Portée Moralisatrice La Princesse De Cleves

donner de la vertu" et "la lui rendre aimable" _Choix de la parole , non dissimulation: parle de l'amour→ mettre en garde contre ses méfaits ➯A l'image de la fille, la mère apparaît comme un être d'exception, guidé pas la vertu et le bien. Visée moralisatrice du roman: définition moralisante du roman qui est écrit pour le plaisir et l'instruction du lecteur (placere et docere). NB: En outre, si ce projet éducatif peut apparaître original dans un contexte aussi perfide que celui de la Cour, la vertu

provinciale de son époque. D'autre part, d'autres auteurs appartenant à d'autres courants littéraires que celui de Balzac et à d'autres époques ancrent leur récit dans le monde réel. C'est le cas du roman historique de Madame de la Fayette, La Princesse de Clèves, dont tous les personnages et lieux sont réels hormis Mademoiselle de Chartres, héroïne du livre. Malgré la modification de leurs noms, ils renvoient à des personnages de la cour de Louis XIV peints par l'auteur. Beaucoup de ses contemporains

sociale Jean de la Bruyère un auteur baroque ou classique . Il décrit un monde baroque mais dans un but classique , a visé moralisatrice . De plus, il prend parti dans la querelle des Anciens qui pensent qu’il faut garder les sujets préexistants des Grecques, des histoires datant de l’Antiquité, tandis que les Modernes

spatio-temporel est secondaire, peu décrit, le monde représenté est idéalisé. ☛Le XVIIe siècle qui croit encore à un monde stable aux valeurs immuables, perpétue cette tradition. Ainsi, Madame de La Fayette, avec La Princesse de Clèves, crée une grande héroïne. Toutefois, les qualités de la princesse, en conflit avec sa passion amoureuse, vont la mener à renoncer volontairement à l’amour. Le romanesque est ainsi mis à mal par l’esthétique classique et ses nécessités d’équilibre moral et social. L’intrusion

spatio-temporel est secondaire, peu décrit, le monde représenté est idéalisé. ☛Le XVII e siècle qui croit encore à un monde stable aux valeurs immuables, perpétue cette tradition. Ainsi, Madame de La Fayette, avec La Princesse de Clèves, crée une grande héroïne. Toutefois, les qualités de la princesse, en conflit avec sa passion amoureuse, vont la mener à renoncer volontairement à l’amour. Le romanesque est ainsi mis à mal par l’esthétique classique et ses nécessités d’équilibre moral et social. L’intrusion

est secondaire, peu décrit, le monde représenté est idéalisé. Le XVII e siècle qui croit encore à un monde stable aux valeurs immuables, perpétue cette tradition. Ainsi, Madame de La Fayette, avec La Princesse de Clèves, crée une grande héroïne. Toutefois, les qualités de la princesse, en conflit avec sa passion amoureuse, vont la mener à renoncer volontairement à l’amour. Le romanesque est ainsi mis à mal par l’esthétique classique et ses nécessités d’équilibre moral et social. L’intrusion

s'éloigne de baroque, du luxuriant auquel s'était plu la génération qui précéda 1660. Le classique "choisit, élimine, sans regret" Il ne s'égare point en de trop longs détours. Art poétique : III , 302 - III, 254 - I 49, 60… - III, 256 Cf Princesse de Clèves ( 5000 pages ! "Va, je ne te hais point"… cf la remarque de Gide :" Le classicisme français tend tout entier vers la LITOTE. C'est l'art d'exprimer le plus en disant le moins ; art de pudeur et de modestie" (Incidences NRF 1924, p. 240)

discours moral en lien avec la société du temps. Mais Mme de La Fayette invente avec La Princesse de Clèves en 1678, une forme nouvelle de roman qui use du discours d’analyse pour envisager la morale du point de vue des personnages et qui épure l’intrigue en la rendant linéaire. Mais ce roman, qui ensuite se poursuit dans le genre de la nouvelle, reste attaché à un fort discours à portée morale voire moralisatrice. Au début du XVIIIe siècle, le roman s’éloigne des héros vertueux pour donner à voir

la qualifiant de « inchangeable ». La littérature reste un moyen sûr de se cultiver. Les cadres spatio-temporels de certains romans nous renseignent sur des époques et des lieux différents de ceux dans lesquels nous vivons. La littérature est une porte ouverte sur la culture. Lire c’est bien sur s’évader, mais aussi apprendre. Nous pouvons emmagasiner une grande quantité de connaissances et de notions. Certains romans peuvent même sauver les civilisations de l’oubli : ils font survivre ces civilisations

lorsqu'il était déporté. Un texte argumentatif : Il utilise des connecteurs logiques qui marque la progression. l.12 « maladie extraordinaire » → l’état des déportés dans le camp + anaphore, conséquence finale, l'impuissance des SS. Antithèse. La portée générale de la réflexion : 2 valeurs du présent : narration (l.1) et vérité générale (l.18/19) noms abstraits : valeur généralisante (l.34), réflexion philosophique. Il : impersonnel c'est : présentatif. Une démarche scientifique : CL du vivant