Pourquoi Désirons Nous

société est psychiatrisée. Un Gouvernement et une monnaie mondiale règnera bientôt sur notre globe, si toute fois l’humanité survie aux dérèglements climatique engendre par notre race. On se pose la question suivante : Pourquoi serait-on la seule espèce intelligente depuis la création de la terre ? C’est alors que je vais vous parler d’extraterrestre. Un jour ou une nuit chaque atome de l’univers trouvera la sérénité la plus complète. La paix intérieur et extérieur

moi-même que j'obéis. Je suis donc libre...d'autant plus libre que que j'ai été capable de résister à mes impulsions, à mes tentations pour être fidèle à ce que je pense juste. (Nous voyons ici qu'être libre, ce n'est pas forcément faire ce que nous désirons...mais ce que nous voulons, ce que nous pensons être juste et bon. Et cela suppose une certaine maîtrise sur nous-mêmes). Obéir à une loi que notre raison reconnaît comme juste, cela s'appelle agir par devoir. Le devoir, en ce sens, n'est pas opposé

premier abord, nous sommes tentés de penser que le bonheur est un état de plénitude, de satisfaction totale parce que pour être heureux, l'homme cherche à satisfaire ses besoins. Pourtant cela nous pose problème parce que le bonheur est ce que nous désirons le plus mais il semble aléatoire, il ne dépendrait pas entièrement de nous. Faut-il dire que le bonheur est un accomplissement de tous nos désirs ou bien faut-il dire que le bonheur ne dépend pas de nous ? La question est de savoir si le bonheur

ses désirs plutôt que l’ordre du monde car les seules choses qui soient véritablement en notre pouvoir sont nos pensées. Or, c’est une propriété de la volonté de ne désirer que les choses qui semblent possibles. En effet, écrit Descartes, nous ne désirons pas posséder le royaume de Chine, cette possession ne nous manque pas. Ainsi, si nous apprenons à ne désirer que ce que nous avons la certitude d’acquérir, alors plus rien ne pourra nous manquer. Nous aurons un sentiment de plénitude plus développé

Le désir est contradictoire car il veut et ne veut pas être satisfait : que serait, en effet, une vie sans désir, si ce n'est une vie morte ? • Par ailleurs, le désir sent confusément qu'aucun objet n'est à même de le satisfaire pleinement. C'est pourquoi, à la différence du besoin, il est illimité, insatiable et sans cesse guetté par la démesure, comme le montre Platon dans le Gorgias quand il compare l'homme qui désire à un tonneau percé qui ne peut jamais être rempli. Selon Schopenhauer, la vie

soi à celui d'amour de l'autre. Cependant tomber amoureux et aimer n'est-ce pas différent dans l'objet qu'il vise? Pourquoi attribue-t-on un sens différent à deux expressions issues de la même racine substantive ? I- « Qu'est-ce qu'être amoureux ? » : Une question anthropologique. L'amour peut se rapporter au désir, c'est ce que l'on appel le désir amoureux. Nous désirons tous plus ou moins aimer et être aimer. Ce désir est exposé notamment dans le mythe de la réminiscence de Platon. Celui-ci

l’autre dans leur vie, et c’est pourquoi il est nécessaire d’avoir de la détermination. En jouant un sport, un jeune test ses limites et sait jusqu’où il peut se pousser lui-même. Ceci lui donne de la détermination dans le sens qu’il va toujours vouloir se pousser jusqu’à temps qu’il arrive à cette limite. Cette qualité essentielle à la vie quotidienne nous encourage à accomplir nos rêves peu importe ce qu’ils sont pour qu’on puisse arriver aux résultats que nous désirons. Le sport affectera la formation

des choses pour être déterminé par la joi b) sens du désir illimité  lié à conaissance illimité Spinoza) Poser que le désir est sensé, c'est l'envisager sous son caractère de processus finalisé. Or quand Spinoza dit que c'est parce que nous désirons une chose que nous la jugeons bonne et non l'inverse, il tend à faire du désir sa propre justification : rien n'est désirable en soi mais n'est désirable que ce qui est effectivement désiré. Mais dans ce cas, le désir est alors sans limite, sans

du corps et de l’esprit, les affects ou sentiments et finalement l’amour de Dieu. 2. Forme de l’Ethique La méthode adoptée par Spinoza pour l’Ethique est tout sauf traditionnelle puisqu’elle procède more geometrico, selon un mode géométrique. Pourquoi Spinoza adopte-t-il une manière aussi formelle et sévère ? Parce qu’elle est la 1 condition de l’approche déductive et le fondement même du rationalisme spinoziste. Ce mode tient de la méthode mathématique, celle de géomètres qui décriraient

toujours possible à l’Homme de refuser les raisons évidentes. Sa liberté de choix étant donc infinie puisque nous pouvons toujours refuser l’évidence. 3. Objections, critiques autour du libre-arbitre Si nous sommes dans un état d’indifférence, pourquoi allons-nous choisir plutôt que de ne pas choisir ? Si le choix est effectué, cela suppose que nous ayons déjà choisis de choisir. Donc pour vouloir, il faut « vouloir vouloir ». régression à l’infini. I. L’illusion du libre arbitre et le