Poète Interprète Le Monde

et c'est pareil au dernier vers. Mélancolie : appel aux sens : ouie, vue, toucher. II – L'identité de la rivière La construction simple du poème donne un air modeste à la rivière. Les strophes sont courtes pour une rivière très importante pour le poète, nommée seulement dans le titre. La rivière est liée au temps. C'est le lieu d'une continuité : La fin est un recommencement : v3. Personnification de la rivière : v2. Sentiment de perte : « trop tôt partie », « à l'abandon ». La perte est amplifiée

réel est transformé en rêve. Et pour finir, je vais expliquer la démarche du poète. DEVELOPPEMENT I- Paysage de Paris réel - « du haut de ma mansarde, je verrai » (l.5-6) ; « lampe à la fenêtre » (v.10) Le poète est en hauteur, à sa fenêtre, et il voit le paysage de Paris du 19ème siècle Allitération en [d] = rôle ??? - « Astrologue » (v.2) ; « ciel » (v.2)  Omniprésence du ciel ce qui prouve qui le poète est très haut - « qui chantent et qui bavardent » (v.6) Proposition subordonnée

"profonde" représentent le concret => renforcement du sens avec l'embrassement des rimes. Q3 continue cette adresse avec une exhortation à poursuivre ce mouvement puis avec les deux derniers quatrains, nous avons une généralisation sur le bonheur du poète dans ce moment: après l'exhortation, c'est la réflexion sur l'envol avec le passage à la deuxième personne du singulier … la troisième. - L'envol Champ lexical du mouvement "au-dessus", "par-delà", "meus", "agilité"‚ "sillonnes", "envoie-toi", "va"

sœur »le pronom tonique « moi » montre bien que le poète parle de sa personne, de son intimité, comme le révèle également le terme « sœur » renvoyant aux liens familiaux.Le plaisir de l’amour sensuelCitation : Livre II, poème VII « Et ma bouche riait, et venait s’y poser, Et laissait la cerise et prenait le baiser ».la personnification de la bouche met en évidence la sensualité du moment raconté.On note également le déterminant possessif « ma » : le poète raconte un souvenir intimeLa tragédie de la mort

du Mal Baudelaire INTRODUCTION Baudelaire est un poète du milieu du XIXème siècle. Le poème « Correspondances » est de la section « Spleen et Idéal », dans un recueil qui a fait scandale à l’époque, en 1857, Les Fleurs du Mal. Baudelaire montre que le monde matériel des Hommes est corrompu, que ce n’est qu’un monde d’apparences et de faux-semblants, le monde du « spleen » auquel s’oppose un monde « idéal » que seul peut atteindre le poète (qui n’est pas un homme comme les autres). Pour Baudelaire

l'Antiquité à nos jours le poète n'a cesser d'être la source de nombreux questionnement. En effet le poète est un être marginal, dans son monde il n'en reste tout de même pas moins un créateur .Cependant être poète est-ce seulement être doté d'imagination et fuir le monde réel ? En effet le poète est un visionnaire néanmoins n'en reste-t-il tout de même pas un guide du monde et bien plus encore un maître du langage hors pair. Le poète est un visionnaire En effet le poète est un être imaginatif il

Elévation Baudelaire est un poète du XIXe siècle ( romantique : donner libre cour à l'imagination et à la sensibilité, désir d'évasion et de rêve[poésie lyrique, rupture avec les règles et les modèles retour à la nature]; parnasse: mouvement esssentielement poétique réaction contre le romantisme) et il qui n'entre dans aucun courant (il se fachera contre le romantisme dans "l'étalage du coeur" pui avec les parnasses dans "Baudelaire la femme et Dieu"). Durant sa quête de la beauté il est constament

FONCTIONS DU POÈTE ( Interprète de la vie et des sentiments des Hommes Par le pouvoir de ses mots, de ses images, sa capacité de transmettre ses émotions, le poète met son talent au service des Hommes, pour exprimer leurs enthousiasmes, leurs bonheurs ou leurs malheurs. Lorsqu’il parle de ses sentiments, il parle au nom de tous et traduit et que chacun à déjà ressentit. Ex : Hugo « Intro de contemplations » : ‘Lorsque je parle de moi, je parle de vous’  à ceux qui reproche au poète de ne parler

Et soupirer quelquefois. Je ne vis qu’elle était belle Qu’en sortant des grands bois sourds. " Soit ; n’y pensons plus ! " dit-elle. Depuis, j’y pense toujours. Victor Hugo Introduction Revenant sur une anecdote de son passé, le poète en livre une version émue, tournée vers la sensualité de la femme. Pourtant, une double lecture de ce poème est possible, donnant à entendre derrière l’adresse initiale, la femme, une autre écoute du poème. Problématique : Comment le poème parvient-il

sur Charles Baudelaire poète qui a marqué le monde de la poésie, notamment par son avant gardisme. Proche du Romantisme, de la Parnasse et du symbolisme dont il est le chef de fil, B publie en 1857 les FDM, un recueil de 6 sections, si mal accueil à l’époque qu’il fut soumis à un procès. Dans cette ouvrage, B fait de la poésie un canal vers un monde invisible dont l’homme est séparé, et on perçoit ainsi son déchirement entre sa quête de l’idéal, et son mal être dans le monde terrestre : le Spleen