Pourquoi Les Hommes Sont T Il Plus Fort Que Les Femme

chapitre 1 (p 27 à 47) Deux hommes marchent sur un chemin au beau milieu de la Soledad. Le 1er homme est petit, vif, brun de visage avec des yeux inquiets et perçants, des traits marqués. Des mains petites et fortes, des bras minces, un nez fin osseux ; il s'appelle GEORGE. Le 2èm homme est tout son contraire, homme énorme, visage informe, grands yeux pâles, larges épaules tombantes. Il marche lentement en trainant un peu les pieds, ses bras pendent ballants à ses côtés ; c'est LENNIE

et le marquis De La Môle. Pour notre analyse nous comparerons ces deux hommes. Leurs relations avec Julien seront expliquées ainsi que leur confrontation avec ce dernier. De quelle manière pouvons-nous dire que ces deux personnages sont à la fois des opposants et des adjuvants à Julien ? N'y a t-il pas une certaine similitude entre M. De la Môle et M. De Renâl ? Finalement nous observerons de quelle manière ces deux hommes auront contribué à l'ascension de Julien. Dans le livre I, M. De Renâl

Vous trouvez, messire ? dit-il en examinant Robin de la tête aux pieds. – Oui, vous êtes fort adroit. – Vraiment, ajouta l’inconnu d’un ton dédaigneux. 6 – Sans doute, et surtout pour un homme qui n’est pas habitué à tirer le daim. – Comment savez-vous que je manque d’habitude dans ce genre d’exercice ? – Par la manière dont vous tenez votre arc. Je parie tout ce que vous voudrez, sir étranger, que vous êtes plus habile à renverser un homme sur le champ de bataille qu’à étendre un daim dans le fourré

passé ce portique, N!xau vit plusieurs personnes qui l'attendaient avec un carton où il était écrit son nom et s'approcha. C'était en réalité de la famille très éloignée qui l'attendait, avec un détail effrayant, ils étaient blancs. Il y avait une femme, deux enfants et pas d'hommes. Ils montèrent à 4 dans une boite en fer, qui roule, la voiture familiale. N!xau était très perplexe sur ce moyen de transport qu'il n'avait jamais vu auparavant… il ne supportait pas d'être à bord de ce véhicule et tomba

Lyon. Des paysans rongés par la fièvre ramassent des poissons dans la boue. Le jeune baron Ponceludon de Malavoy arrive à cheval et semble peiné par l’état des paysans. Il raccompagne un enfant, fiévreux, sur son cheval et lui dit : EXTRAIT 2 – Les hommes peuvent faire des miracles. Tu ne me crois pas, hein ? Mais je te fais une promesse : nous chasserons le mal des marais et il fera bon vivre ici. – Tu vas faire dire des messes ? – Non, non, pas de messes ! Nous construirons des digues et des canaux

l’Emile de Rousseau (texte A). Elle décide d’écrire à son auteur ce qu’elle a pensé de cet essai et plus particulièrement de cet extrait. Elle reprendra certains éléments de l’argumentation de Rousseau pour la contredire. Vous lui prêterez un style qui correspond au tempérament que lui donne Voltaire dans son dialogue. 50 lignes minimum. A. ROUSSEAU, Emile ou de l’éducation, livre V, 1762. La femme est faite spécialement pour plaire à l’homme ; si l’homme doit lui plaire à son tour, c’est d’une

Tendresse, recueil de textes sur l'amour et l'amitié est-ce qu!une femme ? Pour la définir il faudrait la connaître. MARIVAUX. 2 / 98 De l’Amitié à la Tendresse e mariage sans amour est toujours aussi faux, qu!il soit dû à la vénalité ou à l!abnégation. Marie LENERU. l faut avoir un ami qu!en tout temps, Pour son bonheur, on écoute, on consulte, Qui puisse rendre à notre âme en tumulte Les maux moins vifs et les plaisirs plus grands. Il faut le soir un souper délectable, Où l!on soit libre

pendant sa vie cinématographique. Pendant ces 25 ans, il y a 3 périodes différentes, dans lesquelles, la femme est un sujet permanent. Les femmes dans les films de Truffaut ont un caractère commun, elles sont braves, indépendantes, et elles poursuivent l’amour à tout prix. En réalité, l’image des femmes est plutôt un reflet de son avis sur la libération des femmes. Dans la vie de Trufaut, la femme occupe une place indispensable. Il est un adorateur des femmes. Et le caractère des femmes qu’il aime

58 c. Zékia, la mère initiatique....................................................................................61 B. Le rôle de la femme…………………………………………………………. 64 ii 1. Zékia, la guerrière………………………………………………………………64 2. Maïéto Pour Zékia, une opération d’assainissement d’un mythe………………65 3. Maïéto Pour Zékia comme poème de libération de la femme……………….....67 V. CONCLUSION………………………………………………………………….....71 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………....76 APPENDIX A: LES QUATRE VERSIONS

Pourtant, à bien y regarder, les signes prémonitoires d’un malaise jalonnent les premières pages. C’est, d’abord, au-delà de leur histoire et de leur rêve communs – sans cesse ânonnés par Lennie - le contraste physique et moral qui différencie les deux hommes et jette le trouble. L’un est de petite taille quand l’autre est un colosse ; surtout, celui-ci apparaît tel un enfant démuni alors que celui-là montre combien il est responsable. Cette disparité ne laisse pas d’inquiéter dans la mesure où elle a