Potin

étonnant. Dans ce lieu, les journalistes se livrent à leur passe-temps favoris : le bilboquet! Au cœur de la presse, Duroy apprend que ce dernier est un " faiseur ", expert en fourberies journalistiques, comme ses camarades. Le plus doué, c’est Saint Potin qui a l’art de resservir toujours les mêmes articles sous des titres différents et de s’approvisionner aux sources proches. La "base du journal ", ce sont les Echos : << c’est par eux qu’on lance les nouvelles, qu’on fait les bruits, qu’on agit

car la société d’aujourd’hui aime connaître la vie privée des autres jusqu’aux petits détails comme ; « Oh mon dieu ! Vont-ils finalement s’embrasser ? Est-ce que Dave va choisir Christelle ou Odile ? Est-ce que Geneviève aime encore son ex ? ». Les potins feront toujours en sorte que les téléspectateurs ne pourront se passer de la prochaine émission. Par exemple, à la fin de chaque épisode, il y a toujours des images du prochain programme qui montre un nouveau couple qui s’est affiché ! Les gens deviennent

question de secourir leur prochain ; mais ils s'en occupaient du matin au soir, dès qu'il s'agissait de mordre le monde à belles dents. Le verrou poussé, une couverture accrochée pour boucher les fentes et le trou de la serrure, ils se régalaient de potins, sans quitter leurs fils d'or une seconde. La dégringolade de la Banban surtout les faisait ronronner la journée entière, comme des matous qu'on caresse. Quelle dèche, quel décatissage, mes amis ! Ils la guettaient aller aux provisions et rigolaient

mis à mort par un coup de glaive. Une fois mort on le brûle pour qu’il n’y ai pas de résurrection. Par son intermédiaire, Irénée à pu connaitre l’enseignement de ST Jean et St Paul. Polycarpe l’aurait envoyé en gaule autour des années 150 avec aussi Potin celui qui fut aussi évêque de Lyon. Il est l’auteur d’un ouvrage : réfutation de la prétendue gnose (au nom menteur) soit : contre les hérésies : Adversus haereses Irénée est lui aussi un théologien anti gnostique, et cet ouvrage est un traité contre

grade, vu la qualité de ces derniers. Il éprouve donc une grande considération pour sa femme. D’ailleurs, proche de la mort, il lui demande de le sauver de la mort, il lui demande, une fois de plus, de l’aide, comme il a toujours fait p174. (Saint-Potin, p71, il a de la chance d’avoir épouser sa femme, voilà tout). Morale. Elle est déduite de ses comportements. Il n’en a pas plus que Georges Duroy. Tout comme ce dernier, il trouve qu’il est aisé de monter dans la société grâce aux femmes, comme

de l’argent. En effet, toutes les émissions de télé-réalité sont relayé par les médias comme nous explique l’Office de la télé-réalité 2004, même les presses dites sérieuse telle que Le Monde, Libération ou même Télérama s’empare des plus gros potins de ces émissions et consacre désormais une partie de leurs chroniques sur la télé-réalité. Des magasines sur elles sont également créer. Est-ce-le hasard ? Surement pas. On parle de phénomène de société et la presse est la première a contribué au

elle est terrible aussi la tête de l'homme la tête de l'homme qui a faim quand il se regarde à six heures du matin dans la glace du grand magasin une tête couleur de poussière ce n'est pas sa tête pourtant qu'il regarde dans la vitrine de chez Potin' il s'en fout de sa tête l'homme il n'y pense pas il songe il imagine une autre tête une tête de veau par exemple avec une sauce de vinaigre ou une tête de n'importe quoi qui se mange et il remue doucement la mâchoire doucement et il grince

- Partie n°1 - NotesRoman Réaliste Point de vue omniscientNiveau de langue élevé, normal pour l’époque de Guy De MaupassantContexte de la Guerre D’Indépendance d’AlgérieLe livre commence un 28 juin à Paris · ‌ Georges Duroy ( personnage principale ) : Georges Duroy est un ancien sous-officier, un ancien hussards habile avec les armes à feu ( il chassait des oiseaux plus jeunes ), retombé dans le civil après être resté vingt-huit

l’inquiète depuis un long moment. Il compare ses poumons à du papier mâché lorsqu’il dit : « J’ai une poitrine de papier mâché, je tousse six mois sur douze ». En raison de cette mauvaise santé, il doit sa carrière de journaliste à sa femme. Saint-Potin, « un excellent reporter », le confirme sur un ton cruel : « quant à celui-là, il a de la chance d’avoir épousé sa femme ». 3. La mort en marche Nous sentons bien que Forestier est un personnage plein d’ambiguïtés : il a à la fois la force et le

tout en se vantant d'être le rédacteur du journal. Il va ensuite au journal, pour commencer son nouveau travail. Forestier lui dit d'accompagner Saint-Potin, qui doit interviewer un général chinois puis un rajah indien. Saint-Potin lui apprend les ficelles du métier : être malin et efficace, et ne pas hésiter à mentir aux lecteurs. Saint-Potin n'ayant donc pas besoin de Duroy, ce dernier s'en va rédiger la suite de son article, sans l'aide des Forestier cette fois-ci. Le lendemain, il achète