Portrait élogieux Et Portrait Critique

dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, de bien des critiques qu’il dirige contre l’Eglise et contre la toute puissante Compagnie du Saint Sacrement. La tirade qui est portée à notre attention, extraite de l’Acte I, scène 2, révèle pour la première fois au spectateur le héros éponyme préalablement évoqué en termes peu élogieux par Sganarelle. Dans cette scène d’exposition, le « grand seigneur méchant homme » répond par un éloge de l’inconstance

une place importante dans la compréhension et dans l’avis que l’on se fait de l’œuvre. Louis Halphen à travers ses interventions nous fait donc un portrait assez critique de l’auteur et de son œuvre qui nous oblige à questionner l’originalité de l’ouvrage. 2 Eginhard va peindre tout au long de cette biographie un portrait admiratif et élogieux de l’empereur Charlemagne. L’apogée de l’empire carolingien sous Charlemagne est montré comme sans faux pas. Et l’empereur lui-même aussi. Eginhard

composé : Dom Juan et la tirade de l’inconstance Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est un dramaturge français du XVIIe siècle. Molière est célèbre par ses multiples pièces comiques qui lui valent alors la protection du roi. Il n’hésite pas à critiquer les mœurs et exposer les défauts de la société de son époque, c’est pourquoi certaines de ses pièces ont été confrontées à la censure. C’est le cas de Dom Juan, pièce écrite en 1665. Cette pièce met en scène un noble libertin d’esprit et de mœurs

démonstration. Voltaire trouve là l'occasion de stigmatiser le dégoût des aristocrates français pour le commerce, considéré comme avilissant. La critique sociale qui transparaît dans la lettre se fait à partir de l'éloge des Anglais. C'est un texte polémique avec pour orientations : défense et critique. La défense est celle des Anglais et de leur sens commercial, la critique est celle des aristocrates. Analyse I - L'apologie du commerce Elle domine le texte et se manifeste par l'emploi récurrent de termes

mais le dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, des critiques qu’il dirige contre l’Eglise et contre la toute puissante Compagnie du Saint Sacrement. La tirade qui est portée à notre attention, extraite de l’Acte I, scène 2, révèle pour la première fois au spectateur le héros éponyme préalablement évoqué en termes peu élogieux par Sganarelle. Dans cette scène, le « grand seigneur méchant homme » répond par un éloge de l’inconstance aux remontrances

dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, de bien des critiques qu’il dirige contre l’Eglise et contre la toute puissante Compagnie du Saint Sacrement. La tirade qui est portée à notre attention, extraite de l’Acte I, scène 2, révèle pour la première fois au spectateur le héros éponyme préalablement évoqué en termes peu élogieux par Sganarelle. Dans cette scène d’exposition, le « grand seigneur méchant homme » répond par un éloge de l’inconstance

Les Fausses confidences, Acte II, scène 9 L’intrigue autour du portrait occupe une bonne partie de l’acte II. Ce sont les objets- les deux portraits-qui vont agir comme des révélateurs (avant la lettre du troisième acte qui portera le coup final). Le lecteur ou le spectateur-qui connaît tout à la fois les sentiments de Dorante, les projets de Dubois et notamment vis-à-vis de Marton, s’attend bien entendu à la révélation qui se produit dans cette scène. Le début de la scène manifeste un intérêt

Quel(s) registre(s) a ou ont été employé(s) ? Qui sont les personnages ? - quels sont les traits distinctifs tirés de l’opinion commune attribués par l’auteur à ses personnages ? - Quels comportements humains incarnent-ils ? que veut critiquer l’auteur ? En quoi l’écriture poétique sert-elle l’argumentation ? - Jeu des sonorités, rimes, alternance des mètres ont toujours pour but de mettre en valeur certains aspects du texte. N’oubliez pas qu’une fable se rattache aussi à l’objet

adulte raconte comment, adolescent, il fut subjugué par Manon. Comment la narration rétrospective met-elle en évidence la dimension tragique de cette rencontre amoureuse ? I) La révélation amoureuse. 1) Le coup de foudre. Le portrait très élogieux de la jeune fille : adjectif mélioratif « charmante » est renforcé par l’adverbe d’intensité « si », l’expression « air charmant ». Le champ lexical de l’amour : « enflammé », « transport », « mon cœur », « désirs », « sentiments », « tendresse »

Acte I, scène 1 La tirade est tiré de la scène d'exposition. Sganarelle fait le portrait de son maitre à Gusman lui montrant bien que Dom Juan ne reviendra pas à Elvire, abandonnée par celui ci. Sganarelle fait son propre portrait en même temps. C'est le début de l'intrigue. Annonce des axes I - Portrait d’un séducteur (Dom Juan): a)Attaque contre la religion: croyances de Dom Juan → Ø Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion → prédateur