Portrait Zola

Commentaire du dernier portrait de Nana du roman Nana d’Emile Zola. Emile Zola (1840-1902) a étudié la société du Second Empire dans des milieux variés et chez les membres d’une même famille. Il raconte la vie d’ouvriers surtout de Gervaise et de Coupeau dans Germinal (1877) puis celle de leur fille dans le roman Nana (1880). Nana est une prostituée de luxe qui, atteinte par la syphilis, meurt dans un hôtel parisien. Ses amies la veillent et regardent ce dernier portrait de Nana. Nous étudierons

Cet extrait est tiré de La Curée, deuxième volume de la série « Les Rougon Macquart ». Zola avait l'ambition de montrer la vie d'une famille parisienne sous le Second Empire à travers l'ensemble de ces textes. Ce roman a pour thème la vie débauchée du Paris du Second Empire, que Zola résume en ce groupe binaire "l'or et la chair". Il met en scène des personnages assoiffés d'argent qui « dépècent » Paris en faisant des transactions immobilières à la limite de la légalité.Le mot « curée » a deux significations :

Texte 4: Émile Zola, Le Ventre de Paris. Le portrait d'une charcutière Question: Comment Émile Zola rend-il ce portrait sensuel? Ce texte est le portrait d'une charcutière extrait de l'incipit du chapitre 1 de l’œuvre Le Ventre de Paris écrite par Émile Zola en 1873 au 19ème siècle durant l'époque du réalisme et naturalisme. Dans cet extrait, Florent un jeune homme qui s'est échappé du bagne, contemple la vitrine d'une charcuterie ou il décrit sa belle-sœur Lisa la charcutière dont il va faire

qu'il pensât, dès qu'il levait la tête, la foule, si la foule était là, avait devant les yeux cette apparition, l'éclat de rire foudroyant. Qu'on se figure une tête de Méduse gaie. Victor Hugo, L'Homme qui rit, 1869. Texte 3 Dans L'Assommoir, Zola décrit le milieu des ouvriers parisiens. Le roman retrace l'itinéraire de Gervaise, une modeste blanchisseuse. Dans l'extrait suivant, elle rend visite à Goujet, surnommé Gueule-d'Or. C'était le tour de la Gueule-d'Or. Avant de commencer, il jeta

Nana ou "la mouche d'or" d'Emile Zola Emile Zola maitre du naturalisme écrit le roman « Nana » qui a été publié en 1880. Pourquoi ce portrait est un portrait Naturaliste ? Premièrement je vais vous présenter le portrait de Nana et en deuxièmement nous verrons le regard critique de Zola. Le portrait de Nana c’est une jeune femme « fatale » et « mangeuse d’hommes » elles les collectionnent et les mènes à leurs faillites ou suicides. Elle est très belle grande et de chair superbe ainsi qu’une plante

 L'Assommoir, roman d'Emile Zola, est considéré comme l'un des plus grands romans naturalistes. Septième livre du cycle des Rougon-Macquart, entamé dès 1868 par Zola, il a été publié en 1876 en feuilleton est est paru en 1877 en livre. Zola mets en scène Gervaise Macquart, une blanchisseuse, qui sombre dans l'alcool. Ce roman, qui bâtit un portrait de la classe ouvrière, a été bien accueilli par la public, mais attaqué et dénigré par la critique. L'extrait proposé se situe peu après le début du

------------------------------------------------- Question : "Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ?" Les quatre textes composant le corpus appartiennent au genre littéraire du roman mais à des époques différentes. Le premier est extrait de Le chef d’œuvre inconnu d’Honoré de Balzac, le second de L’homme qui rit de Victor Hugo, le troisième de L’Assommoir d’Emile Zola et le dernier de Le temps retrouvé de Marcel Proust. Les trois premiers datent

Tous les auteurs du corpus nous proposent des portraits, des descriptions détaillés dans leurs œuvres. Nous allons voir, au travers des lignes qui suivent, dans quelle mesure chacun de ces portraits prend appui sur le réel et dans quelle mesure ils sont transposés. Dans Le Chef-d’œuvre inconnu, Balzac fait le portrait d’un « vieillard » très bien vêtu. Ce portrait est dans un premier temps très réel, en effet il s’agit d’un type de personne très banal avec une « bonne nature » très authentique

Trois de ces portraits ont été écrits au XIXème siècle, influencés par des courants comme le réalisme ou le naturalisme. C'est le cas du moins des textes de Balzac et de Zola. Pour dresser de tels portraits, les auteurs ne peuvent que prendre appui sur le réel, véritable source d'inspiration mais aussi gage de crédibilité. Le lecteur doit pouvoir se représenter l'individu tel qu'il lui est donné à voir. Notons d'ailleurs que le narrateur s'impose au lecteur à de nombreuses reprises afin de rendre

« Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel ? Dans quelle mesure le transposent-ils ? » Votre réponse n'excédera pas une trentaine de lignes. Trois de ces portraits ont été écrits au XIXe siècle, influencés par des courants comme le réalisme ou le naturalisme. C'est le cas du moins des textes de Balzac et de Zola. Pour dresser de tels portraits, les auteurs ne peuvent que prendre appui sur le réel, véritable source d'inspiration mais aussi gage de crédibilité. Le lecteur