Potin

Professeur Jérôme HUET Monsieur le Professeur Didier TRUCHET LUNDI MARDI MERCREDI M. AHOUANDJINOU 22 et 29/11 JEUDI VENDREDI SAMEDI Mme DEVILLARD 23,30/11 ; 7, 14/12 Communication des organisations M. AHOUANDJINOU Mme POTIN 17 h - 20 h Mme POTIN 6 et 13/12 9h30 - 12h30 CHARCOT (3) 1er semestre 17 h - 20 h 30 CHARCOT (3) Droits d'auteurs et droits voisins Vincent VARET 2ème semestre 10 h - 12 h Salle 13 Journalisme, pratiques des médias et déontologie Les

Norbert, M. Walter, Saint-Potin | Rue, rue Boursault, chemin de fer de l’Ouest, gare des Batignolles, Asnières, Rouen, Canteleu, Rue de Rome, coteaux d’Argenteuil, Sannois, Orgemont, parc Monceau, chez Forestier, (Algérie, province d’Oran) Bouillon Duval, La Vie Française dans la salle de rédaction, dans le bureau de M. Walter | 20 | 4 | 1 juillet 1880(10h- 4h)2 juillet 1880(10h | 2 moisJuillet-Août | Georges Duroy, le garçon, M. Potel, M. Perthuis, Forestier, Saint-Potin (Chinois, Montelin, M.

successives marquent sa réussite et montrent qu'il grimpe les échelons de la bourgeoisie et devient un homme du monde de plus en plus influent et important 9 : M.Forestier = l'introduit dans le journal et lui montre les ficelles du métier avec sa femmeSaint-Potin = lui apprend comment récolter rapidement et facilement des infos pour Forestier M.Walter = lui accorde plusieurs promotions d'abord besognes secondaires puis reporter puis chef des Echos 10 : Toutes les catégories sociales sont représentées = début

Forestier elle se marie avec George Duroy par intérêt. Elle se sert des hommes pour réussir. Mr Forestier travaille à la vie française en tant que rédacteur politique. Mais on voit qu'il n'aurait rien réussi s'il n'avait pas eu sa femme. Saint Potin dit même : " quant à celui-là, il a de la chance d'avoir épousé sa femme ". Il part en province avec sa femme, mais elle voit que sa fin est proche, elle appelle donc Bel-ami, qui vient. Forestier meurt dans les bras de sa femme avec Bel-ami à son

presenterai un peu le passe de Bel-Ami et surtout son père, Alexandre Duroy, ensuite je vous parlerai des collegues de Bel-Ami dans le millieu du journal tels que Jacques Rival et plus particulierement de ceux qui jouent un role dans sa formation : Sait-Potin et Norbert de Varenne, Je vous presenterez la premiere face du ministre des affaires Laroche-Matthieu donc dans son cote professionel. Et finalement je vous parlerai des hommes avec lesquels Bel-Ami « partage » des femmes en vous parlant de la vie

Saint – Potin (Thomas journaliste et mentor de Duroy) * Mr Walter Georges Duroy était tout excité à l’idée que son article serait publié. Quand il acheta le journal il voulut le lire dans un endroit public et attirer l’attention des gens sur le journal et plus particulièrement sur son article d’une manière détachée. Après avoir accompli l’un de ses fantasmes (aller déclarer sa démission dans son ancien travail) il retourna au journal et vu son ami Forestier qui lui présenta St Potin la personne

sa situation. En effet elle ecrit la majeure partie de ses articles, comme Saint-Potin, un reporter du journal, qui le confirme sur un ton cruel: "quant à celui-là, il a de la chance d’avoir épousé sa femme'' -AUTRES PERSONNAGES Monsieur et Madame Walter Suzanne Walter Laroche-Mathieu Rachel Madame de Marelle Laurine de Marelle Madame Forestier Jacques Rival Comte de Vaudrec Saint-Potin Norbert de Varenne IV- Résumé Le 28 juin 1880, Georges Duroy, sous-officier, fils

d’écarté ! Mais la mise en scène est si parfaite qu’elle en "impose aux visiteurs ". Au cœur de la machine, Duroy apprend que ce dernier est un " faiseur ", expert en prestidigitations journalistiques, comme ses subalternes. Le plus doué, c’est Saint Potin qui a l’art de resservir toujours les mêmes sous des titres différents et de s’abreuver aux sources proches des concierges de l’Hôtel Bristol et du Continental. La " moelle du journal ", ce sont les Echos : " c’est par eux qu’on lance les nouvelles

► Premier article – Semaine du 21 au 27 octobre – Préparation d'Halloween et nouveaux potins. ◄ - "GOSSIP ! " Oui, je me devais de commencer par un mot terrifiant. J'aurais pu dire « Bouh ! », mais bon, les gens ont des difficultés à me prendre au sérieux, quand j'agis comme ça. Mais alors, quand le mot « Gossip » retentit dans votre esprit, je sais que vous ne pouvez pas vous empêcher de vous ronger les ongles jusqu'au sang... Bien sur, vous l'aurez deviné, cette introduction macabre est une

dérision et l’humour noir pour dénoncer une société restée indifférente au sort des plus démunis. Le poème raconte une scène pathétique. Poème narratif ; narration particulière présence d’un « homme » qui erre dans un espace citadin, de « potin » à « bistrot » ; un inconnu « il » ; la ville est plus qu'un décor c'est le lieu de la tragédie . Narration qui imite techniques cinématographiques ; utilisation de plans ; mouvements de caméra ; Réminiscences du cinéma muet Il n'y a qu'un seul