Possessif

est une « servante »  « à demi sommeillant » (vers 5 et 6). Elle est donc seule avec sa vieillesse qui la pèse. L'écrivain, dans ce poème, est assez centré sur lui-même. Il utilise le pronom personnel « je » deux fois (vers 9 et 10) et le pronom possessif « mon » tout au long du poème. C'est donc une manière spéciale de déclarer sa flamme à une femme. L'auteur utilise l'adjectif « belle » pour décrire Hélène uniquement au passé. Il sous-entend avec cela que sa beauté est éphémère et qu'elle ferait

lui offre le romarin et les pensées. On remarque également que Laertes ne désigne sa sœur qu’à deux reprises, avec le pronom possessif « Ta » aux lignes 5 et 16. Cependant il l’a désigne de nombreuses fois sans lui parler directement par des périphrases comme « bonne sœur » (l.7) « chère fille » (l.8) «jeune fille » (l.8) « la folie » (l.25) ou encore avec ce pronom possessif « Sa » (l.9) ou le pronom personnel « elle » (l.38). On note aussi que Laertes ne l’appelle qu’une seule fois par son prénom

Accordez ces adjectifs au féminin L'adjectif démonstratif Exercice avec : "Ce ou Cet" Exercice avec : "Celle, Celles, Celui, Ceux, Ce ou Cela" Accorder l'adjectif en genre et nombre avec le nom auquel il est associé L'adjectif possessif, placer le bon adjectif possessif Adjectif ou verbe conjugué ? Mettez l'adjectif qualificatif au féminin et transformez-le en adverbe de manière Le pluriel des noms communs Les mots avec terminaison en au et eau (cm1, cm2, fle) Choisissez entre aux, eaux ou ots (cm1

célérité de sa marche (v.4), répond la vitesse de son esprit. La Fontaine dénonce cette anticipation (déjà, v.8). Trousser et pensée sont mis en rime, ce qui insiste sur l’aspect superficiel de la jeune fille, à mille lieues des réalités. Le pronom possessif notre (v.7) nous met en connivence avec cette jeune femme, et le narrateur nous implique ainsi affectivement dans une certaine familiarité envers Perrette. II – Evolution du projet A – L’élaboration Le deuxième temps s’articule des vers

bonheur de chacun » (l 25, 26) 2. Pour Rambert, un personnage égoïste Conception plus personnelle du bonheur. Chacun doit faire passer ses sentiments avant ceux des autres, et c’est ce que Rambert met en pratique. cf nombreux adjectifs possessifs « mon point de vue » (l 7) ; « mon amour » (l 22) ; « mon bonheur » (l 27) + P1 omniprésente + gradation croissante à caractère égocentrique « songez-vous une seule fois à moi, à ma détresse, à mon cœur brisé ? » (l 28, 29) Montre l’égoïsme de

vraiment malheureux, Cécile ne savait plus quoi faire pour lui remonter le moral, elle voulait que toutes ces mauvaises ondes partent de la maison que ça redevienne comme avant. Aujourd’hui ça fait 8 mois que cette histoire dure, Berkane devient possessif il ne veut pas que sa femme fréquente d’autres hommes, même pas le caissier du super marché, sa plus grande peur c’est que le père de Fiona revienne pour vouloir récupérer sa fille et qu’il essaye de reconquérir le cœur de Cécile. Cécile est prisonnière

tant qu' a véçu son père" . l' adjectif possessif " son " désigne Hector , un père que Astyanax a déja et de ce fait il n' en a guère besoin d' un autre! Le " non " qu' elle formule ensuite a pour fonction d' indiquer à pyrrhus qu' il peut d' emblée d' oublier ce qu' il veut et que jamais elle le pardonnera. les " sacrés murs " qu' elle décrit ici sont ceux de Troie c' est une synecdoque pour rapeller a pyrrhus les maux qu' il a fait. L' adjectif possessif " Mon " Hector et aussi la marque d' affection

rompue.-ton pathétique, avec formule typique de la tragédie du v.7 (« Adieu, plaisant Soleil ! »). -reprise du terme « adieu » (v. 13) : anaphore qui traduit l’émotion (rythme coupé = langage interrompu par l’émotion).-gradation sémantique avec possessif ajouté : « chers compagnons » / « mes chers amis » + point d’exclamation = effusion lyrique (impression de crescendo à la fin du texte, jusqu’à un point d’akmè). | … et qui rappelle un destin universel. | -v. 13 : Apparition de la 2ème pers. à

« sombre »et « ombre » viennent confirmer ce rapport . Par ailleurs, l'adjectif possessif « son » est source de réinscription de l'adjectif « sombre »( son et ombre donnent sombre). Rimbaud insiste sur son age «  très vieux », tellement qu'il a pris les « allures » des personnes qu'il a vues. Il a pris par mimétisme « cet air si bon des veilles gens ». Le passage d'un article défini « c'est » à un article posséssif « son » nous plonge dans une sorte d'intimité avec le meuble; il nous attire, nous

tiroir- beau- rouge-oreilles-velu-écailleux.   g) L’adjectif s’accorde en genre et en nombre avec le nom qui le caractérise : vrai/faux ? h) Comment appelle t’on ces mots ? « Je-tu-il-nous-vous-ils » ? .. …… ……… i) Entoure le pronom possessif et souligne le pronom démonstratif : celui-là/ la mienne. j) Sous quel autre mot désigne t- on le mot « Qui » dans la phrase : « c’est elle qui pleure » ? C’est un …… ……. k) Cite les sept conjonctions de coordinations. l) Parmi les mots