Poussière Sur La Ville

modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient líurine, les cages díescalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces díhabitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur de soufre, les tanneries la puanteur de leurs bains corrosifs, et les abattoirs

utilisant les nombres par exemple «Vingts belle filles»; « Deux files, chacun de mille musiciens»; «Mille colonnes »; «Une galerie de deux mille pas». Il utilise aussi l’énumération pour donner toujours le même effet d'abondance «On leur fit voir la ville, les édifices élevés jusqu'au nus, les marchés orné de mille colonnes, les fontaines d'eau pure, les fontaines d'eau rose, celles de liqueurs de canne de sucres qui coulait continuellement.» En derniers on peut voir que son utopie est quelque sorte

INTRODUCTION C'est sous la Monarchie de Juillet que Balzac compose son roman, à une époque où, poussée par l'enrichissement de la bourgeoisie, la ville poursuit son essor économique : elle devient le lieu de tous les possibles, le rêve qui fascine les jeunes provinciaux… Mais rien n'y est fait pour organiser cet essor, aucun plan d'urbanisme n'y est encore envisagé. La ville, en s'accroissant, devient aussi le lieu de toutes les misères, des violences et du crime.  Or, pour Balzac, l'homme est le produit de

vivre. Dans Candide, Voltaire amène ses personnages, Candide et son valet, au pays d’Eldorado. Ici, les richesses sont partout, l’or et les pierreries sont monnaie courante. Dans la ville, les édifices sont immenses, ornés de pierres précieuses. Les deux personnages s’émerveillent devant les nombreuses fontaines de la ville. Eldorado est un monde exceptionnel, et d’une rare beauté. De même, dans Les Aventures de Télémaque, Fénelon décrit le pays de la Bétique comme une contrée superbe. Les paysages sont

pour Frédéric qui doit quitter Paris. Ce premier passage nous donne un aperçu de ce qu'éprouve Frédéric pour Paris. Il aime Paris, non pas les bâtiments ou les clochers de cette ville mais Paris comme un tout. Les lieux cités ensuite sont de vrais clichés de Paris. Le personnage a donc une vision de Paris comme la ville cliché, sans regarder à l'intérieur de cette dernière. M. Frédéric Moreau (…) s'en retournait à Nogent-sur-Seine, où il devait languir pendant deux mois, avant d'aller faire son

.... 26 6 – La balance du destin................................................................................ 29 7 – L’ambassade à Achille ............................................................................. 32 8 – Le combat devant la ville ......................................................................... 36 9 – Le combat près des vaisseaux.................................................................. 40 10 – La mort de Patrocle............................................

et qui étaient responsables de maladies diverses, typhoïdes, dysenterie, amibiase etc... Quant à l’air pur, nous reproduirons les citations d’auteurs anciens, publiées par R. Leygonie [5] Dès que j’aurai laissé derrière moi l’oppressant air de la ville et la puanteur des fumantes cheminées qui, une fois leurs feux allumés, vomissent toutes les pestilentes fumées et suies qu’elles contiennent, je me sentirai tout à fait un autre homme .   C’était il y a 2000 ans, ce qu’écrivait le philosophe romain

nuit et jour d’un sacré soleil vénérien. Au bout du petit matin bourgeonnant d’anses frêles les Antilles qui ont faim, les Antilles grêlées de petite vérole, les Antilles dynamitées d’alcool, échouées dans la boue de cette baie, dans la poussière de cette ville sinistrement échouées. Au bout du petit matin, l’extrême, trompeuse désolée eschare sur la blessure des eaux ; les martyrs qui ne témoignent pas ; les fleurs de sang qui se fanent et s ‘éparpillent dans le vent inutile comme des cris de

il est ici descendu dans la rue mais se sent agressé par la «ville énorme» ( rappeler Révolution industrielle et exode rural) . Le spectacle du Paris changeant est l'occasion pour lui de se laisser aller au souvenir du vieux Paris qu'il a connu enfant . L' évocation assez réaliste de la ville avec sa voirie, ses baraques, ses échafaudages... n’est qu’une porte ouverte vers l’ailleurs du souvenir car à l’image de la ville réelle se superposent les images disparates que convoque le poète

La poésie du XIXème au XXI ème Œuvre  : Les campagnes hallucinéesParcours associé : Modernité poétique ? Texte n°1 : La ville 1/ INTRODUCTION : · Emile Verhaeren/poète belge de la fin du 19è siècle/ écrivain influencé par le SYMBOLISME.Fréquente les milieux littéraires d'avant-garde, actifs en Belgique à la fin XIXè et s'engage