Postface Amour

violence des passions : L'amour romantique ne se réduit pas au cliché habituel. C’est un amour passionnel qui s’oppose au mariage ,qui n'est qu'un arrangement froid excluant l'exaltation des sentiments. Néanmoins, l'amour romantique est loin d'être idyllique : la violence de la passion est aussi la violence du désir , le héros prend ainsi parfois par surprise celle qu'il désire, mais sans préméditation. Cet amour est une source de souffrance et de jouissance violentes, qui foudroie et tue parfois. Il

fois) et les multiples phrases exclamatives (près de vingt) soulignent ce dialogue véhément. Cyrano « se dé[bat] » face à la répartie de Roxane mais se trahit, involontairement sous l’effet de la fatigue, par la magnifique oxymore « Non, non, mon cher amour je ne vous aimais pas ! ». Cyrano perd le combat contre la femme qu’il a toujours aimé. Cela provoque une triple émotion à la fois chez Roxane et Cyrano mais aussi chez le spectateur. Le dénouement de ce passage apporte une véritable touche

Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à la raison d'Etat ». Ainsi, l'extrait de la scène 5, de l'ace V « non, je n'écoute rien….et vous me l'ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s'en aller. L'étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en

pour celui qui la pratique une perpétuelle liberté de choix, s’accommode mal de la durée. Et Molière de démontrer à son public que l’absence d’engagement est sur la durée une impasse qui ferme à jamais le chemin du bonheur. Morale de la pièce : en amour, l’engagement malgré les concessions qu’il implique vaut mieux que le non engagement, choisi par peur de perdre sa liberté. Et cet exemple peut être étendu : l’absence d’engagement laisse intacte la liberté de choix. Mais ne pas choisir, ne pas

qu’estime et reconnaissance. Après le mariage, elle rencontre le duc de Nemours, lui aussi beau parti Coup de foudre immédiat et réciproque. Le duc de N., très courtisé est un homme à femmes mais qui réserve son amour à la P. de C. Par souci de vertu, la P. de C. avoue, un jour, son amour pour la duc à son mari qui en meurt de chagrin. La p. de C. culpabilise et après le deuil, le duc de N. la demande en mariage mais celle-ci refuse par vertu et par peur puis entre dans une maison religieuse.

Ahuri par cette explosion de violence entre les deux êtres qu'il adore, Emil lâche sa flûte-courge et regarde, sans pleurer, de l'un à l'autre. En fait - ils ne se le disent pas mais tous deux le savent - ils ont enfin touché là à l'essence de leur amour, à son noyau secret et sacré. En l'autre, c'est l'ennemi qu'ils aiment. Le tournant est pris». (p. 227) Biographie de l'auteure : Nancy Huston est canadienne, née à Calgary en 1953. Elle a vécu aux États-Unis (à Boston et New York), puis à

Colombe. Il est vrai que malgré les années qui passent, il en garde un souvenir vivant, au moins de par la vue et l'ouïe, lorsqu'il a toujours « son apparence » dans les yeux, ou « sa voix » dans les oreilles. Il est également dit qu'il vivait un amour qui ne diminuait pas, et ce, malgré la mort. Il imagine également que son épouse lui rend visite, au début sans paroles, puis, en établissant un dialogue, jusqu'à monter dans « la barque » avec elle. Il est également noté, dans le roman, que Monsieur

satisfait des moments intenses , brefs, volés,. La vie affective est vue comme quelque chose d’intense, de varié, de contrasté à travers la construction en chiasme du vers 7 « l’amour n’ a plus de goût ; non plus que la dispute ». Les deux situations « amour »7, « dispute »7 vont être reprise d’une manière métaphorique par des notations auditives « cuivre » « flutes ». L’évocation d’un instrument de musique, le « cuivre »8 rappelle l’ivresse des combats, la « flute »8 suggère une poésie tendre, élégiaque

Pardonnez moi, de grâce » au vers 13, on comprend que le poète idéalise cette femme, qu'elle est sa déesse et que cet amour qui les unit est purement charnel et sensuel. II./ L'ironie : un procédé largement utilisé dans le poème Un portrait repoussant En approfondissant le poème, on peut observer que Du Bellay parvient à donner l'impression d'une femme sensuelle et d'un amour charnel entre eux deux. Mais à la seconde lecture, ceci se révèle être tout l'inverse. En effet, les « beaux cheveux

Médée d'Euripide Titre : Médée Auteur : Euripide Date : -431 avant J-C Résumé de la pièce : Réfugiée à Corinthe avec Jason (son époux pour lequel elle a trahi les siens afin de l'aider à emporter la toison d'Or) Médée vie le parfait amour; Jusqu'au jour ou le roi Créon propose à Jason d'épouser sa fille. Jason accepte. Se sentant profondément trahie par celui qu'elle aime, Médée va rentrer dans une rage folle, elle ne mange plus, ne veut plus parler ni à ses enfants, ni à ses serviteurs