Portrait Personnage Antigone

diffrentes trames narratives avec tout de mme 2 rcits concomitants celui bien sr qui concerne Massaba, le royaume dchir du roi Tsongor le second centr autour du personnage du jeune Souma dans sa recherche, sa qute de vrit et spiritualit.il y a bien sr galement en parallle les souffrances de Tsongor Enchainement et alternance des personnages, chacun ayant son moment de gloire, ses monologues et des choix faire. Choix auxquels il ne pourra chapper Alternance galement dans lcriture entre descriptions

 DE MARIE GOUZE À OLYMPE DE GOUGES CONSTRUCTION D’UN MYTHE ET SES VARIANTES Travaux Pratiques Encadrés Thème « héros et personnages » Axe de recherche : « Le processus d’héroïsation » Ophelia BOKO YAOU Sarah CONRAD Flora GOURIER 1ère L – Lycée Rabelais – année scolaire 2013-2014 Professeurs encadrants : Monsieur Bouquerel (Lettres) et Mme Durand-Viel (Histoire-Géographie) Dédicace A la mémoire de Jean-Marie Conrad

Sur scène, les personnages se parlent entre eux, mais leur dialogue s'adresse en même temps au public : il y a donc double énonciation. Les spectateurs acceptent cette convention et ne se formalisent pas, par exemple, du caractère peu vraisemblable des apartés. Qui sait quoi ? Le plaisir du public – fait d'attente, de peur, de surprise, de tension, etc. – réside aussi dans ce qui lui est révélé ou ce qui lui reste caché. Ainsi s'établissent des connivences avec certains personnages dont on pressent

présentée sur scène jusqu'en 1947. Dans toutes les Revues de Gélinas on retrouvait deux grands thèmes: la vie familiale et l'actualité. Ces Revues ont obtenu un très grand succès. Les salles étaient remplies de spectateurs qui s'identifiaient aux personnages. On peut dire que Gratien Gélinas a été le premier dramaturge québécois à se servir de lui-même et du public comme matière dramatique. Ti t-Coq, qui marqua la naissance du théâtre québécois moderne, fut présentée au Monument National en 1948

mesure qui excède la nôtre. » Donner à voir de façon imagée et moqueuse le scandale de tel ou tel désir excessif et, de ce fait, blâmable est une esquisse de perspectives sages. Mais ce n’est qu’esquisse. Bien mieux qu’un La Bruyère en ses rapides portraits bigarrés, les Grecs – et, dans leur sillage, les Latins – ont su, avec profondeur, discerner tout ce que comportait d’horreur mais aussi de grandiose ce domaine ambigu qu’est celui de la conscience désirante et passionnée, ou celui des grandes émotions

proposées aux élèves : Phèdre de Jean Racine Britannicus de Jean Racine Antigone de Jean Anouilh Incendies de Wajdi Mouawad Cendrillon de Joël Pommerat 5 Objet d’étude : Le roman et le récit du Moyen Âge au XIXe siècle Œuvre intégrale : Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut de l’abbé Prévost (1753) Parcours associé : Personnages en marge, plaisir du romanesque. Textes de l’œuvre intégrale Édition au

d’aujourd’hui sera le chef-d’œuvre de demain. Shakespeare change-t-il quelque chose à Sophocle ? Molière ôte-t-il quelque chose à Plaute ? Même quand il lui prend Amphitryon, il ne le lui ôte pas. Figaro abolit-il Sancho Pança ? Cordelia supprime-t-elle Antigone ? Non, les poètes ne s’entr’escaladent pas. L’un n’est pas le marchepied de l’autre. On s’élève seul sans autre point d’appui que soi. On n’a pas son pareil sous les pieds. Les nouveaux venus respectent les vieux. On se succède, on ne se remplace

d’aujourd’hui sera le chef-d’œuvre de demain. Shakespeare change-t-il quelque chose à Sophocle ? Molière ôte-t-il quelque chose à Plaute ? Même quand il lui prend Amphitryon, il ne le lui ôte pas. Figaro abolit-il Sancho Pança ? Cordelia supprime-t-elle Antigone ? Non, les poètes ne s’entr’escaladent pas. L’un n’est pas le marchepied de l’autre. On s’élève seul sans autre point d’appui que soi. On n’a pas son pareil sous les pieds. Les nouveaux venus respectent les vieux. On se succède, on ne se remplace

mal. Ils ne connaissent que leur intérêt. Lorsqu'ils exercent la violence, ils n'ont donc aucun frein ; aucune mauvaise conscience, aucun remords ne saurait naître en eux. Ces trois éléments apparentent, on en conviendra, l'homme à l'animal. Le portrait tracé par Hobbes pourrait, pour l'essentiel, être celui d'un animal. Car les animaux aussi savent calculer, pour l'essentiel, où se trouve leur intérêt. Hobbes voit donc en l'homme un animal, ou mieux un loup. Homo homini lupus[8], dit-il. Autrement

- article (éditorial, article critique - éloge ou blâme -, droit de réponse...) ; - lettre (correspondance avec un destinataire défini dans le libellé du sujet, lettre destinée au courrier des lecteurs, lettre ouverte, lettre fictive d'un des personnages présents dans un des textes du corpus...) ; - monologue délibératif, dialogue (y compris le dialogue théâtral) ; - récit à visée argumentative sous forme de fable, d'apologue... Quelques conseils pour la rédaction des travaux d'écriture