Pourquoi Désirons Nous

Service Canada pour m’aider à m’orienter dans une profession qui sera convenable pour moi en fonction de mes qualités. Dans cette réflexion, je vais parler de mes stratégies d’études et de mon estime de soi . Peut-on trouver le métier que nous désirons le plus dans ce site? Ce site nous aide à nous donner une bonne hypothèse de notre choix de carrière. I. stratégies d'études Après avoir fait les questionnaires, je vais vous parler de mes méthodes de travail ainsi que mes capacités basées sur

que nous vivons, nous ne savons pas en profiter, savourer cet instant. Nous nous empressons simplement d'attendre le suivant ou de se rappeler le précédent, nous restons incapable de focaliser notre esprit sur un seul temps en même temps. Mais pourquoi fuyons-nous ce présent ? « C'est que le présent, d'ordinaire nous blesse. » Le présent nous montre une réalité avec bien souvent, des sources d’affection pénible. Des moments difficiles à éprouver sont parfois plus facile à admettre avec du recul

tonneau ». Ici, le philosophe allemand dénonce que les désirs sont en réalité un cercle vicieux, qu’ils ne disparaitront jamais de manière durable : après avoir réalisé un désir, il nous lasse, et nous avons un nouveau désir à assouvir. Mais donc, pourquoi l’être humain continue toujours et sans cesse à assouvir ses désirs en vue du bonheur ? Tout simplement parce que ce bonheur est illusoire ; il laisse les Hommes espérer, rêver ; il nous laisse à penser que nous réussirons à remplir le tonneau des

plus, comme le met en avant Platon avec ses deux réflexions antagonistes du désir; l’une d’entre elle prône une satisfaction sans limites et continuelle des désirs. Le but de notre vie étant de satisfaire sans contenance les désirs et nos passions. Pourquoi tenter des les contrôler et de les éliminer, du moins partiellement ? C’est dans cette satisfaction du désir et dans l’action de satisfaire que l’on peut ressentir la joie, le bien-être et le plaisir. De surcroît, le contrôle continuel et la retenue

essayer de répondre à cette question en abordant le fait que même si désirer le possible est plus raisonnable, pourquoi pas désirer l'impossible ? Désirer le possible ferait alors intervenir notre raison face à notre conscience. La raison, en effet, règle la conduite des hommes et s'oppose à la passion incontrôlée, par conséquent elle s'oppose à désirer l'impossible. Si nous désirons le possible, nous sommes donc un être raisonnable, à qui satisfaire ses désirs apportera une satisfaction certaine

misérable , nous travaillons parce qu'on est pauvres ; nous désirons par conséquent être libéré du travail : désir spontané . Nous constatons que l'Homme a toujours travaillé . N'est ce que par nécessité ? Nous serons amené à voir que si le travail est bien d'abord ce ont nous souffrons , il peut malgré tout acquérir une valeur positive car de lui découle tout ce qui nous semble donner sens à la vie . I – Le travail comme souffrance Pourquoi le travail est-il ressentit comme une souffrance ? Le

L'homme enchaîné aux fers peut être tout aussi libre que son maître, et même plus libre que lui s'il comprend que la vraie liberté ne consiste pas en la liberté extérieure et apparente d'agir, mais en celle, tout intérieure, qui fait que nous ne désirons que ce qui nous appartient en propre et nous constitue dans notre humanité : la liberté de notre désir ou de notre vouloir par laquelle nous faisons de nous ce que nous méritons d'être, libres ou esclaves. Cette hypothèse conduit à des conséquences

passé ne sont pas conforme à ce que nous désirons vraiment et arrêter de s’acharner à réussir dans un domaine qui ne correspond pas à nos talents. La souffrance survenue suite à cette ignorance disparaitra alors pour faciliter le chemin vers le bonheur. 1 REVEL Jean-François et RICARD Matthieu, Le moine et le philosophe, France, NIL édition, 1999, p.407 Tous s’attendront pour dire que la connaissance et le bonheur sont étroitement liés, mais pourquoi les connaissances acquises par la religion

l’imaginaire une satisfaction toute symbolique ». Cela veut dire, qu’au lieu d’accomplir quelque chose de concret et réel soit « une action efficace dans le monde », nous préférons agir en pensée car ainsi nous sommes capables de réaliser tout ce que nous désirons sans la moindre difficulté et nous sommes ainsi satisfaits de façon « symbolique ». Ensuite, Merleau Ponty se sert de l’exemple apporté par Sartre pour illustrer sa conception de l’émotion. Il utilise ici,

décision prise par l’humain. Il faut se servir de la raison pour penser aux conséquences des choix que l’on pose, voici la réelle prudence, pour ce philosophe. Il ne suffit pas de réfléchir à quelle avidité bonne ou mal voulons-nous combler, mais pourquoi désirons-nous celle-ci, mais pas celle-là? Enfin, La réflexion derrière chaque action posée est essentielle, car lla somme des choix réfléchis que nous posons nous mène au bonheur durable et