Poète Incompris Par La Société

ciel bas et lourd ») de BaudelaireIntro :· Baudelaire (1821-1867) : poète de la modernité, se situe au carrefour de toutes les influences du 19s (romantisme, symbolisme, parnassien)· Spleen : 1857, poème, extrait du recueil Les Fleurs du Mal (la plus grande œuvre de sa vie, et aussi la plus connue), section Spleen et Idéal, dernier des 4 Spleen, poème angoissant et mélancolique, parle d’une des périodes la plus sombre de la vie du poète (dépression), associe la beauté de son style d’écriture à la mélancolie

poème, en prenant en compte en particulier les registres qu'il utilise lyrique, pathétique, épique, satirique... Analyser le rôle que le poète se fixe : suivant les cas, il se présente comme un "voyant", capable d'interpréter les signes des dieux ou de déchiffrer le monde, comme un marginal incompris, malmené par une société qui le tourmente, ou comme un poète engagé, luttant avec ses mots contre les injustices et la violence. Les spécificités N'oubliezpas que la poésie a une dimension sonore.

personnage aux multiples facettes, poète libertin, quipublia en 1629 (en trois parties, jusqu’en 1649) sesŒuvres poétiques, dont son plus célèbre poème « le paresseux » en 1631. La particularité de ce recueil est de ne pas avoir de composition, mais d’être un regroupement disparate. Ecrivain original, fantasque,longtemps critiqué par Boileau (notamment dans son Art poétique), il passe pour avoir lancé le style « burlesque ». Nous allons voir quelle est la place du poète ? comment se représente t-il ?

Entrée en matière : on présente l’auteur ou bien le mouvement littéraire (si on les connaît). Ou bien on part d’une réflexion sur le genre littéraire ; ou sur un thème essentiel qui est présent dans l’extrait (par exemple, la place des femmes dans la société). 2. Présentation de l’extrait. Dites d’où il est tiré, précisez si possible dans quelle partie il est situé. Quel est le genre littéraire ? S’agit-il de vers ? de prose ? Quels sont les personnages ? 3. Problématique : quel est l’enjeu principal

propre création. L’homme peut il créer un autre être humain sans la main de Dieu, peut il s’y substituer ? Quelles sont les conséquences d’un tel acte ? 1/L’auteur  Mary Shelley est née Mary Godwin en 1797 et morte en 1851. Elle est la femme du poète anglais Percy Shelley. Elle écrit Frankenstein quand elle n’a que 20 ans. Elle se trouvait à Genève au bord du lac Léman avec son mari, Claire Chaumont et un ami commun Lord Byron. Ils discutaient beaucoup de littérature allemande, lisaient des histoires

obtient son doctorat avec ce qui deviendra plus tard son livre ‘Le Yoga, immortalité et liberté’ (1954). A partir de 1933, il enseigne la philosophie à l’Univsersité de Bucarest, comme disciple du philosophe d’extrême droite, Nae Ionscu et rejoint la société littéraire Criterion, exprimant publiquement son soutien au Iron Guard, mouvement politique fasciste et antisémite. Attaché culturel à Londres et à Lisbonne, Eliade publie un livre à la gloire du régime de Salazar. Après la guerre, il enseigne à Paris

le chœur qui chante, les personnages représentent l’action, la catharsis (mélange de pitié et de frayeur, mélange d’identification). Le rapport à l’histoire Aristote a réfléchi entre la littérature et l’histoire. Il a comparé le poète et l’historien. Le poète est supérieur à l’historien car celui-ci se contente de dire ce qui s’est produit. L’œuvre littéraire propose une chose plus riche car on ne se limite pas à reproduire la réalité mais on invente aussi. On peut inventer des évènements

classicisme des lumières : – l’exaltation du sentiment et le culte du « moi » : il y a une valorisation de l’individu et de son mal-être (douleur, solitude, mélancolie). Les romantiques sont insatisfaits de leurs créations, ils se sentent incompris par une société dominée par les certitudes et le conformisme bourgeois → exemple des romans de Balzac qui comprennent des critiques de la bourgeoisie. – la difficulté à accepter le présent et le retour vers un passé idéalisé : on redécouvre les racines

la pièce devient emblématique du renouveau du théâtre. Disgrâce de la tragédie classique Étouffée par le corset de ses préceptes rigides, la tragédie classique au début du 19ème siècle n'est plus en phase avec les aspirations nouvelles de la société. Liberté, imagination débridée, évasion, individualisme sont les mots d'ordre et les moteurs de la jeunesse romantique qui cherche à faire exploser les carcans des modèles anciens. Le mélodrame, genre nouveau en vogue à la fin du 18ème siècle, ouvre

but il se donne en abordant les difficultés de l’écriture de l’enfance, ensuite nous verrons quels pièges la mémoire, outil majeur de la restitution de cette écriture, tend en permanence dans le projet de l’écrivain. Et enfin nous montrerons que le poète est le trait d’union entre le passé et le présent, la solution aux soupçons et aux doutes de l’auteur. I la difficulté de l’écriture de l’enfance a)l’enfant/l’adulte Chamoiseau est confronté comme beaucoup d’écrivains au problème de restitution