Pourquoi Le Bourgeois Gentilhomme Fait Il Rire

le nom sans épouvante ; Le chef de la maison de Bazan, qui s'en vante ; Mon crédit, mon pouvoir ; tout ce que je rêvais, Tout ce que je faisais et tout ce que j'avais, Charge, emplois, honneurs, tout en un instant s'écroule Au milieu des éclats de rire de la foule ! GUDIEL. Nul ne le sait encor, monseigneur. DON SALLUSTE. Mais demain ! Demain, on le saura ! – nous serons en chemin. Je ne veux pas tomber, non, je veux disparaître ! Il déboutonne violemment son pourpoint. – Tu m'agrafes toujours comme

bâtir des maisons, ne dut pas trouver d’acquéreur ; peut-être le souvenir du tas d’os et de ce tombereau allant et venant par les rues, seul, avec le lourd entêtement d’un cauchemar, fit-il reculer les gens ; peut-être fautil plutôt expliquer le fait par les paresses de la province, par cette répugnance qu’elle éprouve à détruire et à reconstruire. La vérité est que la ville garda le terrain, et qu’elle finit même par oublier son désir de le vendre. Elle ne l’entoura seulement pas d’une palissade

nom sans épouvante ; Le chef de la maison de Bazan, qui s’en vante ; Mon crédit, mon pouvoir; tout ce que je rêvais, Tout ce que je faisais et tout ce que j’avais, Charge, emplois, honneurs, tout en un instant s’écroule Au milieu des éclats de rire de la foule ! GUDIEL  Nul ne le sait encor, monseigneur. DON SALLUSTE                                                    Mais demain ! Demain, on le saura ! — nous serons en chemin ! Je ne veux pas tomber, non, je veux disparaître !

le nom sans épouvante ; Le chef de la maison de Bazan, qui s'en vante ; Mon crédit, mon pouvoir ; tout ce que je rêvais, Tout ce que je faisais et tout ce que j'avais, Charge, emplois, honneurs, tout en un instant s'écroule Au milieu des éclats de rire de la foule ! GUDIEL Nul ne le sait encor, monseigneur. DON SALLUSTE Mais demain ! Demain, on le saura ! - Nous serons en chemin. Je ne veux pas tomber, non, je veux disparaître ! Il déboutonne violemment son pourpoint. Tu m'agrafes toujours comme

concilier la bienveillance des auditeurs, éveiller en eux toutes les émotions qui sont utiles à la cause ». I. Introduction I. La rhétorique antique 1) Le mot : vient du mot rhêtorikê = technique, art oratoire / rhêtor = orateur = personne qui fait usage de la rhétorique 2) La naissance : la rhétorique est née en Sicile, ce que l’on appelait avant la Grande Grèce, car il s’agissait d’une colonie grecque, au Vème sicèle avant JC ; Il s’agit de l’époque où les tyrans d’Agrigente et de Syracuse

des exercices Chapitre 4 La tragédie au XVIIe siècle Groupement de textes n° 2. Autour de la tragédie classique Séquence 4 – FR20 © Cned – Académie en ligne Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 : Les Précieuses ridicules, sc.9 B. La comédie du mariage Texte 2 : George Dandin, I,4 C. L’utilisation comique du quiproquo Texte 3 : Le Malade imaginaire, I, 4 D. Pour aller plus loin… E. Évolution de la comédie, du XVIIIe au XXe siècle

est Dom Juan. GUSMAN : Je ne sais pas, de vrai, quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de vœux, de soupirs et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin et tant d'emportements qu'il a fait paraître, jusqu'à forcer, dans sa passion, l'obstacle sacré d'un couvent, pour mettre Done Elvire

B. Les différents genres de comédies C. Les personnages de comédie D. Les ressorts de la comédie Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices Chapitre 2 Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 : Les Précieuses ridicules, sc.9 B. La comédie du mariage Texte 2 : George Dandin, I,4 C. L’utilisation comique du quiproquo Texte 3 : Le Malade imaginaire, I, 4 D. Pour aller plus loin… E. Évolution de la comédie, du XVIIIe au XXe siècle Corrigés

un soldat estropié qui lui fait l’aumône à qui il laisse beaucoup d’argent mais dont il a peur. Se plaint de sa mauvaise mule. Arrivée à Péñaflor : s’arrête à une hôtellerie où il comte son aventure à l’hôte qui lui présente un acheteur pour sa mule. Celui-ci l’arnaque et la prend pour 3 ducats, sans que GB en ait conscience. Rencontre un muletier avec qui il s’accorde de prendre la route le lendemain matin. Rentré à l’hotellerie : rencontre avec un chevalier qui lui fait l ‘éloge et l’invite à manger

................................................. 344 À propos de cette édition électronique ................................ 346 –3– Aux morts de 1871 À TOUS CEUX qui, victimes de l’injustice sociale, prirent les armes contre un monde mal fait et formèrent, sous le drapeau de la Commune, la grande fédération des douleurs, Je dédie ce livre. Jules VALLÈS. –4– 1 C’est peut-être vrai que je suis un lâche, ainsi que l’ont dit sous l’Odéon les bonnets rouges et les talons noirs. Voilà