Portrait Jean Valjean

texte : « bénis » (l. 34), « tombèrent à genoux » (l. 37) ; les « chandeliers » sont un rappel des chandeliers que Jean Valjean a reçus de l’évêque qui l’a hébergé à sa sortie du bagne au début du roman ; l’« ange » et la mention de « l’âme » terminent le roman sur une note mystique. 2. Le discours testament d’un mourant La situation d’énonciation contribue à créer l’émotion : Jean Valjean implique ses « enfants » par des indices personnels répétés (du « tu » au « vous » appuyé d’un respectueux et amusé

volume, celui auquel ce fragment appartient, a 5 livres : • Fantine (notre texte est d’ici) • Cosette • Marius • Rue Plumet et bataille rue Saint Denis • Jean Valjean (le personnage du texte) Ces titres montrent que le fil conducteur de l’œuvre est le peuple et plus précisément Jean Valjean, qui incarne le symbole du peuple lui-même et qui est dans ce passage décrit. Que voit-on du personnage ? Que sait-on du personnage ? |L’aspect

Extrait du résumé Le roman Les Misérables paraît pour la première fois en 1862. Il esquisse en cinq tomes le portrait de la France du XIXe siècle et de ses injustices sociales. Victor Hugo nous fait suivre, pas à pas, la vie du bagnard Jean Valjean. Roman à multiples facettes (sociale, philosophique, historique et littéraire), Les Misérables est une oeuvre à la postérité incroyable : cinéma, comédies musicales, références populaires... L'écrivain lui-même avait pressenti ce succès, puisqu'il écrit

Partie 3 : Marius .................................................................. 8 - Partie 4 : L'idylle de la rue Plumet ................................. 9 - Partie 5 : Jean Valjean ........................................................ 10 Personnages qui parviennent à sortir de la misère - Jean Valjean ............................................................................ 11 - Cosette ......................................................................................

Victor Hugo s'inspire des figures de son époque pour camper ses personnages. Les Mémoires de Vidocq, parues en 1828, qui inspirèrent à Balzac le personnage de Vautrin, semble se retrouver en partie dans les deux personnages antagonistes que sont Jean Valjean et Javert. Le premier correspond à Vidocq l'ancien forcat et le second à Vidocq, chef de sûreté de la préfecture de police. C'est, du moins, une observation faite par de nombreuses études[15],[16],[17]. Cependant, Victor Hugo ne reconnaîtra jamais

Tome 1 Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très pauvrement dans son diocèse de Digne avec sa sœur Baptistine et une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Il va connaitre notre héro principal, Jean Valjean. Ce dernier est présenté comme un homme n'ayant

la nature humaine. Dans le premier temps Hugo appelle son roman Les Misères et son personnage central Jean Tréjean, en suite dans le deuxième temps Hugo intitule le roman Les Misérables et dont le héros fut rebaptisé Jean Valjean. Entre les antagonistes du personnage principal, c’est-à-dire Jean Valjean, on trouve les Thénardier et Javer. Ce dernier est considéré comme l’opposé à Jean Valjean car la nature de son rôle négatif diffère des autres malfaiteurs. Dans cette présentation du personnage

pain, Jean Valjean veut se rendre chez lui. Il traverse la ville de Digne et cherche un logement pour la nuit. La seule personne qui accepte de l'héberger, est l'évêque de la ville Mgr Bienvenu. Malgré toute la générosité de l'évêque, le bagnard prend la fuite en pleine nuit, après avoir dérobé les couverts en argent de l'évêque. Au petit matin Jean Valjean est arrêté et emmené chez l'évêque qui témoigne de son innocence, et lui donne les deux chandeliers en argent qu'il avait oubliés. Jean Valjean

Sujet : « Et des types tout d’une pièce comme dans les tragédies ! Où y a-t-il des prostituées comme Fantine, des forçats comme Valjean, et des hommes politiques comme les stupides cocos de l’A B C ? Pas une fois on ne les voit souffrir dans le fond de leur âme. Ce sont des mannequins, des bonhommes en sucre, à commencer par monseigneur Bienvenu. […] Où est l’évêque qui demande la bénédiction d’un conventionnel ? […] Quant à leurs discours, ils parlent très bien, mais tous de même ». Ce jugement

Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, il entreprend une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849). Durant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et de la Légende des siècles (1859), il se remet à l'écriture des Misérables