Pour être Libre Faut Il Avoir Trouvé Son Maître

1998 š› š› Christiane MENASSEYRE Doyenne du groupe de Philosophie Juin 1999 BACCALAUREAT GENERAL Série Economique et Sociale 1996 š› š› SERIE ECONOMIQUE ET SOCIALE : Groupement 1 – Session Juin 1996 Peut-on être plus ou moins libre ? A quelles conditions une démarche est-elle scientifique ? Dégagez l’intérêt philosophique du texte suivant en procédant à son étude ordonnée : Chacun a pu remarquer, au sujet des opinions communes, que chacun les subit et que personne

CHAPITRE I : CONSCIENCE ET DESIR INTRO : Le désir concerne tout être vivant dans la mesure où on le définit comme une pulsion. Il y a en effet une tendance qui permet de définir la vie comme un effort pour persévérer dans l'existence. Dans le cas de l'existence humaine, cet effort s'accompagne de pensées. Ainsi, le désir humain est conscient de lui-même. On peut même dire que c'est à travers ses désirs que l'homme prend conscience de son existence. Le désir nous donne l'idée du caractère temporel

transite l’éducation et selon Reboul, la famille a pour fonction de former les sentiments en transformant les pulsions les plus primitives ; l’école a pour finalité la transmission de savoirs à long terme. Seulement l’école ne peut être la seule à instruire et elle doit être au centre d’un réseau éducatif complet et diversifié pour parvenir à ses fins. Quant à l’Université, elle doit assumer l’enseignement, la recherche fondamentale et ainsi participer à la réflexion indispensable à la juste application

Quel peut bien être le but de l'activité philosophique ? Aristote, philosophe de l'Antiquité, élève de Platon, s'est employé à répondre à cette question dans l'un de ses ouvrages majeurs, la Métaphysique. Dans un passage célèbre de cette œuvre, Aristote met ainsi en évidence la spécificité de cette activité, dans laquelle il s'est lui-même illustré, en remontant à ses origines. Fille de l'étonnement, la philosophie se distinguerait, selon lui, des autres activités par sa liberté, en tant qu'elle

renvoi à l'« état de celui, de ce qui n'est pas soumis à une ou des contrainte(s) externe(s) » ou encore à la « condition de celui, de ce qui n'est pas soumis à la puissance contraignante d'autrui », à la « condition de celui qui n'appartient pas à un maître ». Mon hypothèse sera la suivante : « Kant défend une conception de la liberté qui n'entre pas en contradiction avec l'autorité alors que Bakounine refuse toute forme d'autorité au nom de la liberté ». Dans un premier temps nous exposerons la biographie

Exposé sur l'esclavage et l'affranchissement Premiere partie: L'esclavage Il faut savoir que l'esclavage au temps de la rome antique était très différent de celui que l'on connaissait au XVIIIème siècle en Amérique I° Dans le monde antique : L’esclavage est une institution reconnue dans toutes les civilisations antiques (ex : Mésopotamie, Inde, Chine, Egyptiens, Hébreux, Aztèques, Incas, Mayas et Celtes) dans des buts économiques ou militaires. Les esclaves étaient souvent traités dans

devrait obéir »[10]. Il ajoute : « L’empire des femmes n’est point à elles parce que les hommes l’ont voulu, mais parce que ainsi le veut la nature : il était à elles avant qu’elles parussent l’avoir » … « Cet empire est aux femmes, et ne peut leur être ôté, même quand elles en abusent : si jamais elles pouvaient le perdre, il y a longtemps qu’elles l’auraient perdu »[11]. Si l'empire des femmes est indubitable leur dépendance à l'égard des hommes est également très grande. Il affirme : « La femme

où vous ont emporté la faiblesse et la fragilité humaine? Le moribond: Oui, mon ami, je me repens. Le prêtre: Eh bien, profitez de ces remords heureux pour obtenir du ciel, dans le court intervalle qui vous reste, l'absolution générale de vos fautes, et songez que ce n'est que par la médiation du très saint sacrement de la pénitence qu'il vous sera possible de l'obtenir de l'éternel. Le moribond: Je ne t'entends pas plus que tu ne m'as compris. Le prêtre: Eh quoi! Le moribond: Je t'ai dit

quatre févriers 1688 Paris, lieu o il est mort l'âge de 75 ans. Il a fait jouer sa premi re comédie en 1706. En 1720 il est ruine par la banqueroute de Law et trois ans plus tard il perd sa femme. Cherchant des refuges pour survivre a tout ceci, il trouve son asile dans les écritures. Dont lequel il ne cherche pas imiter personne en dépit de son prestige, de l , sa qualité anti-Moli rre, qui résume d'une mani re ou d'une autre tout ces principes comme écrivains. Cherchant toujours a maintenir la distance

qu’il puisse considérer que ce travail lui est imposé. Idée 2 : la dialectique du maître et de l’esclave. Lorsque le « maître », la personne dirigeant le travail que l’homme doit effectuer lui donne ou lui impose ce travail, l’homme est « esclave » mais il possède aussi un pouvoir. Comme l’expose Hegel dans « La Phénoménologie de l’esprit » l’esclave est celui qui transforme la nature sous les ordres de son maître qui profite ensuite de l’objet transformé, mais celui-ci, contrairement à son esclave