Pourquoi La Fiction Permet De Réfléchir Sur Homme Et Le Monde Monde

d’un roman, comme pour approfondir le thème où une difficulté qu’elle a rencontré dans son roman. Par exemple, « l’espèce fabulatrice » a été écrite à la suite de « lignes de faille » car, pour écrire ce roman, Nancy Huston s’est vue obligée de réfléchir à la construction d’une identité. Nancy Huston refuse d’édulcorer la vie, de la biaiser. Elle veut pouvoir tout voir sans se voiler les yeux. Elle regarde le malheur en face mais refuse de le devancer. EXTRAIT P.3 DOSSIER TROP COOL Elle se voit comme

lisant cette petite histoire distrayante, le lecteur réfléchit, pense. Ex : « C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » => Voltaire mêle l'humour [tellement la situation du « Nègre » est terrible : symétriquement « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite » ! + la neutralité du ton de l'esclave qui ne se révolte pas « c'est l'usage »], le pathétique [la désillusion de l'esclave, les espoirs de ses parents vs sa situation, les larmes de Candide] => le lecteur réagit

Montesquieu y developpe bien ses idées sur la religion, la politique et d’autres sujets, même s’il le fait par l’intermédiaire de personnages fictifs. Le rapport entre l’argumentation – une démonstration de la vérité par un raisonnement -- et la fiction – la fabrication d’un récit imaginaire -- deux notions apparemment contradictoires - est effectivement au centre de l’œuvre de Montesquieu, comme ce dernier l’a évoqué lui-même dans Quelques réflexions sur Les Lettres persanes, rédigées en 1758 :

Il existe plusieurs manières pour faire réfléchir l'Homme, l'une d'elle est le roman. Celui-ci est fondé sur des faits imaginaires et peut donc plus facilement amener à la réflexion. La fiction du personnage n'est en fait que le reflet de la société dans laquelle nous vivons. On peut donc se demander en quelle mesure le personnage de roman donne au lecteur un accès privilégié à la connaissance du cœur humain. Un personnage fictif peut-il nous permettre de connaître et de comprendre la réalité des

d’autres planètes. Leçon de sagesse et de modestie. Bien et mal sont relatifs aussi. Voyage ds l’espace = voyage de l’esprit, plein d’enthousiasme face à l’immensité du savoir. Que peut-on savoir et comment ? Chapitre I : Voyage d’un habitant du monde de l’étoile Sirius dans la planète Saturne. Narrateur personnage : « je », historien voyageur, a rencontré Micromégas. Micromégas = 8 lieues de haut = géant pour nous. Il vit sur une des planètes gravitant autour de Sirius = planète qui doit être

dans le monde? Depuis longtemps, la littérature joue un rôle important dans la lutte pour défendre des idées. Beaucoup d'œuvres en sont l'exemple, crées dans le but de faire passer un message, souvent contre les inégalités politiques et sociales. A l'aide de la célèbre citation de Jean Paul Sartre, grand romancier, philosophe et proche des parties communistes nous allons voir les actions possibles de la littérature. En quoi la littérature peut-elle être un facteur de changement dans le monde ? Nous

prendre des notes, faire des fiches d’où l’on tire des idées générales et des idées particulières qu’il faut rattacher entre elles. Là encore, on apprend au lecteur à lire en critique, aucun plaisir. Sainte-Beuve : « Les critique n’est qu’un homme qui sait lire et qui apprend à lire aux autres ». Il apprend à lire en critique, or la critique n’est pas un plaisir. « La lecture se compose de trois personnages : l’auteur, le lecteur ; et le critique est le médiateur ». But du livre de Faguet:

Séquence 2. Groupement de textes et d’images Reconquérir son identité et la liberté 24 Séquence 3. Œuvre longue Un film, une quête, une vie : Éden à l'Ouest de Costa-Gavras 40 Objet d’étude 2 Au xxe siècle, l’homme et son rapport au monde à travers la littérature et les autres arts Séquence 4. Dossier Les sciences humaines dans la littérature et les arts 64 Séquence 5. Groupement de textes et d’images Des situations et figures mythiques 92 Séquence 6. Œuvre longue

pour lesquelles je dis ce que tu lis; laisse-toi aller à te dire tout simplement : c'est vrai, c'est faux. ça me plaît, ça ne me plaît pas. Un point, c'est tout. » — Le philosophe masqué (entretien anonyme avec C. Delacampagne), Le Monde, n° 10945, 6 avril 1980 : Le Monde-Dimanche, pp. I et XVII. « Un écrivain ne confie tout, ni à ses journaux intimes ni à sa correspondance ; seuls ses personnages racontent sa véritable histoire, celle qu’il n’a pas vécue ». (François Mauriac) Descartes : « La lecture

lecteurs que leur auteur favori n’était écrivain. Dans Ogonick, un journal moscovite, Andreï Arkhangelski, qui avait lu son livre, l’accusait d’accumuler les poncifs ( 2) sur la Russie (…).Cela n’avait pas empêché le roman d’avoir une demi – page dans Le Monde des Livres et de créer des embouteillages dans les salons. Plus que ses romans, c’était l’auteur que l’on venait acheter- l’auteur tel qu’on le voyait à la télé ou tel qu’on l’avait vu dans les médias, posant à moitié nu avec un livre de Baudrillard(