Portrait Journalistique

scène décrivant l’arrivée de Charles Bovary, futur mari de l’héroïne du roman, dans sa classe, le premier jour d’école. Quels regards le narrateur porte-t-il sur Charles Bovary ? Afin de répondre à cette question, nous étudierons tout d’abord le portrait du personnage, puis, nous analyserons la vision critique du narrateur. Dans cet extrait, Charles Bovary nous est présenté comme étant différent des autres élèves, tout d’abord par son physique. En effet, sa tenue vestimentaire frappe les autres

éliminent les traits du visage de Staline tirés par la petite vérole, les froissures de la veste de Mao, suppriment la cigarette qui pend aux lèvres du dictateur albanais Hodja et font disparaître les détails comme un micro, qui « gâcheraient » le portrait de Mussolini. La technologie numérique n'a donc rien inventé en termes de falsification de l'image. Elle perpétue donc cette tradition de « glorification » des hommes politiques. Elle leur apporte du dynamisme, de la jeunesse, et même une certaine

vieillissante (« déficits assez mal ravaudés » vers 4), les « cheveux bruns » s'opposent au blond vénitien souvent attribué à Vénus. Le reste du poème s'attache à dresser un portrait disgracieux de la Vénus. Dans ce poème, Rimbaud dresse un blason (court poème célébrant une partie du corps féminin ou évoquant le corps entier). Toutefois, le portrait qu'il réalise ainsi est particulièrement dépréciatif, faisant ainsi de son poème un contre-blason.

l’itinéraire personnel d’un individu qui se frotte aux réalités du monde Flaubert : écrivain français fasciné par le romantisme, a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme… Le portrait d’un oisif : le point de vue sur le personnage . Frédéric Moreau, désigné par le pronom « il » : souvent décrit du dehors, en focalisation externe . Evocation des faits et gestes de ce médiocre héros, de ses sorties sur le balcon

délabrés de la ruelle et les bords de trottoirs jonchés de falques d’eau lui donnent une allure sale ; il est solitaire. Une autre ruelle succède à celle-ci, elle aussi est déserte. Pour illustrer ce cadrage urbain, le photographe a choisi un format portrait. Ce choix personnel lui a ainsi permis de mettre en valeur les lignes verticales de la composition. L’espace est ainsi dominé par les arêtes de murs et les masses sombres qui dominent presque les deux-tiers de l’image. Ces arêtes verticales des

entre deux boutons de son corsage, un lorgnon d'écaille ». Minerve est le symbole d'Emma et la comparaison à un homme renforce cette image. L'image du « nerf de bœuf » renforce encore cet aspect viril. 3) Une femme sensuelle Ce qui rend le portrait d'Emma sensuel c'est l'importance accordée à la chair, à la peau : « son cou sortait d'un col blanc », « pommettes roses », « lèvres charnues ». Ce sont des détails qui attirent le regard, qui la rendent attirante, malgré ses mains sèches. La fin

Français : Commentaire composé. Consigne : Faire l’introduction, le premier axe et la conclusion du commentaire composé sur le portrait de Vautrin, dans Le Père Goriot de Balzac. Bibliolycée p. 33-34 (l.375-416) L’extrait que nous allons étudier est tiré du roman réaliste Le père Goriot écrit par Honoré de Balzac et publié en 1835. Honoré de Balzac est un des maîtres incontestés du roman français dont il a abordé plusieurs genres. Balzac a organisé ses œuvres en un vaste ensemble, La

religieuse : Tableau représentant des événements ou des éléments associés à la religion (Christianisme, Judaïsme, Islam, Bouddhisme…) Peinture mythologique : Tableau représentant des événements ou des éléments associés à la mythologie EX : grecque Portrait et autoportrait : Représentation d’une personne vivante, morte, réelle ou imaginaire, à l’exclusion des tableaux de scènes historiques ou de scènes de genre. Scène de genre : Peinture représentant des scènes empruntées à la vie familière, anecdotique

Il étudie à l’Académie de Toulouse, puis apprend son métier en reproduisant les formes du corps humain. Il obtient le prix de Rome en 1801 avec « Achille recevant les ambassadeurs d’Agamemnon ». Il suit le mouvement Néo-classicisme. Il peint le portrait du premier consul Napoleon Bonaparte en 1804 mais celui-ci est suivi de nombreux critiques. Ingres entretient une rivalité avec Eugène Delacroix. Il sera vraiment reconnut à l’age de 40 ans. L’incompris devient alors professeurs à l’école des Beaux-Arts

à ce sujet : « une chose bien dessinée est toujours assez bien peinte », par cette phrase il affirme lui même la primauté qu'il accorde au dessin. Et il applique ceci notamment sur les portraits qu'il réalise pour la grande bourgeoisie dont les plus célèbre sont Le portrait de monsieur Bertin ou encore Le portrait de la comtesse d'Haussonville. Les talent qu'on lui reconnaît aujourd'hui le plus sont d'une part, son sens de l'esthétique et de la recherche de la beauté corporelle de ses sujets, d'autre