Portrait Elogieux De Victor Hugo

tard, le poète met fin à sa carrière et rentre à Stratford. Auteur d'une œuvre unique et intemporelle, il s'attache à décrire les jeux du pouvoir et les passions humaines, mêlant joie et douleur avec 'une poésie illimitée', selon les termes de Victor Hugo. Surtout connu pour ses tragédies : 'Roméo et Juliette' (1595), 'Hamlet' (1603), 'Le Roi Lear' (1604) ou 'Macbeth' (1606), Shakespeare déploie ses talents dans de nombreux registres comme la comédie (' Beaucoup de bruit pour rien', 'La Mégère apprivoisée'

Les Misérables Victor Hugo Le roman Les Misérables paraît pour la première fois en 1862. Il esquisse en cinq tomes le portrait de la France du XIXe siècle et de ses injustices sociales. Victor Hugo nous fait suivre, pas à pas, la vie du bagnard Jean Valjean. Roman à multiples facettes (sociale, philosophique, historique et littéraire), Les Misérables est une œuvre à la postérité incroyable : cinéma, comédies musicales, références populaires… L’écrivain lui-même avait pressenti ce succès, puisqu’il

mécontentement, leur soutien à une cause et leurs sentiments de la plus belle façon rédigée qui soit. Je vous propose donc une anthologie composée de six poèmes d'auteurs différents, de Théodore Agrippa d'Aubigné à Boris Vian, en passant par Louis Aragon, Victor Hugo, Jean de La Fontaine ainsi qu'Aimé Césaire, dans le but d'étudier la poésie de ces auteurs depuis le XVIème Siècle jusqu'à nos jours. Si l'on me demande pourquoi j'ai choisi de réunir ces différentes poésie, c'est en premier lieu car elles proviennent

m'apparaît seule","je t'observe". L'hyperbole "Une nuée d'interprétations entourent chacun de tes gestes"complète l'idée d'attention du poète pour son aimé. Le poète fait intervenir des éléments de description brève qui ne permettent pas de construire un portrait mais qui en revanche crée l'image d'une apparition floue et presque divine avec les expressions "tu es d'abord tout entière fondue dans le brillant", "tu m'apparais seule." Cela crée un amour sans visage, universel et chaque lecteur peut se replacer

employer « sa vie pour la délivrer de la tyrannie de ses parents ». Dès ce moment-là, on comprend que Des Grieux est prêt à sacrifier sa vie pour le bonheur de cette jeune femme. C. Manon, une jeune femme mystérieuse • Des Grieux nous dresse un portrait élogieux de Manon. Elle est « fort jeune (…) encore moins âgée » que Des Grieux. Des Grieux emploie des adjectifs mélioratifs pour peindre ses qualités à l’aide du registre épidictique : l’adjectif « charmante » est renforcé par l’adverbe d’intensité

réaliste . Le personnage de roman devient un être identifiable . A partir du XIX on va avoir toute une série de portraits , de personnages qui vont s'inscrire dans l'imaginaire collectif . Il y a la fameuse phrase de Balzac , lorsqu'il parle de son projet de la comédie humaine , il dit "qu'il veut faire concurrence à l'état civil " , on va avoir des auteurs très prolifiques Balzac , Hugo et Zola . Des personnages vont gagner en épaisseur sociale , familiale , donc des personnages qui font écho a

également dans la durée : après sa mort Delacroix fera l’objet d’un certain culte que l’on retrouve dans tableau : *Henri Fantin Latour, Hommage à Delacroix, 1864 Tableau de groupe : peintre Whistler, Manet, Baudelaire, Fantin-Latour devant le portrait de Delacroix dans une sorte d’hommage, en habit noir, ils se recueillent. 1864 : un an après le Salon des refusés et le moment où s’impose une esthétique différente de celle qui a animé l’œuvre de Delacroix : l’imagination, l’ardeur. Ce n’est

l’ambiguïté du personnage Lorenzo, qui est lui-même un reflet de l’auteur. En quoi cette omniprésence du thème du double a-t-elle un rôle dramatique, et plus encore ? Si nous reconnaissons, dans cette pièce, un des principes fondamentales énoncés par Hugo dans la préface de Cromwell, à savoir l’opposition du sublime et du grotesque ; on remarque aussi que l’ambiguïté entre Lorenzo et son masque Lorenzaccio est troublante, mais surtout que Musset et Lorenzo semblent n’être qu’une seule et même personne

l’histoire d’une femme, l’histoire d’un saint, l’histoire d’une poupée » : c’est ainsi que Victor Hugo qualifiera son œuvre, aujourd’hui considérée comme l’un des romans les plus importants de la littérature française. Pour Hugo, Les Misérables ne sont pas le récit d’un fait, mais le récit de personnages fictifs, représentants les diverses figures du peuple : l’homme, la femme, l’enfant. Lorsqu’il écrit les Misérables, Hugo n’a qu’un but : en retraçant « l’histoire d’un homme, l’histoire d’une femme … »,

Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux d’une personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II : « Ce prince était