Portrait élogieux Et Portrait Critique

expressive, poétique) ; - s'il s'agit d'un récit (rythme et progression du récit ; mode de présentation des faits ; rôle de la focalisation) ; - pour une description ou un portrait (mode de caractérisation des personnages ; contrastes ; caractère élogieux ou dépréciatif ; fonction de la description ou du portrait). C-Elaborer le plan détaillé du commentaire -Une sous-partie a pour but de prouver ce que vous affirmez. -Elle correspond à un argument que vous avancez et que vous devez

veut qu’Alceste écoute son sonnet. Pour se faire, il le couvre en compliments et en louanges. Alceste fait tout son possible pour éviter cela, mais il contraint d'écouter le fameux poème. Philinte se montre très élogieux à l’égard du marquis. Alceste blesse Oronte en formulant une critique précise de son sonnet. Ils se disputent. Oronte sort de la scène très vexé. • Acte 2 Célimène, apparaît avec Alceste. Ce dernier multiplie les reproches envers elle. Il lui avoue sa jalousie. Mais Célimène

Citations sur le roman 1. La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette : l’héroïne fait le portrait du duc de Nemours, un « prince » de la cour d’Henri II. Elle le présente comme « un chef-d’œuvre de la nature [...] l’homme du monde le mieux fait et le plus beau ». L’emploi des superlatifs élogieux, intensifiés par la précision « du monde », la métaphore hyperbolique « chef-d’œuvre », empruntée à la peinture, font imaginer au lecteur un héros singulier qui ne peut être égaler. Certains personnages

rendre compte de ce que porte obscurément la notation des ambiguïtés de la passion : le sentiment. La forme épistolaire reprend, à travers le septicisme libertin, la rigueur de l'analyse, en même temps qu'elle assure la suggestion de l'affect. La critique reconnaît cependant une tradition du roman d'analyse, lisible dans Adolphe de Benjamin Constant, dans Armance de Stendhal, dans la Porte étroite de Gide, dans le Bal du comte d'Orgel de Radiguet. Chez Constant et Stendhal, l'analyse correspond à

ainsi comment ce mouvement a préparé sur le plan des idées la révolution qui connait ses heures les plus noires au moment où Condorcet rédige ce texte. Par ailleurs, ce bilan dresse un portrait élogieux des philosophes des Lumières dont les qualités et les stratégies sont analysées. En reformulant à la fois les critiques et les valeurs phares des Lumières, Condorcet montre qu'il en est un des héritiers et qu'il poursuit lui-même un combat qui n'est pas encore terminé mais dont il ne doute pas qu'il emmène

Partout dans les Caractères, il s’amuse et amuse ses lecteurs avec beaucoup de finesse et d’esprit. L’humour du portrait d’Arrias repose sur le dispositif du flagrant délit, puisque le mensonge éhonté de celui-ci est établi dans ce qui s’apparente à un quiproquo : « il reprenait le fil de sa narration avec plus de confiance qu’il ne l’avait commencée, lorsque l’un

en parlant de provocation de la part de l'Arabe, il s'oppose à l'accusation de préméditation défendue par le procureur. - La majeure partie du plaidoyer s'intéresse au caractère de Meursault, à sa moralité (« âme » répété plusieurs fois). - Portrait élogieux de Meursault en évoquant son rapport au travail puis son rapport avec sa mère. Cependant, ne parle pas de l'enterrement sans que l'on sache pourquoi. - L'avocat conclut par caractère non prémédité du crime (« une minute d'égarement ») => demande

évident que face à une possible répression les auteurs ont développé des armes telles que celles que fournissaient les paratextes, même s’il ne s’agit pas de leur fonction première et que ces textes liminaires étaient également l’occasion de brosser le portrait du lecteur idéal. I. Présenter, défendre et justifier son projet Avant d’être un moyen de se défendre contre la censure, les textes liminaires ont la fonction essentielle de présenter les œuvres en tête desquelles elles figurent et de justifier le

d’eux. Les deux portraits brossés sont à la fois symétriques et antithétiques. Les deux jeunes gens, bien qu’absents, semblent bien être les véritables protagonistes de la pièce. Cette scène d’exposition est originale et fantaisiste, peu conventionnelle, construite à la fois sur des effets de symétrie et d’opposition. Elle est aussi une scène comique puisqu’elle présente deux personnages grotesques, deux fantoches, Maître Blazius et Dame Pluche. Mais des ombres planent : les portraits des protagonistes

lecteurs C. Une reflexion sur le métier de poète Un récit plaisant A. Les personnages Les personnages sont nommés par leur métier => deux classes social distinctes Description des personnages : L1à 4 pour savetier : portait élogieux personnage heureux et insouciant insistance sur son talent a chanter L 5à 13 pour le financier : il est contrasté avec le savetier par le connecteur logique "au contraire" Comme il est riche il ne chante pas " étant tout cousu d'or/ chantait