Pourriture grise

aboiements furieux ou désespérés, des appels lamentables montent jusqu’à vous. Les chiens des chasseurs et des bergers s’enfuient avec épouvante des abords de ce trou gémissant ; et, quand on se penche au-dessus, il sort une abominable odeur de pourriture. Des drames affreux s’y accomplissent dans l’ombre. Quand une bête agonise depuis dix à douze jours dans le fond, nourrie par les restes immondes de ses devanciers, un nouvel animal, plus gros, Séquence 1 – FR20 27 © Cned – Académie en ligne

tenaient immobiles, hérissant leurs petites plumes au vent froid du matin. La plate campagne s’étalait à 28 perte de vue, et les bouquets d’arbres autour des fermes faisaient, à intervalles éloignés, des taches d’un violet noir sur cette grande surface grise, qui se perdait à l’horizon dans le ton morne du ciel. Charles, de temps à autre, ouvrait les yeux ; puis, son esprit se fatiguant et le sommeil revenant de soi-même, bientôt il entrait dans une sorte d’assoupissement où, ses sensations récentes se

aboiements furieux ou désespérés, des appels lamentables montent jusqu’à vous. Les chiens des chasseurs et des bergers s’enfuient avec épouvante des abords de ce trou gémissant ; et, quand on se penche au-dessus, il sort une abominable odeur de pourriture. Des drames affreux s’y accomplissent dans l’ombre. Quand une bête agonise depuis dix à douze jours dans le fond, nourrie par les restes immondes de ses devanciers, un nouvel animal, plus gros, Séquence 1 – FR20 27 © Cned – Académie en

fongicides : Stratégie à une passe hebdomadaire : Alterner pour mieux lutter et rapprocher les traitements dans les phases climatique critiques. Date stade produit Dose/ha Maladie visée 22/04/2009 Début levée Manébe 2 kg Mildiou, Rouille, Pourriture grise, Fusariose Gangrène 28/04/2009 Levée Mancozébe 2kg 06/05/2009 Début végétation Manébe 2kg 13/05/2009 Croissance active shirlan 0.4l 20/05/2009 Ranman+shirlan 0.2l+0.15l 28/05/2009 Shirlan 0.4l 05/06/2009 Ranman+shirlan 0

aboiements furieux ou désespérés, des appels lamentables montent jusqu’à vous. Les chiens des chasseurs et des bergers s’enfuient avec épouvante des abords de ce trou gémissant ; et, quand on se penche au-dessus, il sort une abominable odeur de pourriture. Des drames affreux s’y accomplissent dans l’ombre. Quand une bête agonise depuis dix à douze jours dans le fond, nourrie par les restes immondes de ses devanciers, un nouvel animal, plus gros, Séquence 1 – FR20 27 © Cned – Académie

draps défaits et dans le désordre des objets familiers. Sa poitrine, immobile, n'était plus animée par le rythme régulier de la respiration. Ses yeux verts restaient écarquillés, fixant le vide au-dessus d'elle. La peau lisse avait pris la nuance grise des morts, nuance qui interdisait désormais tout espoir de revoir ces membres bouger. Je frissonnai en voyant les ongles violets et les doigts qui serraient encore un archet. Un archet de violoniste. L'instrument gisait sur le sol. Je le ramassai pour

de trois variétés de manioc vulgarisées par le Carder TMS 30 001 TMS 30 572 Agrick Résistance à la bactériose Bonne Bonne Passable Résistance à la mosaïque Très bonne Bonne Passable Couleur de la tige Grise Brune Grise Ramification Haute Haute Haute Goût du manioc Doux Amère Doux Qualité de gari Très bonne Meilleure Bonne Couleur du gari Blanche Blanche Blanche Qualité du foufou Très bonne - Bonne

occasion. Elle m’échappait, en tout cas, si j’étais resté de l’autre côté de l’eau, si seulement je n’avais pas fréquenté l’estaminet où vont quelques plumitifs ambitieux. C’est parce que je suis venu manger à cette table d’hôte, parce que je me suis grisé quelquefois et qu’étant gris j’ai eu de l’audace et de l’entrain, c’est parce que je suis sorti de la vie de travail acharné et morne pour flâner avec ces flâneurs, que je suis parvenu enfin à trouer l’ombre et à déchirer le silence. Il fallait

immobiles, hérissant leurs petites plumes au vent froid du matin. La plate campagne s’étalait à 28 perte de vue, et les bouquets d’arbres autour des fermes faisaient, à intervalles éloignés, des taches d’un violet noir sur cette grande surface grise, qui se perdait à l’horizon dans le ton morne du ciel. Charles, de temps à autre, ouvrait les yeux ; puis, son esprit se fatiguant et le sommeil revenant de soi-même, bientôt il entrait dans une sorte d’assoupissement où, ses sensations récentes se

autour de la maison, se taillant un sifflet du moindre recoin, soulevant, çà et là, une tuile plus agile, roulant des feuilles de l’automne passé, filigrane bruni ayant échappé à la succion du compost, tirant des ornières une draperie de poudre grise, écorchant de sa râpe la croûte sèche d’anciennes flaques. Un tourbillon se formait à l’orée du village. Des brindilles, des herbes folles se mirent à girer, sommet d’un cône incertain. La pointe se déplaçait capricieusement, comme la mine d’un