Pourpoint

sociale, de part la manière dont ils sont habillés et des codes sociaux de chaque époque. Les « hauts-de-chausses tout tombants » du texte A font référence aux jeunes gens alors que Harpagon, plus âgé lui, porte son « haut-de-chausses, attaché au pourpoint avec des aiguillettes ». Berenger dans le texte C porte une « cravate » signe qu’il fait parti d’une classe moyenne. Parfois, l’habit peut être conçu pour apporter un peu de comique dans la pièce. Frosine décrit un Harpagon qui peut paraître ridicule

metaphores, hyperboles extravagantes . Le role de la lettre dans tout ca. les morals/le courage/ l’honneur: actions et promesses extravagantes, promites jusqu’au bout le suspens avant qu’on ne le rencontre + ses habilles: “Feutre a panache triple et pourpoint à six basques, Cape que par-derrière, avec pompe, l’estoc Léve, comme une queue insolente de coq.” pg. 35 l’onomastique: mise en abyme du vrai Cyrano l’intertextualité: “Le solonnel monsieur Philippe de Champaigne; Mais bizarre, excessif, extravagant

nécessite de l’ORATEUR, une préparation, une rigueur et de la répartie. Dans un discours improvisé, seul le MESSAGE n’est pas préparé. Un discours improvisé n’est donc pas ce discours présenté sans préparation mais plutôt un discours délivré à brûle-pourpoint. Cette présentation conceptuelle du discours faite, examinons à présent, quelques enseignements que nous inspire la citation de Churchill. Un discours improvisé a été réécrit trois fois. Autrement dit, l’improvisation ne s’improvise pas. Comme pour

faut un environnement gigantesque en proportion, comme des habits adaptés chapitre VIII : “Pour sa (Gargantua) chemise furent levées neuf cents aunes de toile de Châtellerault, et deux cents pour les goussets en forme de carreaux [...]. Pour son pourpoint furent levées huit cent treize aunes de satin blanc et pour les aiguillettes quinze cent neuf peaux et demie de chien.”, ou bien une jument de taille adéquate chapitre XVI : “Fayolles [...] envoya du pays d'Afrique à Grandgousier une jument, la plus

composantes essentielles sont demeurées les mêmes. Le fantassin de la Première Guerre mondiale portait une version de l’uniforme britannique M1902, qu’il a fini par adopter dans sa forme intégrale à mesure que la guerre évoluait. La tenue comprenait un pourpoint en cuir, que les hommes appréciaient par temps froid. Nos combattants portaient aussi la couverture de tranchée britannique M1915 par temps froid et un casque d’acier Mark I pesant 0,9 kilogramme. Chaque homme avait en outre une gamelle, une pelle

râtelier!... (L'attaquant.) N’est-ce pas, cher Comte ? LE COMTE, balbutiant, très gêné. Mais je ne... mais que voulez-vous frire ? MADAME. Comment? Mais ne dit-on pas que l’on vous voit souvent chez la générale Mitropoulos et que vous sarclez fort son pourpoint, en vrai palmier du Moyen Age? LE COMTE. Mais... mais... nulle soupière ! Pas le moindre poteau dans ce coquetier, je vous assure. MADAME, s'échauffant. Ouais !... Et la peluche de Mme Verjus, est-ce qu’elle n’est pas toujours pendue à vos cloches

il reste silencieux, et quand il parle, sa voix n’est qu’éclat comme s’il était incapable de communiquer. Il s’enferme dans une cabane, vit dans l’ombre et joue seul ou avec ses filles dans un cercle intime. Le jeune musicien, vêtu d’abord d’un pourpoint rouge, s’oppose au maître par la jeunesse et par le mouvement : il est celui qui arrive par les chemins et qui repart, il suit une trajectoire, tandis que son maître semble immobile, tout entier concentré sur une recherche intérieure. La scène de

va devenir le foyer de réception des nouveautés dans le domaine vestimentaire. Sous Louis XII et François I er apparaît la mode des basquines* et du vertugadin*, ainsi que le décolleté carré pour le vêtement féminin. Pour le vêtement masculin le pourpoint* se raccourci, et l'on voit apparaître la mode des crevés* et la braguette*. Le règne d'Henri II est fortement influencé par les modes espagnoles plus austères qui prônent la couleur noir, le luxe est par ailleurs restreint par des édits somptuaires

facilement être parasitées par l’hyperbole ou la répétition. On retrouve ces deux éléments dans le chapitre VII de Gargantua : Rabelais décrit méticuleusement et exagérément les vêtements de Gargantua, en passant par ses fournisseurs, sa chemise, son pourpoint, ses chausses, sa braguette, son saie, sa ceinture, son épée, sa bourse, sa rose, son bonnet, son plumet, son « image », sa chaîne de cou, ses gants et ses bijoux. Le lecteur peut alors se demander quel message Rabelais cherche à faire passer : s’agit-il

rabattu porté autrefois par les hommes.2. Ce vieillard s'appelle Frenhofer.3. affriande : attire par sa délicatesse.4. débile : qui manque de force physique, faible.5. truelle à poisson : spatule coupante servant à découper et à servir le poisson.6. pourpoint : partie du vêtement qui couvrait le torse jusqu'au-dessous de la ceinture.7. Rembrandt : peintre néerlandais du XVIIe siècle. Ses toiles exploitent fréquemment la technique du clair-obscur, c'est-à-dire les effets de contraste produits par les lumières