Portrait Physique De Sa Mère

beauté. Sa mère, qui lui inculqua la méfiance de la passion et le culte du devoir et de la vertu, la marie au Prince de Clèves. Mais l'amour de ce dernier ne parvient pas à éveiller le cœur de la jeune femme qui tombe amoureuse du Duc de Nemours. Pour ne pas succomber à cet amour, elle avoue ces sentiments à son mari qui sur un faux rapport croît sa femme infidèle et meurt de désespoir. Lecture Problématique : En quoi Mademoiselle de Chartres est-elle une héroïne ? I. Un portrait physique

28 à 50: Le narrateur décrit un paysage radicalement opposé puisque il provoque une sensation de degout: "putrides" ; "sales et puantes" ; "un parfum de pétrole" -> champ lexical de l'odeur composé de thermes péjoratifs, ce qui provoque un degout physique. "le soleil commençait à brûler les visages" (hyperbole) -> sensation de malaise,d'inconfort. "On eût dit qu'une lèpre l'avait ravagé"(métaphore et personnification) -> la campagne est assimilée a une personne ayant la lèpre, la campagne est donc

qui lui est bien antérieur : 349 ans auparavant. Cet extrait tiré du Livre IV et du Chapitre III « Immanis pecoris custos, immanior ipse » fait la description d’un des protagonistes, Quasimodo, le bossu de Notre-Dame. Ce texte met en parallèle le physique de Quasimodo et l’aspect de la cathédrale en les liant. On se demande alors quelle représentation de l’espace se dégage des procédés utilisés par l’auteur. La cathédrale Notre-Dame de Paris, emblème de la capitale, est ici décrite intimement par

explique le pourquoi de sa haine en faisant du portrait du père d’Electre un portrait de macho méprisable. Le portrait va lui servir de se justifier. I) 1er axe : Clytemnestre avoue sa haine : portrait à charge d’Agamemnon : plaidoyer. (Accusation : Agamemnon, plaidoyer : Clytemnestre.) Aveu implicite du crime quand « j’ai fait immoler le bélier [...] ». « Prendre le sceptre à pleine main » : prendre le pouvoir. --> Aveu de la haine, aveu du crime. Portrait à charge d’Agamemnon : c’est un vrai réquisitoire

Afrique du Nord, et sa mère, une indigène d’une grande beauté. Les deux cousins grandissent ensemble ; de santé fragile, malingre et souffreteux, Camille mène une vie monotone et terne, couvé par sa mère qui craint toujours de le perdre. Thérèse épouse Camille lorsqu’elle atteint vingt et un ans, selon les vœux de sa tante. CHAPITRE 3 : Les exigences de Camille (analepse) ; l’installation à Paris  Mme Raquin cède aux désirs de Camille, qui décide d’aller vivre à Paris ; sa mère achète une sinistre

Chartres, c'est une jeune fille de 16 ans d'une très grande beauté, élevée par sa mère dans le principe des valeurs et la vertu. Elle épouse le prince de Clèves, un jeune homme très épris d'elle, mais dont elle n'est pas amoureuse. Peu de temps après son mariage la princesse de Clèves, rencontre -au cours d'un bal- le Duc de Nemours dont elle va tomber amoureuse. Mais attachée aux principes et aux vertus enseignés par sa mère, elle lutte contre ses sentiments, et décide de se retirer dans sa maison

 A) Un portrait canonique idéalisé - L’apparition à la Cour de Mademoiselle de Chartres suscite l’admiration et la surprise des courtisans, jamais nommés, et de son parent le Vidame de Chartres, d’où un lexique du regard (« yeux, regard ») important dans cette société du paraître. - Point de détails qui particulariseraient la jeune fille et mystère provisoire sur son identité. C’est une beauté canonique, forcément blonde au teint blanc : « La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient

BOVARY de GUSTAVE FLAUBERT Présentation de l’œuvre Madame Bovary, Gustave FLAUBERT, Le livre de poche, n° 713 Sur la première de couverture, nous découvrons le portrait d’une jeune femme, peint en 1854 par le peintre Antonio Puccinelli. En observant ce portrait, nous pourrions aisément imaginer que c’est bien là le portrait de notre héroïne, Emma Bovary : une femme brune, au visage classique et fermé. Pourtant son front haut, ses yeux sombres et son regard profond, nous font penser que sous

énonciation (le nègre rapporte les paroles de sa mère dans son propre discours) → Cette insertion du discours dans le récit évite la monotonie, rend le passage vivant et plus véridique. 4. Par ailleurs, alternance du récit et du discours permet un quintuple pov sur la situation de l'esclave. Celui de l'auteur, de la mère, du nègre, de Candide et de Cacambo Au service, bien sûr, d'une critique implicite. 5. Critique présente dans la description physique du nègre Le passage s'ouvre sur une vision

Portrait de Meursault Portrait physique  On en apprend guère sur l’aspect physique de M. Il est bronzé, et a dans les trente ans. (p. 56 ; 171). Portrait moral M. est très attentif, il perçoit beaucoup de détails à propos des gens et du monde qui l’entourent. Il lui arrive de mal interpréter les gens, et c’est réciproque. Il est différent, mais pas méchant. Il tue quelqu’un sans réfléchir, mais sans en avoir l’intention non-plus. On a l’impression qu’il n’éprouve aucun sentiment, si ce