Pour Et Contre Le Progres Technique

3 13,9 Employés 15,2 12,5 15,3 14,9 9,1 15,6 14,4 Ouvriers 13,8 10,0 15,4 13,5 6,4 21,6 14,9 Retraités, inactifs 11,5 7,5 8,2 10,2 6,1 11,4 10,1 Indéterminé 7,2 3,1 5,0 6,2 6,3 14,1 8,3 Total 100 100 100 100 100 100 100 (1) STAPS : Sciences et techniques des activités physiques et sportives. (2) IUT : Instituts universitaires de technologie. (3) CPGE : Classes préparatoires aux grandes écoles. (4) STS : Sections de techniciens supérieurs. Source : Ministère de l'enseignement supérieur et de

travailleurs ? Autrement dit, résultet-elle d’une plus grande quantité de facteurs de production utilisée ? N’est-elle pas surtout due à une utilisation plus efficace de ces facteurs de production que révèle une productivité accrue -liée au progrès technique- ? Si les facteurs de production sont nécessaires à la Croissance économique, sont-ils pour autant suffisants ? Pour que l’activité économique soit effectivement stimulée et qu’un processus de croissance puisse être effectivement enclenché et/ou

dans l'histoire de la pensée économique. Ces théories ont conduit à mettre en avant le rôle primordial du progrès technique dans la croissance. Sur le long terme, seul le progrès technique est capable de rendre plus productive une économie (et donc de lui permettre de produire plus, c'est-à-dire d'avoir de la croissance). Toutefois, ces théories expliquent encore mal d'où provient ce progrès, et en particulier en quoi il est lié aux fonctionnement de l'économie. L’école classique :La plupart des

Chapitre 1, séance 2 : LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE (Suite du cours) Le travail, activité servile ou moyen d'émancipation ? II) LE TRAVAIL, UNE ACTIVITE SERVILE Si le travail a bien un côté libérateur qui procure la maîtrise de soi et du monde, force est de constater que pour beaucoup de gens, le travail n’a pas de sens et est plutôt synonyme de souffrance, d’abêtissement que de réalisation de soi. Comment se fait-il alors que le travail, censé nous humaniser, devienne une activité extérieure

Dissertation Peut­on s'opposer au progrès technique? Si la question demeure ouverte, et qu'on ignore quelles raisons pourraient nous pousser à adopter une posture critique à l'égard du progrès technique, on remarque déjà comment elle se construit autour d'une sorte de soupçon. Que l'on veuille ou non s'opposer au progrès technique, ce ne semble pas être une affaire banale, évidente. En d'autres termes, si jamais on le désirait, le pourrait­on seulement? Le devrait­on seulement? La tonalité du

nécessaires pour comprendre les choix. c. Notion d'échange L'échange existe depuis toujours. Aujourd'hui, des millions d'échanges ont lieu à tout instant. Les agents ont tendance à se spécialiser dans une activité de façon à les échanger contre de l'argent. L'information joue un rôle central dans l'échange. Tout échange pose des problèmes d'informations et de risques liés à la qualité de celle-ci. Si elle circule parfaitement et que les deux parties sont bien informés, elles sont gagnantes

L’art et la technique I. L'enjeu de la technique : la suivie de l'homme.   Voir cahier (texte)   I. Ambivalence du progrès technique.   Ambivalence : double valeur, positive ou négative.   A. Deux grandes périodes historiques concernant le progrès technique. Voir texte du cours avec explication de chaque paragraphe .   A. Le progrès technique doit-il nous inquiéter?   Le progrès technique a un double visage (comme Janus) : * Bénéfique : on attend un progrès général

des besoins individuels ou collectifs. Pour être considérée comme créatrice de richesses, une production doit être le fruit d’un travail. La plupart des biens et une partie des services, peuvent se vendre, c’est-à-dire être échangé sur un marché contre un prix : ce sont des biens ou des services marchands, comme une consultation médicale, ou, un envoie par la poste. En revanche, si un produit a un prix inférieur à la moitié de son coût de production, c’est un produit non marchand, comme un service

dégradante comme bénéfique. Le travail, pourvu qu’il soit aidé d’une technique performante permet de se libérer de la nature. Ici la technique est vue comme un savoir-faire permettant d’atteindre avec assurance un objectif fixé. L’homme devient alors maître de la nature, il lui impose sa volonté. Le travail serait donc libérateur. Il transformerait donc l’Homme en le libérant. Mais le travail pourrait être aussi aliénant, la technique pourrait déshumaniser l’homme. Pour répondre à la question « le

structure et éventuellement de système, et accompagnés de progrès économiques variables ». - il peut s’agir de mesurer la croissance d’un agent économique, une entreprise par exemple, ou bien celle d’une économie nationale ou d’une zone économique, l’UE. Dans le cas d’une économie nationale, la croissance peut se définir comme un accroissement durable de sa dimension, accompagné de changement de structure et conduisant à des progrès économiques. * La construction de l’Europe a été un phénomène