Pourquoi Utiliser La Métaphore De La Lumière

sont victime des adultes qui les emploient pour le profit. Victor Hugo insiste sur leur conditions de travail « ils s’en vont travailler 15 H sous des meules » . L’auteur décrit de façon fantastique le monde de l’usine. Il emploie de nombreuses métaphores pour insister sur la personnification des machines « sous les dents d’une  machine sombre. ». Cet univers est infernal, la gradation croissante « prison ; bagne ; Enfer » nous plonge dans ce monde d’esclavage que subissent ces innocents. En effet


 Propositions
:
 • Thématiques
 envisageables
 ‐
 la
 guerre,
 la
 mémoire,
 le
 détour,
 la
 représentation
 de
 sa
 propre
société
 • Problématique
‐
Comment
vivre
avec
la
mémoire
de
l'insoutenable
?

 • Objectif
‐
Faire
voir
:
quoi?
comment
?
pourquoi
?
 • Insertion
dans
une
progression
d'année

 o L'argumentation.

 o Dénoncer:
 convaincre,
 persuader
 ‐
 un
 travail
 de
 mémoire
 autour
 de
 l'insoutenable
et
de
la
responsabilité.
 • Autres
perspectives:

 o La
question
de
la
responsabilité
morale
et
esthétique
de
l'artiste

comparaison de conflit entre plébéiens et patriciens => « métaphore structurante » centrale pour penser la macro-communication !!! ------------------------------------------------- Ex : « Léviathan » = corps de l’Etat constitué d’ensemble des citoyens qui regardent sa tête. 2. Niveau métacommunicationnel : la systémique 19/20ème = développement de métaphores de l’organisme en sociologie et en anthropologie sociale. => métaphore « organiciste » enrichie (par sciences de la vie et

son poème, Paul Valéry revisite tous les grands thèmes de la poésie ( le temps, la mort, les morts, ma mort, la lumière, la chaleur, le vent, la mer, les vagues, le mouvement, le moi, écrire, la nature personnelle, la vie, la passion, l'éternité, le passé, l'âme, le corps, la pensée), nous pouvons penser que l'auteur recherche le changement de la vision du monde, du lecteur. Une métaphore filée autour de la mer représentant le savoir, est présente tout au long du poème. La mort est représentée de

un premier temps j’essayerai de partager avec vous les différents détails graphique, puis dans un second temps, j’essayerai d’interpréter librement les intentions du peintre. Enfin je donnerai pour finir mes ressentis personnels et j’expliquerai pourquoi j’aime ce tableau et ceux d’Amédée en général. 1) Présentation de l’auteur Né à Vallet, dans la région nantaise, Amédée Dubois de La Patellière passe son enfance à la campagne, qui sera l'une des sources d'inspiration de son œuvre. Après avoir

montrent que ces enfants passent leurs journées à l'usine. Ils ne voient jamais la lumière du jour. Jouer, se détendre leur est interdit d'où la répétition de l'adverbe de temps "jamais" au vers 11: "jamais on ne s'arrête, jamais on ne joue". Loin d'être épanouissant et divertissant, le travail qu'ils font, est ennuyeux: la répétition du mot "même" (vers 6) met en valeur la monotonie de ce travail. Ces enfant sont utilisés comme des machines. De plus, ces enfants ont des conditions de travail atroces

le tour du monde, entre 1766 et 1769. Accompagné de scientifiques, il fait de nombreuses découvertes et relate son expédition dans un ouvrage intitule Voyage autour du monde (1771). Ayant pris connaissance de l’ouvrage, Diderot, philosophe des Lumières, rédige une suite : le Supplément au voyage de Bougainville. Le navigateur a décrit l’île de Tahiti (alors appelée Otaïti) comme un lieu édénique. Diderot s’en inspire pour réfléchir sur la société de son époque. Il donne alors la parole à un vieux

relativement violentes. Renaud les instaure à travers de nombreuses références historiques désastreuses. Il dénonce la guerre, les crimes et certains fléaux, en énumérant les difficultés des pays en voie de développement. Le procédé d'accumulation utilisé par Renaud nous renvoie principalement à l'indifférence intolérable des autorités devant la souffrance de l'enfance, mais également devant la souffrance du monde. Renaud dénonce l'irresponsabilité des festivités auxquelles participent les autorités

bucolique, tendre, accueillante : nature personnifiée : "la montagne" "fière" (4), la "rivière" qui "chante" (1), la lumière qui frappe l'eau "accroch[e]" des "haillons" "aux herbes" (2). nature protectrice et maternelle qui « berce » : microcosme heureux et protégé d’un creux, "petit val" à l'abri d'une montagne, ensoleillé de "rayons" (4), "où la lumière pleut" (8). Une lumière non crue, qui arrose, pacifie. 2. Une nature omniprésente : Elle sollicite tous les sens, occupe intégralement le 1er

SOCIETE AU SIECLE DES LUMIERES Première partie : 1) Le XVIIIème siècle est appelé le « siècle des Lumières » car c’est la période où des idées d’égalité et de justice apparaissent. La société développe un nouvel esprit plus critique : il y a des mutations et des contestations sociales. Certaines personnes veulent s’exprimer librement, pour la plupart d’entre eux, par écrit, mais ils doivent faire face aux censures et aux sanctions (c’est pourquoi certains utilisaient