Pour être Libre Faut Il Avoir Trouvé Son Maître

1) Qu’est-ce qui, selon les trois textes du corpus, permet à l’homme d’être libre ? ! La Fontaine, Rousseau et Zola montrent dans leur texte respectif, Le Loup et le Chien (1668), Emile ou de l’éducation (1762) et Germinal (1885) des situations dans lesquelles un individu ou un groupe exprime et/ou défend sa liberté. Néanmoins, la notion de liberté n’est pas abordée sous le même angle dans ces trois textes. Après avoir vu comment les auteurs comprennent le terme de «liberté», nous verrons de

intéresser à celle de Philinte pour finir par montrer l’opposition de caractère entre les deux personnages. Axes :    I. La thèse d’Alceste              II. La thèse de Philinte   I. La thèse d’Alceste a) L’idéal moral d’Alceste ­Thèse d’Alceste : être honnête en toutes circonstances, toute vérité est bonne à dire  {L. 1, 2} ­ On a le champ lexical de la « franchise » présent assez souvent dans le texte {L. 1, 2, 33 à 46} ­  L’idéal  d’Alceste  est  résumé  par  plusieurs  expressions   tel  que 

Lors de ce voyage, le sociologue ne se contentera pas de rencontrer et d’analyser les appareils disciplinaires mis en place par cette société et cet Etat pour le moins singuliers; mais son enquête le mènera à l’étude du véritable principe que semble être l’idéal démocratique mis en place par la société américaine de l’époque. C’est ainsi que De la démocratie en Amérique aura pour fonction première d’analyser la démocratie représentative républicaine ainsi que les formes particulières qu’elle revêt

sait pas ; et de même pour les autres, il aura le pouvoir d'examiner ce que chacun sait et a conscience à juste titre de savoir, mais aussi ce qu'il croit à tort savoir. De cela, aucun autre homme n'est capable. Finalement, l'attitude (sôphronein = être sage) et la vertu (sôphrosunè) de sagesse, de même que la connaissance de soi-même consistent à savoir ce qu'on ne sait pas. Est-ce bien là ta pensée ? Marx et Engels, l’idéologie allemande, première partie, B Toutes les idées que nous produisons

tiens à remercier particulièrement mon maître de stage M. Cluseau Mikael de m’avoir aidé dans la réalisation de mon projet. Je remercie aussi M. Coulon Frédéric, M. Gauvain Frédéric, M. Cariou et M. Baillou Cyril pour m’avoir accepté dans leur société et le reste du personnel pour m’avoir accueilli chaleureusement dans leur entreprise. J’aimerais exprimer ma reconnaissance à l'ensemble du personnel de la société ISI.NC pour leur soutien et de nous avoir apporté leur expérience.

d’un homme, est un devoir qui doit conduire l’enfant de l’animalité à l’humanité. En effet, puisque nos désirs ne sont pas réglés, il nous faut une éducation par les lois. L’éducation se révèle ainsi être une nécessité, car, à sa naissance, tout homme est un être culturellement démuni, et durant toute son enfance, il reste un animal sauvage qui a besoin d’un maître. Elle est de plus un devoir, car elle doit faire passer l’enfant de la nature à la liberté ; c’est donc l’éducation qui doit et peut réprimer

en présence de cultures différentes ayant chacune leur spécificité, leur mode de vie et peut-être surtout leur définition de l’homme. Devant cette diversité humaine quelle attitude adopter ? En écartant le refus pur et simple d’autrui en tant que différent, comment se situer devant cette multiplicité culturelle ? En d’autres termes, en quel sens et jusqu’où puis-je dire qu’autrui est mon semblable ? Il faut d’abord s’entendre sur les termes et surtout analyser la notion de semblable en elle-même.

le produit, le résultat de cet acte. Dans les circonstances ordinaires de la vie courante, l'acte d'énonciation implique deux partenaires que l'on désigne de diverses manières, à la fois selon les différentes théories linguistiques, mais aussi pour avoir des synonymes : – l'un, qu'on appelle génériquement le producteur (ou encore l’émetteur ou l’énonciateur) mais aussi, pour différencier les situations, locuteur à l'oral et auteur ou scripteur à l'écrit ; – l'autre, qu’on appelle génériquement le récepteur

pouvoir, on peut distinguer celles qui emploient la tournure : « avoir le pouvoir de » de celles qui sont sous la forme : « avoir du pouvoir sur ». Ces deux tournures renvoient à deux sens distincts du mot pouvoir. - Dans la tournure « avoir le pouvoir de », la forme de pouvoir est celle qui ne s'exerce pas sur des personnes, pas directement du moins. Elle se présente elle-même sous deux formes assez différentes l'une de l'autre : 1. « avoir le pouvoir de » comme capacité de faire, de créer ou de transformer

de Rome en 753, premières royautés qui viennent du monde étrusque. Au 6ème siècle avant notre ère débute la République romaine vers les années 509 510, et s’achève en 27 avant notre ère par la prise de pouvoir d’Octave. Débute alors l’Empire qui va avoir un destin assez long, il s’achève en 476. Depuis quelques siècles les Barbares vont ébranler le pouvoir et le gouvernement. L’empire romain d’orient réceptionne les attributs du pvr de l’occident, et continue d’exercer un pouvoir et va durer jusqu’au