Pourquoi Utiliser La Métaphore De La Lumière

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . P.11 2 INTRODUCTION Les trois œuvres qui vont être présentées sont toutes les trois des peintures issues du peintre allemand Caspar David Friedrich peintes au XIXe siècle. L’auteur de ces œuvres utilise une technique picturale pour toutes ses peintures, l’huile sur toile. Toutes les 3 se déroulent en Allemagne, Hambourg pour « le voyageur contemplant une mer de nuages » et « la mer de glace » puis Berlin pour « deux hommes au bord de la mer ». Le

v19 crêpe : tissu très fin tournesol : plante héliotrope (qui se tourne vers le soleil) Situation : • Poème écrit un an avant la naissance du surréalisme. • Démarche fondatrice du mouvement surréaliste : l'écriture automatique (qu'il avait déjà utilisé dans le receuil Champs Magnétiques). • Succession de vers libres non ponctués (cf. Apollinaire) le poème évoque une promenade faite par Breton et une femme inconnue. Construction : • Première étape : Rencontre de la voyageuse aux Halles (jusqu'au

question, nous allons, dans un premier temps, expliquer comment et pourquoi Baudelaire fait-il l’éloge a la vie naturelle puis comment Baudelaire arrive-t-il a imaginer créer et s’élever. Le premier paragraphe apparait comme un discours explicatif se rapprochant d’une définition d’un dictionnaire avec le terme « fenêtre » qui revient trois fois, son terme associé « vitre » et même une métaphore « trou noir ou lumineux » pour le designer. L’on retrouve le thème

défunt et le blâme de sa propre passion qui a eu raison de l'un comme de l'autre. Elle se met tout d'abord dans une position de coupable. ② vers 1 : “Non, Thésée, il faut rompre un injuste silence; Il faut à votre fils rendre son innocence.” ↦ métaphore “rompre un silence” ⤇ le terme fort “rompre” indique un changement, une mutation de la situation, c'est ici qu'explicitement, Phèdre annonce qu'elle met un terme au secret de son inceste, mais aussi, et implicitement, à sa vie. Et ici le terme “rompre”

beaucoup côtoyés. On y découvre le destin du jeune artiste Claude Lantier, qui essaie d'atteindre la perfection grâce à sa peinture novatrice. Au chapitre VIII, Zola décrit une des toiles du peintre, une œuvre de révolte. Ce tableau est plein d'une lumière agressive, d'une chaleur étouffante. Il présente aussi toutes les caractéristiques d'une œuvre impressionniste. Mais cette description nous fait surtout découvrir Claude, ce peintre anticonformiste voué à un destin tragique.

rimes, du rythme, des vers… Ces exigences définies dans des Arts poétiques sont les essences mêmes de la poésie. C’est pourquoi, la poésie est souvent considérée comme la forme la plus anoblie de la littérature. S’opposant à la prose, qui est le support de la langue courante (et qui a donné le mot prosaïque), la poésie se veut une forme pure, noble, réservée à une élite. C’est pourquoi, le contenant, sa « forme fixe », est le premier critère d’un poème, car c’est ce qui le différencie de la prose et

personnes ou des personnages pour permettre au lecteur, au destinataire de les imaginer, de les voir à son tour. Dans le cas des personnes ou des personnages, on parle de portrait. Cette fonction est avant tout explicative et/ou informative ; c’est pourquoi on le trouve sous forme de séquence dans de nombreux écrits et surtout les ouvrages documentaires, les récits de voyage, les guides touristiques ou les romans. Fonctions implicites : - narrative : grâce à une description : le lecteur peut mieux ressentir

de Robert Desnos. |les images poétiques. |réguliers. | | | | | |- La métonymie, la métaphore, l’hyperbole. | | | | | |- Les champs lexicaux. | |9 |2h |- L’Affiche rouge, chanson de

raconte son histoire d'une façon, on peut dire, ordinaire, comme s'il était tout à fait normal d'émasculer ses conquêtes. La superposition des différentes épaisseurs de tissu nous permet aussi d'identifier cette jeune femme come une vagabonde, ce pourquoi elle porte aussi un sac à dos. D'autre part le blanc rappelle également le monde hospitalier. De plus ce costume original traduit aussi la folie du personnage. La scène débute sur des divagations de la jeune femme qui nous plonge au coeur de son

«Si» introduit une hypothèse. A.L. Se demande pourquoi la distinction entre les 2 types de maladie n'est pas justifiée. -ligne 28: il y a une contradiction logique car on ne peut pas être jugé que pour un acte accompli. →Il y a aussi un problème de mentalité: on continu a regarder les fous comme avant: on pense qu'ils sont incurables malgré les proprets de la médecine. -ligne 42-43: «lumière» est une métaphore. A.L. Veut éclairer les esprits (pour les libérer)