Pourquoi Le Pib Est Il Un Indicateur Contesté

Le développement humain durable ; INDH, 22 Août 05, BOUKHARI, GSM : 067 751 007 Le Développement Humain Durable, Indicateurs de développement humain Et Concept de pauvreté Définition du concept Développement local: Nous définissons le développement local comme étant un processus de changements positifs qui sont!: • Des améliorations durables et participatives des conditions matérielles et situations sociales des populations locales!; • Basés sur une approche participative pour accompagner!: la

Chapitre 1 L’échange sur les marchés 1. L’organisation des échanges 1.1 Pourquoi échange-t-on ? La division du travail constitue la règle dans nos sociétés : aucun individu ne peut prétendre produire tous les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Ainsi, la spécialisation des individus les conduit à échanger le surplus de leur propre production, qui excède leurs besoins, contre le surplus de production d’autres individus. Il est vrai qu’il est toujours possible de s’approprier par

sur le développement humain de 1990 a remis en question l’idée selon laquelle le produit intérieur brut (PIB) était un moyen adéquat et suffisant pour mesurer la croissance économique, et a introduit un nouvel Indice de Développement Humain (IDH) permettant de mesurer les progrès réalisés par les pays du monde entier en termes de développement humain. Cet IDH met l’accent sur trois indicateurs que le Rapport de 1990 avait définis comme essentiels : l’espérance de vie à la naissance (qui mesure le

points de vue opposés sur la question. L’une, de Robert Lucas (1988), suggère que le revenu par tête est un bon point de départ de l’analyse, car il guidera nécessairement la ré‡exion vers des questions plus larges. L’autre, de Paul Streeten (1994), conteste l’existence d’un lien rigide entre revenu par tête et autres indica- teurs de développement, et a¢rme en conséquence que la focalisation sur le revenue par tête est réductrice. Lapremièrechoseàfaireestd’établirunelistedesindicateursdedéveloppe- ment

pétroliers) : 1974-75 : brutale mais courte ; baisse du PIB de 0,4% en 1975 ; 1976 hausse de 4,7% 1980-83 : moins grave mais plus longue ; hausse du PIB de 3,3% en 1979, hausse de 1,3% en 1980 & de nouveau 1,3% en 1981 donc en 1982 baisse. Et n'est remonté qu'à 2,6% en 1983. => Fin de la grande croissance Seconde partie des années 80 : → Dynamisme de l'activité économique : Progression des investissements et de la productivité ; 1988 le PIB réel est de 4,5% et en 1989 de 3,3% → réduction du chômage

légitimité politique. Les dépenses sociales continuent d’augment de façon importante alors qu’il n’y a pas de résultats. En 2009 le déficit budgétaire correspondait à 8,2% du PIB. En 2010 il correspondait à 8,5% du PIB. Et pour 2011 l’objectif est de ramener ce déficit à 6% du PIB. Donc comme la situation est mauvaise, pourquoi continuer ? Ce problème de financement est pareil dans, plus ou moins, tous les pays développés, et tous ces pays se posent les mêmes questions. Tout le monde est d’avis de

............................................................... 9 dumas-00568161, version 1 - 22 Feb 2011 II. Mesure de l’ouverture financière et construction des indicateurs ............................ 12 II.1. Indicateurs de la libéralisation financière ........................................................... 12 II.2. Indicateurs des crises bancaires.......................................................................... 14 CHAPITRE II : Revue de la littérature et état actuel de la recherche

nous nous intéresserons plus particulièrement à ces travaux regroupés au sein de l’« approche par les capabilités ». En quoi une telle approche peut-elle être pertinente pour réfléchir sur le développement ?Telle est la problématique de ce travail. Pourquoi se poser une telle question ? Parce que cette approche par les capabilités est souvent invoquée dans les questions de développement. A raison, puisque Sen prétend lui-même que ses propos théoriques peuvent aider à comprendre certaines formes d’inégalités

normes par conviction ou en instaurant des aides fiscale ou en utilisant des entreprises nationales pour atteindre certains objectifs (ex : dans le secteur nucléaire). Ces formes de présence sont quasiment toutes difficiles à réduire à des indicateurs simples. La logique historienne et des théoriciens économiques a toujours été d'accorder une importance extrême à ce qui est quantifiable, c'est-à-dire au budget étatique et à son expansion. 5. Divers échelons de la puissance publique : l’Etat

globale ne permet pas aux entreprises de prendre des décisions favorables à l’investissement et à la création d’emplois. Le risque est celui de la déflation. Bilan : Le prix est un outil permettant de comparer la valeur des biens. C’est souvent un indicateur de rareté. Il permet d’influencer les comportements, les décisions et les stratégies des agents économiques dans leurs opérations de production, de consommation, d’investissement ou d’épargne. Si on se fonde sur l’hypothèse de rationalité des agents