Pot de chambre

de Winnie l'ourson. Les hommes prennent soin d'eux, parfois en s’aspergeant d'eau de toilette ou de gel. Mais ce qui est autour d'eux peu importe. Ils s'en fichent que l'évier déborde de vaisselles qui attendent désespérément, que le sol de leurs chambres soit inondé d'affaires ou que le reste de pizza soit collé au canapé. Et ce n'est pas faute de leur rappeler. Je pense qu'ils sont juste trop fainéants (en parlant de canapé dur dur de les-en décoller). Le plus surprenant c'est qu'ils pensent être

Les feuiLLées argotique Les chiottes Le confessionnaL Le garde-manger Les gogues (ou goguenots) Le grenier à pommes Le trône 8 familier L’isoLoir Les privés Le trône historique Le cabinet d’aisances (XViiè) La cent (XiXè) (pour la Chambre 100 dans un hôtel) La garde-robe (XViiiè) Les water-cLosets (XiXè) (littéralement « placard à eau ») Les commodités La bécosse (Québec) les plus sommaires Les LATRINes Le monde entier sait décoder ce pictogramme montrant la silhouette d’une

partir de ce regard qu'est perçu l'espace, le milieu dans lequel évolue Gervaise. II - La misère matérielle 1- L'espace extérieur La première image est celle du quartier : à partir de la fenêtre, point d'observation privilégié puisque "la chambre qui donnait sur le boulevard". Jeu d'ombre et de lumière. Univers lumineux : intensité marquée par l'hyperbole qui met en évidence par contraste l'obscurité des boulevards. La métaphore "coulée noire" suggère un espace angoissant, reflet et (ou)

de point de vue à son personnage, ici Gervaise. Elle est dans une attente angoissée : elle guette Lantier jusqu’à 2 h du matin, d’où l’importance du champ lexical de la vue (guettait, avoir vu, regarder, yeux). Gervaise regarde l’intérieur de la chambre (focalisation interne), apparaissant sous une vision panoramique, il y a une délégation de point de vue de la part de Zola. A la fenêtre, elle est en surplomb, d’où une situation dominante. Le narrateur s’efface pour faire croire le lecteur, pour

cette femme était en très mauvaise santé, elle était atteinte d’une infection pulmonaire. Son état c’était dégradé depuis quelques jours. Je pris le plateau et me dirigea vers la chambre. Après avoir toquais, j’ouvris la porte pour rentrer. J’étais étonnée que malgré le soleil, les volets étaient à moitié fermées, la chambre était donc très sombre. J’aperçus qu’elle avait un balcon. De plus, la fenêtre était entre-ouverte et laissait passer un peu d’air frais, se qui était agréable avec la chaleur qui

agrandissements successifs opérés par Mouret. Ils ont en effet connu la boutique, fondée par les frères Deleuze, à l’époque où elle avait une taille modeste. Mouret est devenu propriétaire de la boutique en épousant Mme veuve Hédouin (née Deleuze) dans Pot-Bouille, qui décédera peu après. Les Baudu sont particulièrement exaspérés du fait de leur attachement aux pratiques commerciales traditionnelles, et souhaitent que leur boutique reste telle qu’elle est. Plus tard dans le texte, certains membres

que je sois particulièrement lourde, mais je préfère quand le dos de M. Dentelle est en bon état et qu’il peut porter les sacs, enfants, et autres cartons de déménagement. Oui, je suis égoïste comme ça. Donc non merci aussi. Suivant ? * Le pot de chambre : se faire courser par des convives éméchés à l’haleine de soupe à l’oignon pour boire du champagne au chocolat avec des trucs qui flotte dedans après avoir dormi trop peu de temps ? Heu… non merci.* Et puis il y a toutes celles dont on se

la sonde urinaire. Le mercredi, comme tous les matins, vers 10h, je suis entrée dans la chambre de Mme M, pour lui faire la toilette. J’ouvre la porte et en lui parlant du temps, j’allume la présence, désinfecte l’adaptable avec le carré que je venais d’imbiber de surfanios juste avant. Je me penche au-dessus d’elle et lui annonce que je viens avec l’infirmière pour lui faire la toilette. Je sors de la chambre pour aller chercher le matériel nécessaire, je mets mon tablier, prends deux draps, deux

comparative : Le mystère de la chambre jaune Travail présenté à Monsieur Martin Poulin Dans le cadre du cours 602-910 Langue, arts et multimédia Groupe 60220 Cégep Champlain-St. Lawrence Le 7 octobre 2014 Plusieurs réalisateurs s’inspirent d’œuvres littéraires afin de produire des films, comme pour la série « Harry Potter », de J.K. Rowling, pour la série « Twilight », par Stephenie Meyer, mais également pour le livre « Le mystère de la chambre jaune », par Gaston Leroux

d'abord, nous avons une description de la chambre de Félicité très réaliste et représentative: Elle l'enferma dans sa chambre. Cet endroit, où elle admettait peu de monde, avait l'air tout à la fois d'une chapelle et d'un bazar, tant il contenait d'objets religieux et de choses hétéroclites. Une grande armoire gênait pour ouvrir la porte. En face de la fenêtre surplombant le jardin, un œil-de-bœuf regardait la cour; une table, près du lit de sangle, supportait un pot à l'eau, deux peignes, et un cube de