Portrait Physique De Nana

l’imaginaire quotidien de la noce, en témoigne la stupéfaction qu’elle exprime devant certaines œuvres. 2. La peinture : Elle est manifeste à travers les grands maîtres classiques et où l’accent est mis sur le sacré (La Vierge), le portrait poussé à la perfection (La Joconde de Leonard de Vinci) ; La Maîtresse de Titien) et l’Histoire (Le Radeau de la Méduse de Géricault). Sana oublier cependant certains tableaux qui ne sont que cités : Kermesse de Rubens, Noces de Cana. Encore une

insoupçonnée comme on peut le voir dans tout le roman La Bête humaine de Zola, un des livres du cycle des Rougon-Macquart qui est d’ailleurs la grande œuvre de cet auteur, ou dans cet extrait de Nana : « Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve. Nana était toute velue, un duvet de rousse faisait de son corps un velours ; tandis que, dans sa croupe et ses cuisses de cavale, dans les renflements charnus creusés de plis profonds, qui donnaient

Zola. Leur amour s'explique par la dépravation morale d'un Paris dégénéré. 2. Par les personnages Les personnages sont caractérisés d'abord par leur portrait Le romancier peut donc par un personnage, incarner un point de vue sur la société. Madame de la Fayette, la Princesse de Clèves , Mme de Clèves et M de Nemours allient qualités physiques et spirituelles, et une grandeur d'âme qui les empêchent de se laisser aller à la passion. B) Comment les pp représentent la société. (Vie de société

puzzle est donc à reconstruire, tout cela afin d ‘éviter un copier -coller. I Le roman du Moyen – Age au XVII ième siècle met en scène souvent des héros extraordinaires, idéalisés sublimés, merveilleux. Quel idéal est représenté à travers portraits de personnages, description des espaces traversés ? Don Quichotte de Cervantès, Gargantua , Pantagruel de Rabelais ? Des romans parodiques de quoi, pourquoi ? Faites des recherches des fiches, prenez des notes. Pourquoi, dans quelle visée : édifier

Fortune des Rougon). Arrivé à Paris après la mort de sa mère, son physique androgyne et sa malice lui ouvrent les faveurs des hautes bourgeoises parisiennes. Archétype de l'homme-femme, symbole de la décadence de la haute société impériale, il représente également le « petit crevé », fils de parvenu parisien du second Empire vivant des rentes de ses parents. Emile Zola, La Curée, 1872. Nana : Née en 1852 dans la misère du monde ouvrier, Nana est la fille de Gervaise et de Coupeau dont l’histoire est

techniques permettant de produire des livres beaucoup moins chers). Le public s’élargit, le roman s’adapte à ses attentes. Avec le développement de la presse, se développe la parution de romans en feuilletons : ex Les trois mousquetaires de Dumas en 1844 ou Nana de Zola en 1880. La bourgeoisie, favorisée par la révolution industrielle, s’impose de plus en plus. Les villes se modernisent et la classe ouvrière se constitue. Une telle évolution conduit à une nouvelle vision de l’homme et du monde dont le roman

peut varier les focalisations, ce qui permet au lecteur de croiser les perceptions des évènements et des personnages. Le personnage de roman Sa caractérisation (son nom, son portrait physique et moral, son intégration dans le cadre spatio-temporel). Il peut représenter un « type » psychologique, moral ou social (ex : Nana la prostituée chez Zola) Ses paroles : Discours direct : rapporte fidèlement les paroles prononcées par le personnage entre guillemets. Il délivre des informations sur son appartenance

début à la fin à travers de tous ses faits et gestes. a) Portrait physique (3)Au début du récit, Gervaise est une jolie jeune femme âgée de 28 ans, aux cheveux blonds et à la peau claire. Elle est un peu boiteuse et a les traits du visage tirés par la rudesse de la vie. Plus loin dans le récit, lorsque l’héroïne ouvre sa blanchisserie, elle commence tout doucement à se laisser aller à un point tel qu’elle en devient grasse. b) Portrait moral (5)Gervaise a grandi dans le sud de la France, en Provence

artistes de l'époque ( Sandoz reflète Zola ; Claude est un mélange de Manet et de Cézanne), ces personnages, contrairement au tragique, ne sont ni des héros ni des rois, au contraire, ils sont pour la plupart issus de la basse société, ils ont un physique peu avantageux, des traits grossiers, et sont peu instruits ou en manque de manières et d'argent. Par exemple, Dubuche est un gros garçon au visage bouffi et à la forte moustache qui manque cruellement d'imagination. Loin d'être idéalisés, ils sont

leurs employeurs, ou victimes, fait comprendre une intention sociale, pas forcément dénonciatrice mais au moins sélective. Idem pour L’Assommoir : les paroles de Coupeau, son langage vulgaire, les pensées de Gervaise devant l’alambic, les paroles de Nana à son père, les racontars de la troupe des repasseuses dans l’atelier de Gervaise, sont bien une description d’un Paris populaire, plein de petits défauts, donc on comprend que Zola a voulu nous faire sentir la misère morale et sociale d’un quartier