Portrait Physique Elogieux

Chapitre 8 I. Portrait élogieux de Madeleine à travers le regard de Duroy Tout le texte est en focalisation interne, et la description de Madeleine passe par le regard de Duroy. Toutes les infos sur elle sont celles que connaît Duroy → avec des limites car il ne connaît pas tout → d'où de nombreuses interrogations. Ordre logique → Duroy évoque d'abord la mort → objet des préoccupations au début du texte pour ensuite s'en détourner et enchaîner logiquement avec Madeleine. Description physique de Madeleine

l’arrivée, l’un de Perdican, l’autre, de Camille et en tracent un portrait de l’élève sur le mode élogieux. * Sortie des personnages respectifs « il sort » (l….) ;  « elle sort » (l…..), la scène se termine par une phrase de conclusion du chœur, puis « ils sortent » (l…..). B) Un miroir réfléchissant ou déformant 1) La coïncidence entre le portrait du chœur sur les personnages et les paroles de ces derniers confirment ce portrait * Pour Blazius : Association « vendange » (l…..), «les yeux

PDC 1 incipit INTRODUCTION Paru en 1678, La Princesse de Clèves , roman de Mme de Lafayette s’ouvre sur la cour du Roi Henri II. Ce portrait inaugural des plus hauts personnages du royaume se laisse lire de prime abord comme un éloge des fastes de la Cour. Sous cet éloge apparent se dessine cependant un jugement critique. L’enjeu de la lecture est alors de comprendre comment l’écriture de Mme de Lafayette, soumise aux contraintes de l’ouverture romanesque, réussit à livrer un blâme sous les dehors

Araminte1. Un portrait élogieux de Dorante Dubois rebondit sur cette idée d’« honnête homme » pour dresser un tableau élogieux de Dorante  en attestent les tournures superlatives « plus brave homme dans toute la terre », « plus d’honneur à lui tout seul que cinquante honnêtes gens ensemble », hyperboles laudatives pour décrire la morale avérée de Dorante. On remarque également le syntagme « probité merveilleuse » qui finit ce portrait moral

Le texte que nous étudierons dans ce commentaire est extrait du roman Bel Ami, écrit par Guy de Maupassant en 1885. Bel ami est un auteur connu du XIXe siècle surtout pour ses nouvelles et ses romans réalistes. Il était le disciple de Gustave Flaubert, qui lui a initié le mouvement, et fréquentait d’autres auteurs tels que Émile Zola. Le roman Bel Ami appartient donc au mouvement réaliste. Il s’agit d’un mouvement littéraire né pendant la deuxième moitié du XIXe siècle qui cherche à représenter

la naissance de l'amour et le présent du vers 1 met en évidence le caractère vivace de cette séduction. - La 2ème métaphore est développé au vers 3. Elle assimile l'amour à une flamme qui brûle "éprise". Cette métaphore exprime la violence physique de l'émotion ressentie, violence traduite aussi par le resserrement du vers 3. - La 3ème métaphore contenue dans le dernier vers est une métaphore pétrarquiste par excellence, celle qui exprime le pouvoir du regard de la femme. Les mêmes

novatrice et analytique pour l’époque. L’extrait étudié ici relate le portrait de l’héroïne du roman. Il se situe en tout début de roman. Un portrait idéalisé et élogieux de Mlle de Chartres , future Princesse de Clèves, qui fait son entrée à la cour d’Henri II et qui rencontre dans une joaillerie son futur époux : M de Clèves . Lors de cette analyse , on scindera en deux parties l’extrait : le portrait et la rencontre. Le portrait est avant tout marqué par une volonté de « faire vrai » , un grand

l’héroïne fait le portrait du duc de Nemours, un « prince » de la cour d’Henri II. Elle le présente comme « un chef-d’œuvre de la nature [...] l’homme du monde le mieux fait et le plus beau ». L’emploi des superlatifs élogieux, intensifiés par la précision « du monde », la métaphore hyperbolique « chef-d’œuvre », empruntée à la peinture, font imaginer au lecteur un héros singulier qui ne peut être égaler. Certains personnages romanesques se démarquent de l’humanité commune par leur physique, qu’ils soient

littéraire classique puis nous aborderons le cadre des personnages et leurs limites. I. Un roman propre au mouvement littéraire classique a) Style esthétique clair et bref : *Le portrait de La princesse de Clèves : pureté du langage, omni présence de la beauté => dimension exceptionnelle. Portrait physique très élogieux, isotopie de la clarté : « blancheur », « éclat » Dimension angélique => Plait au lecteur, ne le choque pas. Limpidité du langage et vocabulaire épuré « éclat » «  honnête femme »

l'intrigue par le biais des portraits de deux personnages antithétiques. (Premièrement, nous étudierons les portraits des deux personnages, l'un critique, l'autre élogieux, puis l'omniprésence du narrateur & même la présence de l'auteur, & enfin comment Balzac, dans le texte proposé nous présente une amorce de l'intrigue.) I- Deux portraits masculins opposés Le portrait de Canalis est l'un des portraits les plus complets de l'œuvre. Sa description physique semble faire de lui un personnage