La grasse matinée
Les titres des poèmes de Prévert sont très importants et plus souvent que non, ironique. Ceci est le cas de « La grasse matinée ». Cette expression date du XXe siècle, mais au XVIe ils disaient « dormir la grasse matinée ». Faire la grasse matinée signifie rester longtemps dans le sommeil et de prendre un matin pour soi-même. L’ironie est que le reste du poème discute l’opposer d’un matin relaxant et démontre le critique de Prévert des gens riches qui font la grasse matinée quand il y a des gens qui souffrent.
Prévert utilise le figure de style de répétition plusieurs fois dans le poème. Il répète
au début et à la fin du poème pour démontrer l’universalité de la situation du SDF et le nature cyclique de son vie (il redevient faim, il cherche pour la nourriture, il devient sauvage, il mange, le cycle recommence). Prévert utilise la répétition du mot « tête » huit fois pour montrer les lecteurs l’importance de ce que le SDF pense. Ceci devient plus spécifique avec la répétition du nombre trois
pour démontrer que le seul penser du SDF : je n’est pas manger pendant trois jours ! En plus puisque on ne peut pas comprendre ce que c’est de ne pas manger pendant rois jours, Prévert le répète jusqu’à on comprend. Les deux répétitions qui donnent importance aux pensés du SDF devient ironique et contraste avec la fin du poème puisque le SDF arrête de penser et devient sauvage et instinctuel. Finalement, pendant tout le poème, des portions de phrases et de structures sont répétés. Par exemple :
Ces répétitions démontre la folie du SDF sans la nourriture et ils arrêtent quand il mange et redevient humain. Les répétitions, dans leurs entier, servent à démontrer le thème du poème : les humain redeviennent des animaux quand ils n’ont pas leurs nécessités basique. Mais ceci n’est pas le message de Prévert : Prévert cherche a montrer comment la société (représenter par Potin et « l’homme très estimé ») s’en fiche des pauvres et des souffrants et,