Potin

dans leurs entier, servent à démontrer le thème du poème : les humain redeviennent des animaux quand ils n’ont pas leurs nécessités basique. Mais ceci n’est pas le message de Prévert : Prévert cherche a montrer comment la société (représenter par Potin et « l’homme très estimé ») s’en fiche des pauvres et des souffrants et, éventuellement, les riches payent le prix de leur indifférence. Prévert démontre l’universalité de la situation puisque tout les personnages sont anonymes, il n’y a aucun

Elle est terrible aussi la tête de l’homme La tête de l’homme qui a faim Quand il se regarde à six heures du matin Dans la glace du grand magasin Une tête couleur de poussière Ce n’est pas sa tête pourtant qu’il regarde Dans la vitrine de chez Potin Il s’en fou de sa tête l’homme il n’y pense pas Il songe Il imagine une autre tête Une tête de veau par exemple Avec une sauce de vinaigre Ou une tête de n’importe quoi qui se mange Et il remue doucement la mâchoire Doucement Et il grince

siècle entre journaliste et ministre. On le remarque grâce aux nombreux articles qu'écrit Duroy pour le ministre de Lacroix. Les articles rédigés ne sont parfois pas tirés de faits réels mais le plus inventés, voire même réutilisés comme Saint Potin en écrivant les mêmes articles mais en changeant tout simplement le titre. Vers la fin du chapitre on apprend que Walter a des relations pour essayer d'acheter des terres Algériennes. Duroy, au courant, décide de faire du chantage à son patron et

mari indigne et l’incite à se mettre en route. Acte 2 : L’Olympe Parmi les nuages de l’Olympe*, les Dieux, paresseux, ronflent après leur fête nocturne de la veille. Les dieux apprennent le méfait de Pluton. Les divinités plaisantent de ce dernier « potin » et en profitent pour se moquer des nombreuses aventures amoureuses de Jupiter. Puis ils se rebellent et se plaignent d’être lassés par une nourriture trop sucrée. Orphée vient alors réclamer qu’on lui rende sa femme. Jupiter ordonne à Pluton d’aller

de leur fille, Nana. Mais le destin la guette : victime d’un accident de travail , Coupeau s’est mis à boire, et le couple est entraîné progressivement vers la déchéance et la mort, sans la moindre compassion du voisinage : […] ils se régalaient de potins […]. La dégringolade de la Banban surtout les faisaient ronronner la journée entière, comme des matous qu’on caresse. Quelle dèche, quel décatissage, mes amis ! » (résumé du Robert des grands écrivains de la langue française) . Dans L'incipit de l’Assommoir

moiha’a ‘ë i te tahi tau täviri nö te tätaratara i te mätini. 2) Teie te mau räve’a nö te te imira’a i te ora : ua pure Tepa räua Natua (rëni 16) ua ite räua i te tahi pä’oti i roto i te riu poti (rëni 17) ua iriti te tahi räti mai ni’a mai tö räua potin ö te hämani te tahi ‘äuri patia i’a (rëni 18- 19). 3) Te tano e täpe’a mai i ni’a i töna mau taea’e, e ta’ata nevaneva no te mea aita e moiha’a nö te tätaratara i te mätini, e hoe nö te ho’i mä te hoera’a, e rätio no te taniuniu i te muto’i miti

les « canaux de diffusion » ou « média » (journaux, radio, télévision, lettres de diffusion, etc.) et que l’on a coutume d’appeler « l’information ». Il y a aussi ce que l’on désigne par « désinformation », « légendes urbaines » ou « modernes », « potins, ragots, bruits, commérages ». Toutes ces notions tiennent de la rumeur, mais ne sont pas la rumeur, comme il ressortira de notre développement immédiat. 1.1. L’information diffusée par les médias L’information « au sens étymologique, mise

de persuader le lecteur de la véracité de ses propos et de garantir son témoignage datant de « hier, 22 février ». Prévert s’attribue un point de vue omniscient, en situant son personnage dans un certain contexte social, « dans la vitrine de chez Potin ». Ensuite les auteurs se différencient par l’emploi des registres propre à leurs styles. Le premier personnage, que l’auteur dépeint grossièrement dans le registre comique, par une accumulation de verbes, « remanie, démembre, déchire », ce qui relève

qu’elle est fille de banquier. Elle révèlera son amour éperdu pour Duroy et le servira dans son ascension. Elle ne peut supporter le mariage de sa fille avec ce dernier, s’enfermant dans le mutisme et le deuil de sa propre vie à la fin du roman. Saint-Potin : reporter à La Vie Française, il montre les ficelles du métier à Duroy. Ainsi, au lieu d’interviewer les chefs d’Etat comme Forestier le lui demande, il reprend le contenu de ses précédents articles et interroge les concierges des hôtels. (p.71-72)

aux belles robes, que l’on s’imagine qui fera partie de la liste des invités, plusieurs faits importants de notre actualité passent sous silence. Quoi de mieux qu’un mariage royal pour occuper le temps d’antenne, faire couler l’encre des revues à potins, submerger la une des journaux et faire parler les professeurs autour de la table au dîner? Alors que l’on se demande où Kate passera sa dernière nuit de jeune fille, on agrandit la zone de danger de contamination radioactive au Japon, on accumule