voir, les passants eussent facilement reconnu en lui l’un de ces beaux débris de | | |notre ancienne armée, un de ces hommes héroïques sur lesquels se reflète notre gloire nationale, et qui la représentent comme un éclat de glace illuminé | |10 |par le soleil semble en réfléchir tous les rayons. Ces vieux soldats sont tout ensemble des tableaux

La représentation du corps vieux de l'homme et de la femme à travers l'art. Introduction : Cf Plan I – Les vieux en couple ; de la vieille idéale à la vieillesse réelle Le couple comme faire valoir de la création. Les vieux couples : Adam et Ève. Mosaïque que l'on trouve à Saint-sauveur en Chora, dans un faubourg de Constantinople, qui date du XiVème siècle. Ce programme iconographique a été commandé par les familles impériales de Byzance, dans une époque de grande effervescence

personnage déclenche le rire, il est détrôné. Quant au Nouveau roman de Claude Simon, Les Géorgiques (1981), ce très vieux général sur un cheval élégant démontre un portrait équestre. L’apparition du général glace le sang des soldats. Nous allons voir quels sont les effets du point de vue adopté par le narrateur. Tout d’abord, les deux auteurs Stendhal et Claude Simon font ici le portrait de deux officiers. On peut remarquer que les deux personnes n’ont qu’une seule chose en commun ce sont des soldats

printemps 1832 sous le titre L’Artiste, mais paraît sous sa forme définitive en 1844, et fait vibrer plus d'un lecteur : il est considéré presque d'emblée comme un chef-d'œuvre. En tant que tel, ce roman est une parenthèse émouvante dans la galerie de portraits balzaciens, un hommage rendu aux grognards de Napoléon Ier. Ce roman relate donc l’histoire de l’avoué Derville qui reçoit la visite d'un vieillard misérablement vêtu. Il assure être le colonel Chabert, passé pour mort à la bataille d’Eylau en

STENDHAL : LE ROUGE ET LE NOIR Explication linéaire d'un extrait du chapitre 4 du livre premier (« Un père et un fils ») Portrait de Julien Sorel : de « Julien, quoique étourdi par le coup » à « au sujet des platanes » (édition biblio lycée, pages 37-38) Rappel : cette explication n'est pas à livrer telle quelle le jour de l'oral : elle serait trop longue, et l'oral n'est de toute façon pas un exercice de récitation du cours. Il vous faudra cependant bien la comprendre et bien l'assimiler, d'une

possibles, morceau attendu qui doit tout à la fois donner au lecteur des informations liminaires, établir une atmosphère et laisser suggérer une intrigue, nous présente une scène statique dans le salon du Lagny : la jeune Indiana, son cousin Ralph et son vieux mari semblent s’ennuyer au coin du feu, accompagnés de leur chienne Ophélia. La fébrilité du mari, jaloux et brutal, contraste avec l’immobilité morbide des deux autres personnages, noyés dans un décor surchargé et tout en clair-obscur. Nous nous demanderons