Poussière Sur La Ville

"MERE COURAGE ET SES ENFANTS" Au théâtre de la ville par le Berliner Ensemble En allemand, surtitré en français. Durée : 3 h 20 Texte : Bertolt Brecht Mise en scène : Claus Peymann Musique : Paul Dessau Avec : Carmen-Maja Antoni, Claudia Burckhardt, Raphael Dwinger, Ursula Höpfner-Tabori, Roman Kaminski, Manfred Karge, Michael Kinkel, Detlef Lutz, Gudrun Ritter, Michael Rothmann, Marko Schmidt, Martin Schneider, Veit Schubert, Martin Seifert, Karla Sengteller, Axel Werner Musiciens : Matthias

chrome, épousseter les étagères, nettoyer les lumières, enlever le papier collant des vitrines, éliminer le fouillis derrière le comptoir de la caisse, ranger les salles à l’arrière, supprimer les boules de poussière, passer l’aspirateur tous les jours. Il ne faut ni taches, ni graisse, ni poussière, ni saleté. Un point c’est tout. Vitrines Vos vitrines représentent une occasion rêvée d’attirer l’attention des clients. Elles s’utilisent de plusieurs manières utiles : • annoncer les promotions • sous-tendre

Une place dans une petite ville de province ». Série d'éléments visuels ensuite proposée avec une extrême précision : épicerie, clocher situé au second plan, café et terrasse. * Identification des éléments du décor possible pour le spectateur par l'utilisation d'une inscription « épicerie » ou encore par la présence d'objets : « tables et chaises » à la terrasse du café. * Espace scénique proposé relève d'un univers banal et quotidien, qui ne renvoie à aucune ville précise et qui reste donc

a aussi été retouchée pour la meme raison plus rien n est reconnaissable (on ne reconnait plus la ville ) tout est detruit plus de routes plus de verdures tout est sale et cassé les consequences autres que materielles sont plus de 250 000 personnes tuées et font près de 1,5 million de sinistrés.(personnes sans logement sans ressources sans rien ) tout est ravagé il n y a plus rien dans la ville des enfants se retrouvent seuls sans famille il n y a plus de quoi manger plus d eau potable (eau

Les superlatifs mettent egalement en evidence le caractere exeptionel de la ville avec par exemple "superiorité prodigieuse " ligne 5 et "le plus de" ligne 28 L'exotisme de l'endroit est mis en avant tout au long du texte avec "robes d'un tissu de colibri" ligne 8_9 egalement "liqueurs de canne de sucre' ligne 22 mais aussi gerofle

voies de chemins de fer, ses bicoques »p 31. -«  les fermiers du Nebraska » p 39, »jeunes fermiers blonds du Minnesota »p44, »deux jeunes garçons de ferme du Dakota du nord […] ils allaient faire les moissons» p45 -« Central City est une vieille ville minière, qu’on appelait jadis «  le plus riche mille carré du monde » ».p80 -« et voila que c’était Frisco, ses longues rues désertes ou les cable-cars se perdaient dans un brouillard blanchâtre ».p 92  -Mill city […] était un ramassis de baraques

appartient a Kindred Spirits oeuvre D'Asher Durand. Un des plus grand aspect de la construction de Central Park était de diviser des chemins réserver aux piétons, les chevaux et tout autres transports de loisir, afin d'autoriser les habitants de la ville et les touristes a se promener dans les rues sans danger. Le parc contient plus de 36 pont particuliers. Développement du parc. Après l’installation du parc, il fut l'un des centres d'activités et de détene favoris des habitants de New York. C'est

phénomène tels que : Les pluies acides qui touchent des régions de tous les continents de notre planète et en détruisent peu à peu l’environnement. Elles attaquent les maisons et les monuments, apportent des maladies et la mort des forêts. Ces poussière ou dépôts secs s’attaquent aux pierres des maisons ou des immeubles, aux métaux, et à la peinture. Si ces fumées sont emportées par le vent, les dépôts secs retomberont sur des forêts ou des cultures et provoqueront ainsi leur endommagement, mais

dormais d’un sommeil profond quand tout à coup je me réveillai en sursaut. Je me trouvai dans la paille au milieu des mouches. Mais où était ma chambre ? où était mon lit ? Je regardais autour de moi, je ne savais pas ou j’étais. Je vis au loin une ville, ou plutôt un bourg ancien aux allures médiévales. Perplexe , je restais la immobile . Soudain, un jeune ressemblant étrangement à cette brute de John m’interpela : « hey ! Toi ! ca va ? dit-il . Oui je crois m’armonnais-je Quel est ton nom et

refleurissent à une décentralisation des villes. Henri Ford se pose la question de comment s’éloigner de la ville. 1918 il entreprend avec l’état du Michigan, il délocalise certaines parties de sa production, petite partie, production de chaises, lampes… Il les délocalisent loin de la ville, en créant de petites usines qui sont pour la plupart rattrapés. A côté de Détroit apparait une métropole, pas que la ville une région métropolitaine. Il imagine ses usines sur un procédé simple du à son origine rural: les