Portrait élogieux De La Femme

- Racontez ce qui se passe avant cette scène de dénouement. (trois phrases, au présent) Coelio, un jeune homme sensible est épris de Marianne, mariée à Claudio mais n’ose pas l’aborder. Son ami, Octave lui sert alors d'intermédiaire mais la jeune femme tombe sous le charme d’Octave et lui demande de faire venir un amant devant sa fenêtre esperant que ce dernier vienne. Cependant, Octave envoie Coelio, amant éternel, qui va se faire assassiner en arrivant par un spadassin de Claudio. Dans la scène

année que Charles De Gaulle, homme politique qu'il a toujours soutenu L’œuvre de Thérèse Desqueyroux Situation de l’extrait La scène d’exposition a fait découvrir au spectateur le valet de Dom Juan, Sganarelle. Celui-ci a dressé un portrait peu élogieux de son maître. Dans la deuxième scène, nous découvrons enfin le personnage éponyme qui fait son autoportrait dans une tirade qui répond à la critique de Sganarelle. Problématique : La tirade de Dom Juan permet au spectateur de découvrir

Alain-Fournier (1886-1914) Auteur de ce seul roman, il n'a vécu que 28 ans car tombé au front en 1914. Il a fait des études de lettre à Paris et s'est également interressé à la peinture et à la musique. En 1905, il rencontre brièvement une femme dont il tombe amoureux et qui lui inpirera le personnage d'Yvonne de Galais dans son roman. Il a aussi écrit des poèmes. Son roman est à la NRF (Nouvelle Revue Française). Ses parents étaient professeurs comme pour le narrateur de son livre François

génie ; mouvement des lumières. b) La religieuse, roman entre fiction et réalité, Diderot condamne l’homosexualité mais parce que c’est le fruit de l’enfermement + mystification 1780 c) Incipit du roman, situation initiale, pacte de lecture, portrait marquis et Suzanne e)  ? f) I) un pacte de lecture II) une Suzanne cendrillon I) Un pacte de lecture 1) Une Suzanne narratrice -vertueuse L8 à 11 : énumération en rythme ternaire «  de sa sensibilité, horreur, probité »  (l9)

Depuis « Tout au fond, aux meilleures places (…) meublée de quenottes luisantes et microscopiques » Premières impressions sur le texte : galerie de portraits, les personnages qui ont pris place dans la voiture pour fuir Rouen au moment de la défaite contre les Prussiens sont décrits. Cf phrase qui précède le découpage : « Dans la voiture on se regardait curieusement, à la triste clarté de cette aurore » : focalisation interne suggérée par « on se regardait », effacement du narrateur omniscient

Questionnement, intérêt - Volume des répliques Portrait élogieux, flatterie, valorisation => Compliments  Adjectifs mélioratifs : « la belle » (r.5), « belle personne », « yeux pénétrants » (r.13) Réduction de l'écart social : - Plan d'égalité (aristocrate/paysanne) - Flatte sa vanité et son désir d'ascension sociale  Utilisation de la deuxième personne du pluriel « vous » > égalité Elle n'est pas à sa place > « une femme comme vous serait la femme d'un simple paysan ! » « Non, non » négative (r

apparaît comme une pirouette à cause de l’interjection “Eh bien”, il tente de balayer les inquiétudes de Dorante avec désinvolture, sarcasme et pragmatisme. La réplique de Dorante porte sur « Cette femme-ci ». La répétition du déterminant démonstratif (« cette » puis « ci« ) montre combien cette femme est particulière pour Dorante mais instaure également une distance émotionnelle entre les personnages, etonnante pour un amoureux transi, Cette distance peut aussi être perçue comme la traduction orale

dix-sept ans » (vers 1) qu’on se rend compte que cette fille est bien plus jeune que lui et donc ne peut être sa femme mais donc bien sa fille. Grace au champ lexicale élogieux très fort et très présent dans ce texte on sent cette tristesse constante, plus ou moins marqué qui éclate a la fin. Le portrait de cette jeune fille est si bien établie et si bien établie et si précis qu’on peut facilement, en fermant les yeux

châtain vaguement roussi, avec une moustache retroussée qui semblait mousser sur sa lèvre, des yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite, des cheveux frisés naturellement, séparés par une raie au milieu de crane. », mais son portrait morale n’est pas aussi élogieux. Là, il est perçu comme un homme sans morale qui n’hésite pas à se servir de femmes pour parvenir à ses fins et qui as pour passe-temps des promenades dans Paris arrosés de bière ou la fréquentation de filles publiques.

Il est centré sur une femme rencontrée en pleine rue lors d’une de ses déambulations. C’est un sonnet avec des rimes embrassées dans les quatrains et dans les tercets des rimes croisées et suivies.Problématique : En quoi la façon dont Baudelaire traite ce lieu commun