Portrait Psychologique Ou Moral

1ère Madame de La Fayette, épistolière française, a inventé le roman psychologique moderne, un récit centré sur une intrigue et quelques personnages, montrant la torture de l'amour. Par conséquent, elle est considérée comme une écrivaine classique. Son plus grand chef-d'œuvre, restera la Princesse de Clèves publié en 1678, qui a suscité un succès immédiat. Ainsi, Madame de La Fayette propose une œuvre sombre, et un portrait pessimiste de l'amour qui est toujours néfaste. Le célèbre roman éponyme

de Clèves) INTRODUCTION : - Mme de La Fayette (1634 – 1693) *Aristocrate ayant vécu à la cour + Femme de lettres - La Princesse de Clèves: *Roman classique assez bref + inhabituel ( différent des romans fleuves) + analyse psychologique des personnages * Extrait: peu après le mariage de l'héroine (→ n'aime pas son époux) * coup de foudre entre Princesse – Duc de Nemours * Comment Mme de La Fayette renouvelle la scène de rencontre amoureuse en faisant un piège

« blessé, entaille profonde, douloureux, larmes, mourir… ».      Cette souffrance n’est pas le fait de la nature mais de l’homme. L’homme « avare bourreau de la création » « dérobe » et « assassine ». Ces mots aux connotations violentes brossent le portrait d’une humanité brutale et cruelle.      Le dessein de Théophile Gautier n’est pas de dénoncer les outrages faits à la nature mais d’utiliser des images qui révèlent la brutalité du monde à l’égard des poètes. C’est au poète que l’humanité est accusée

que les animaux de son environnement. Son corps est son seul outil et sa seule arme (Rousseau dit même que l’homme de la civilisation serait facilement battu par l’homme naturel dans un combat). Dépouvru de sens moral, l’homme naturel ni connaît ni le bien ni le mal, c’est un être infra-moral (Rousseau réfute ainsi le vice attribué par Hobbes à l’homme de la nature). Sa pensée est composée d’opérations simples. Il n’a que peu de besoins, et pour cela il parvient facilement à les satisfaire. Ses passions

un homme âgé ; Tiberge (témoin) = gens ordinaires ≠milieu de la cour. Environnement disparaît rapidement pour mettre en valeur les 2 personnages. II/ Les personnages 1) Pauvreté du portrait physique Rien sur le narrateur Manon : adj. mélioratif  « si charmante ; fort jeune » 2) Esquisse des portraits moraux Narrateur : innocent = retenue, sagesse, timide Jeune fille : aisance et expérimenté => CONTRASTE entre les 2 personnages 3) L’échange verbal a) Aucun style direct : parole fondues

PREVOST présente-t-il dans cet extrait, le coup de foudre du chevalier, thème fréquent dans l'univers du roman ? I-La rencontre a) Le hasard Seuls quelques mots esquissent la silhouette de Manon. Le narrateur déjoue l’attente en ne donnant aucun portrait de Manon : « Charmante » ; « Fille » ; « Moins âgée » ; « Plus expérimentée ». Aussi ténue que soit l’évocation de Manon, sa présence n’en est pas moins forte. L’emploi de l’intensif « Si charmante » donne un caractère hyperbolique à cette apparition

eux-mê par leurs paroles et gestes. Dc rôle très imptt du Chœur qui fournit noms et indications sur physique et caractère. Imptt pour mise en scène. Deux pges présentés indirectt : visiblt héros. Décrits par ceux qui ont eu la charge de les éduquer. Portraits élogieux : Perdican ~savant et Camille ~sainte 3) l’action : thème initial : le retour des enfants dans le giron familial. A la fin de la scène Chœur suggère fête : « mettons nos habits du dimanche (…) » Scène qui suggère fiançailles ou mariage

s’éprouvant comme « à part » - éprouverait un sentiment d’affinité avec le personnage féminin, marginal et souffrant. Flaubert comme Mauriac inscrivent l’histoire de leur héroïne dans un cadre réaliste, dans lequel les conditions d’existences sociales et morales des femmes sont décrites : éducation au couvent pour l’une, poids de l’institution matrimoniale pour l’autre, etc. Aussi peut-on se demander si Mauriac, en écrivant l’histoire d’une femme rebelle qui va jusqu’au crime pour tenter de retrouver sa

L’émotion, cette dépense nerveuse, peut conduire à l’épuisement. Ce n’est pas par hasard que l’on dit « Mourir de rire » sans parler des accidents cardiaques. En fait l’émotion est le composé humain dans sa globalité physiologique (le corps) et psychologique (l’esprit). L’émotion n’est pas sans valeur, elle permet une communication immédiate en dehors de toute relation intellectuelle. Maîtriser son comportement sous le coup de l’émotion est très difficile. D’ailleurs l’émotion est utilisée rituellement

INTRODUCTION « PERDEZ-LE DANS LE DÉSERT, IL EN DESSINERA LE PLAN. » (SON PÈRE, JOHN STANISLAUS JOYCE) C'est ainsi que le père de James Joyce voyait son fils, qui deviendra une référence pour l'avant-garde. Maître du réalisme psychologique, plus attaché à la description de l'âme humaine qu'aux considérations politiques, Joyce est connu pour le regard profond qu'il porte sur son temps. Pendant plusieurs années, il mène une vie modeste, multiplie les petits emplois alimentaires, écrit