Postmodernisme

et séparation des circulations). La fonctionnalité passe avant l’urbanité. La rue est remplacée par la voie et l’îlot disparaît. L’architecture aux formes orthogonales est minimaliste. => Quartiers des Quatrans et de la Guérinière à Caen Le postmodernisme Il caractérise l’époque contemporaine marquée par la fin des grandes idéologies. Il s’exprime par une volonté de retour à la ville avec une réappropriation de nombreuses théories du passé qui s’entrechoquent de façon décomplexée. La rue est revalorisée

Saint-Nicolas (Québec), Les Presses de l’Université Laval, 176 p. BOISVERT Yves (2001), « Quand l’éthique regarde le politique », Politique et Sociétés, Montréal, Société québécoise de science politique, vol.20, n°2-3, pp.181-201. BOISVERT Yves (1995), Le Postmodernisme, Montréal, Les Éditions du Boréal (coll. « Boréal express »), 124 p. BOUDON Raymond (2002), « Déclin de la morale ? Déclin des valeurs ? », Montréal, Les Éditions Nota bene/Cefan, 175 p. BRETON Philippe & Serge PROULX ( 1989), L’Explosion de la

de la commande qui fixent les règles de la réalité urbaine. Après le Mouvement Moderne 1 2 PLANCHAIS, Jean. Op.cit., p251. LE CORBUSIER. Vers une architecture. Op.cit., p.8. 51 déçu, et pendant la guerre froide, s’ouvre la voie d’un postmodernisme architectural dans tout le bloc capitaliste, par l’architecture savante de l’argent roi, qui, après la chute du bloc communiste, pourra s’étendre au monde entier. 52 Mégapoles, la course aux skylines Dans l’entre-deux-guerres, aux Etats-Unis

n'est plus en quête de modèles à appliquer, de grilles d'analyse permettant de décoder des systèmes différents, de structures fondamentales. Il déconstruit l'œuvre. Des concepts vastes se sont substitués à des concepts plus pointus : on parle de postmodernisme, d'interculturalisme, de culture. Dans tous ces cas, les notions ne renvoient plus à des mouvements clairement définis auxquels adhéreraient les chercheurs comme ils ont pu le faire pour le structuralisme, la socio- ou la psychocritique; elles

sont réportés les trois premières indications. La quatrième a été introduite par Gilbert Highet en A Clerk in Oxford (1954). Elles sont toutes rapportées par Matei Calinescu en Five Faces of Modernity: Modernism, Avant-Garde, Decadence, Kitsch, Postmodernism [p.234-235]. [p.22] Sources des citations. Première page:  Hermann Broch: Le mal dans le système des valeurs de l’art. En Dorfles: Le kitsch, un catalogue raisonné du mauvais goût. Bruxelles: Éditions Complexe, 1978 (1933). p. 78.  Abraham

des modalités de pensée différentes, pourrait – selon cette logique – remettre en cause le modèle bourgeois sur lequel est construite la théorie des vices du consentement et de la liberté 25 V., pour une appréciation critique de l’étiquette « postmodernisme », au sujet des nouveaux courants de la pensée juridique américaine, la Présentation de M. Barberis de l’édition italienne de G. MINDA, Postmodern Legal Movements. Law and Jurisprudence at Century’s End, New YorkLondres, 1995. 26 Dans les écrits

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searching for meaning. Crick has clearly been influenced by the debate over the nature of history that swept through the intellectual community of historians during the 1960s and 1970s. Much of this was due to the influence of the movement known as postmodernism, which cast doubt on the reliability of the rational empirical method to interpret the meaning of the past. Historians began to ask questions such as, Is the meaning that the historian finds in history something that genuinely is inherent in the

"Learning the Innovation Journey: Order out of Chaos ?", Organization Science, Institute for Operations Re-search and the Management Sciences, 1996, Vol. 7, no 6, pages 593-614. De Cock, C., "It Seems to Fill my Head With Ideas: A Few Thoughts on Postmodernism, TQM, and BPR", Journal of Management Inquiry, Sage Publications, Vol. 7, no 2, June 1998, pages 144-153. DiMaggio, Paul J. et Walter W. Powell, "The Iron Cage Revisited: Institutional Isomorphism and Collective Rationality in Organizational

Introduction ”, dans Racine, Œuvres complètes, I, Théâtre – Poésie, éd. G. Forestier, Paris, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade,1999, p. XLI et sq. [20] On peut encore citer Ihab Hassan pour qui la littérature contemporaine est placée dans le postmodernisme et fortement marquée par le déchirement. En plus, la nature éclatée des œuvres de notre temps ne dit cependant pas «tout» sur leur fonctionnement. La mythocritique nous a certainement appris à voir ce phénomènes dans sa mouvance (Durand, Figures