Portrait Thénardier

n’ayant pas sa fille a ses côtés et un travail épuisant et à faible revenus elle perd de son charme et se fatigue, M. Madeleine la recueilli chez lui mais il sait qu’elle est sur son lit de mort. Il lui fait la promesse de cherché cosette chez les Thénardier

majeures pour [nos]fautes ». A travers le personnage de Fantine, Victor Hugo dénonce, dans les Misérables, l’exploitation par un couple d’une femme qui se voit obligée de se prostituer pour payer une prétendue dette. Mais auparavant, les Thénardier ont obligé Fantine à vendre ses dents pour payer la pension de sa fille. Le texte décrit longuement les conditions indignes dans lesquelles ces gens-là ont contraint Fantine de vivre dans une misère extrême. Enfin, Pierre Perret actualise

1818, Fantine quitta Paris avec Cosette dans ses bras. Elle souhaitait retourner dans sa ville natale car elle pensait y trouver du travail. En chemin, à Montfermeil, elle fit la connaissance d'un couple d'aubergistes, d'allure accommodante, les Thénardier. Très vite, Cosette joue avec les petites filles des aubergistes. Fantine y voit un signe du ciel et propose de leur confier pour quelque temps la garde de Cosette en échange d' une pension. A son arrivée à Montreuil-sur-mer, Fantine découvre

Madeleine : « Le lecteur a sans doute deviné que M. Madeleine n'est autre que Jean Valjean. »5 En même temps, il lui faut s'occuper de Fantine, qu'il fait soigner dans son hôpital. Il écrit plusieurs fois aux Thénardier, chez lesquels se trouve Cosette, pour les pousser à l'amener à Montreuil. Mais Thénardier, espérant d'avoir encore plus d'argent, la retient. Madeleine venait de décider d'aller chercher lui-même Cosette au moment où Javert se présentait à son bureau au sujet de l'affaire Champmathieu. Alors

Amorce : Parmi tous les personnages « misérables » peints par Hugo, ce sont surtout les enfants qui suscitent sa bienveillance et sa pitié : Gavroche, mais aussi [présentation du texte] Cosette, âgée de huit ans, qu'il décrit alors que ses tuteurs, les Thénardier, l'ont envoyée en pleine nuit dans la forêt voisine pour remplir un seau d'eau. Annonce des axes : Pour rendre compte de l'angoisse de l'enfant, Hugo métamorphose la forêt en un décor nocturne terrifiant et, par une généralisation caractéristique

Fantine était enceinte de lui. Après avoir accouché d'une petite fille, elle décida de retourner dans sa ville natale pour y trouver un travail car elle n'avait nulle ressource. En chemin, elle confia sa fille à des aubergistes de Montfermeil, les Thénardier, en échange d'argent. Ceux-ci semblaient fiables. En arrivant à Montreuil-sur-mer, elle trouva rapidement un travail dans la fabrique d'un certain Mr. Madeleine. Elle ne parla à personne de Cosette, ce qui lui coûta son poste après un an. A partir

des barreaux de sa fenêtre . La tristesse se ressentait dans ses yeux larmoyants. Son nez épatée ressortait de son visage avec le froid qu'il faisait dehors. Ses joues creuses s'expliquait par leur manque de nourriture qu'elle subissait avec les Thénardier. Sa bouche exsangue faisait ressentir la tristesse et l'angoisse qu'elle subissait tous les jours. Ses petites mains s'apparentait a des mains d'une petite fille de six ans et des engelures les recouvraient. Sa maigreur chétive faisait ressortir

laquelle il écrivit un roman engagé, Les Misérables. Le passage que nous avons là est un extrait de cette œuvre mondialement connue. Il s’arrête ici sur le personnage de Fantine qui a dû laisser sa fille Cosette chez des aubergistes malhonnêtes Les Thénardier. Elle vient de se faire renvoyer de l’usine de Mr Madeleine car les femmes qui travaillent avec elle ont découvert qu’elle une « fille-mère ». En quoi se passage est-il argumentatif ? Nous verrons qu’à travers la description de la déchéance de

La dernière de ces baraques, établie précisément en face de la porte des Thénardier, était une boutique de bimbeloterie, toute reluisante de clinquants, de verroteries et de choses magnifiques en fer-blanc. Au premier rang, et en avant, le marchand avait placé, sur un fond de serviettes blanches, une immense poupée haute de près de deux pieds qui était vêtue d’une robe de crêpe rose avec des épis d’or sur la tête et qui avait de vrais cheveux et des yeux en émail. Tout le jour, cette merveille avait

pink dress, that lovely sleek hair, and she thought, ‘How happy that doll must be!’ She could not take her eyes off that fantastic stall. The more she looked, the more dazzled she was. She thought she was seeing paradise. Cosette, envoyée par Thénardier à la recherche d'eau la nuit qui précède noël, passe devant une vitrine où trône une magnifique poupée. Elle identifie la poupée à tout ce qui lui manque: la joie, la beauté, les vêtements somptueux. Le contraste avec sa vie misérable est flagrant