Portrait Physique Elogieux

réjouit de la mort de son ami Forestier qui va lui permettre d’obtenir la femme de ce dernier. EX : il séduit Mme Walter pour que celle-ci dresse un portrait élogieux de lui auprès de son mariEX : il enlève Suzanne Walter pour forcer le père de celle-ci à accorder le mariage.- La société est corrompue par l’argent et le pouvoir. EX : Maupassant dresse un portrait négatif péjoratif des députés et des ministres.EX : lors de l’affaire politique entre M. Walter et ses associés au sujet du Maroc, M. Walter se

entre la vie et la mort : le "mais " revient 3 fois II-Caractère intime et familier du poème Evocation de la vie de couple, et notamment par le nombre d’années « 17 années » Bonheur partagé : notre vie / épisode heureux : « Aurore … » Portrait élogieux de Nusch, poème attribué à Nusch  cela relève de la joie, communique la joie Mais aussi proximité avec la mort : cadavre, masque Intimité avec la mort qui s’installe : « boit et mange » « Et la mort entre en moi comme dans un moulin »

génie ; mouvement des lumières. b) La religieuse, roman entre fiction et réalité, Diderot condamne l’homosexualité mais parce que c’est le fruit de l’enfermement + mystification 1780 c) Incipit du roman, situation initiale, pacte de lecture, portrait marquis et Suzanne e)  ? f) I) un pacte de lecture II) une Suzanne cendrillon I) Un pacte de lecture 1) Une Suzanne narratrice -vertueuse L8 à 11 : énumération en rythme ternaire «  de sa sensibilité, horreur, probité »  (l9)

situation dans laquelle elle est : elle est une femme trahie. → Son cœur prend le dessus sur son esprit = elle a refusé de penser que Dom pouvait la trahir. • Champ lexical de la souffrance = elle fait l’aveu de sa faiblesse + de son infériorité = portrait négatif d’elle-même : - elle est dans le blâme : « je reste simple ». - expression du désespoir : elle se dit « sotte » de s’être trompée elle-même. - elle s’est trompée dans son jugement : elle essayait de se persuader que son mari lui était

« splendeur » (l 17), « la séduction de (sa) taille » (l 17) ainsi que par « la finesse » (l 18) de madame Arnoux, une femme assise sur un banc, dont il fait un portrait très élogieux et idéalisé. Plus il se rapproche d’elle, plus moins il distingue les personnes qui sont autour d’eux, comme s’il était complètement absorbé par son physique Par ailleurs, elle lui apparaît comme une déesse, comme une divinité intouchable. Elle lui paraissait comme quelqu’un « extraordinaire » (l 19) dont il a tout

Maupassant publié en 1880. Il est de type narratif. L’auteur peint le portrait, d’une galante, surnommée Boule de Suif car elle est obèse mais elle plaît car elle est jolie et fraiche. L’auteur décrit Boule de Suif. C’est une prostituée obèse depuis son plus jeune âge. Son portrait et son surnom sont peu élogieux mais elle semble plaire quand même. Car elle est fraîche et sensuelle. Elle n’est pas rejetée à cause de son physique. Partager sur Google Partagez sur facebook Partage Signaler un abus

passé simple puisqu’il marque le retournement du loup. On repère aussi un verbe au plus-que-parfait « qui s’était fourvoyé » v4, il s’agit d’un retour dans le passé. Aucun détail superflu n’est ajouté à la situation du chien. B) Les portraits. Le portrait physique oppose fortement les deux animaux. Le chien est présenté grâce à des adjectifs mélioratifs, il y a une énumération de termes mélioratifs. Ces termes soulignent la force, la bonne santé du chien : « embonpoint » a une connotation méliorative

Une partie de campagne Tout d’abord, dans la nouvelle Une partie de campagne, Maupassant dresse un portrait ridicule des bourgeois en les décrivant comme des êtres grossiers. On peut le constater dans la description physique des personnages qui est très peu avantageuse. Entre autres, la description de Mme. Dufour nous laisse l’image d’une grosse femme qui se met très peu en valeur : «Elle respirait avec peine, étranglée violemment par l’étreinte de son corset trop serré; et la pression de cette

Duroy rencontre les femmes qui progressivement l’aideront à atteindre le but qu’il s’est fixé. La première femme qu’il découvre est Madeleine Forestier, l’épouse de son ami. C’est une « jeune femme blonde et jolie » qui bénéficie d’un portrait physique précis et élogieux. Elle mêle beauté et intelligence. Dès leur première rencontre elle perce la nature secrète de Duroy. Elle sait aussitôt que cet homme ira loin et, lorsqu’il parle de l’Afrique, elle le couve d’un regard « protecteur et souriant ».

• 3e mouvement (ligne 20-27) : une entrée remarquée à la Cour PREMIER MOUVEMENT – UNE BEAUTÉ PARFAITE (LIGNE 1-4) tournure impersonnelle au passé simple « il parut » (ligne 1) → apparition du personnage principal, déclenchement du récit. termes élogieux, répétition et hyperbole « beauté » et « beauté parfaite » (ligne 1-2) → beauté exceptionnelle, mise en avant principale. proposition subordonnée relative et effet hyperbolique « où l'on était si accoutumé à voir des belles personnes » (ligne 2-3)